Dans un couple, la communication est importante. Mais certain sujets son plus facile à abordé à distance qu’en face. J’avais déjà abordé il y à longtemps le sujet des plans à trois, mais cela restais juste une idée proposé à ma compagne sans pour autant avoir la possibilité de réalisé les choses.

Alors qu’elle faisait une formation à l’autre bout du pays, avec peux de possibilité de rentrer, jusqu’à même 5 semaines sans se voir, nous avons passé bon nombres d’heures à communiqué via SMS.

Nos échanges étant très souvent très chauds, au point que je ne puisse contrôler mon érection lors de la lecture ou de l’écriture de ses messages. C’est d’ailleurs compliqué de porter des choses au travail sans que les autres employés ne se rendent compte de quelque chose. Mais je n’étais pas le seul à être émoustillé par ces messages. Elle aussi se retrouvait entièrement trempée à la lecture de mes petites histoires bien imager de se que je souhaiterai lui faire au moment de l’écriture.

J’avais même droit à quelques photos d’elle s’occupant seule, le soir avant de dormir, et surtout histoire de se faire un mini plaisir en solitaire, aussi bien pour elle que pour moi. Bien évidement, ces moments d’attente de l’autre faisais que nos retrouvaille était explosive et souvent agrémenté par se que nous avions décris dans nos conversations.

Petit à petit, nous avons intégré de nouvelles choses à expérimenté. Elle a ainsi découvert une partie de ma personnalité, jusque là un peu caché. Ce nouveau moi, dominant comme elle aime, n’hésitant pas à la malmené. Elle aime être considérée comme un jouet sexuel ou un vidoir que l’on utilise avant de la laisser choir. Ainsi, après avoir intégrer les mots cru, les liens, le fouet à nos traditionnels jouet, la discussion d’un plan à trois est revenu sur le tapis.

Après quelques histoires imaginées et retranscrite par SMS, mettant en scène ma compagne, moi et une tierce personne, il nous a fallu rapidement mettre un nom sur cette personne. Ayant déjà prévu une rencontre d’un amis fait sur un célèbre jeu en ligne, le nom de cette personne est venu alimenter nos récits.

Il était relativement jeune, et du haut de ses 20 ans, n’avais pas encore eu la chance de consommé la chair d’une femme. Notre plan était de le faire consommé mais part étape. Ainsi lorsque j’étais au travail le Samedi, elle devait s’occupé de le détendre et de lui donné du plaisir. J’avais même installé un vieux téléphone en mode camera de surveillance pour pouvoir en profité depuis le travail. Ensuite lorsque j’avais terminé ma journée nous pensions enfin réaliser cette aventure ou madame est au centre de toutes les attentions.

Malheureusement, il était un peu trop introverti à l’époque et rien de tout cela ne fus possible. Laisser un peu sur notre faim, nous souhaitions quand même réalisé nos envies, et même si cela ne se faisait pas avec la même personne. Quelques mois plus tard, mon meilleurs ami c’est embrouillé avec sa femme et ils ont été environ une semaine à ne plus s’adresser la parole. Cette idée étant toujours présente dans nos esprits, nous avons tout les deux pensé qu’il serait un partenaire de jeux agréable et qu’il pourrait venir se changé les idées quelque jours chez nous.

Ne sentant pas forcément venir “l’arnaque” il a accepté relativement rapidement. Après plusieurs conversations entre mecs, je lui ai fait comprendre avant même qu’il vienne, qu’il se pourrait que bon nombre de choses se passe avec lui.

Encore une fois, madame était en formation, et nous imagions à nouveau ce que l’on pourrait faire avec mon pote. Elle est rentrée le Vendredi soir par le TGV de 22H08. Tous le long du trajet jusqu’à chez nous, nos yeux emplis de désirs et d’excitations se sont croisé, et sans un mot nous savions que nous attendions avec impatience que nos envies se réalise.

La température montait déjà un peu dans la voiture, ma main sur sa cuisse, la sienne sur ma cuisse avec le bout de ses doigts très proche de mon membre grossissant et devenant gênants pour conduire. Encore heureux, la route n’est pas très longue. A peine à l’abri des regards, dès que les portes de l’ascenseur se sont fermées, nos mains baladeuses respectives se sont mises à caresser le corps de l’autre. Ses seins ne tenant pas dans mes mains, mes doigts se concentrent sur les petits bouts roses à travers la fine couche de tissu de son soutien-gorge alors que ses mains à elles viennent caresser mon vit à travers mon pantalon.

Arrivé à l’étage, nous nous sommes précipités à l’intérieur afin de consommé notre désir. Alors que je l’aide à se mettre a l’aise en enlevant quelques couches de vêtements superflus, elle libères mon membre de son enveloppe devenu trop juste pour le contenir. Elle prend mon vit en bouche et ma main accompagne sa tête dans le mouvement. Elle me lance quelques regards de chienne qui en veux alors que sa bouche parcours mon membre. Je l’aide à se relever et la colle au mur. J’enlève le reste des vêtements gênant et découvre une vulve gluante et dégoulinante de mouille, à tels point que je n’ai pas de difficulté à la pénétrer. Après plusieurs coup de reins bien violant et des gémissements qu’elle beaucoup de difficulté à étouffer, je la rempli de mon jus.

Ce petit avant gout du weekend nous à permis de faire patienter l’arrivée de mon meilleurs pote. Donc le lendemain, il est arrivé courant de l’après-midi, alors que moi je travaillais encore pour trois heure. Devant un bon film, ils se sont tout les deux détendu. Quelques caresses, qui petit à petit entraînent un massage près du corps effectué par mon pote sur ma compagne. Les mains viennent se glisser entre les lèvres toutes humides de madame alors que lui n’en peu plus. Manque de chance pour lui, elle avait comme consigne de ne pas consommer sans que je sois là.

Une fois rentré du travail, ma compagne m’ouvre la porte en très petite tenu et je dis bonjour à mon pote torse-nu sur le canapé. Madame et moi-même allons donc prendre une douche car nous avions prévu de se faire un cinéma, il fallait donc se préparer. Sous la douche, elle me raconte ce qu’il s’est passé et me fait bien comprendre qu’elle est prête à me recevoir de suite. Elle en vient presque à prendre mon vit et le guidé en elle.

Ne souhaitant pas trop gâcher la suite des événements, je donne un petit apéro de quelques coups de reins rapide et je ressors. Une première vague de supplice de sa part pour que je lui en donne plus. Je lui redonne la même chose et me retire. Et je fini de me lavé en la laissant en chien. J’étais bien évidement dans le même état qu’elle, mais s’était tellement agréable de la voir se trémousser comme une nymphomane en manque.

Une fois près, nous sommes allez au cinéma, voir un film peu intellectuel, où l’histoire peut être juste écouté d’une oreille. Madame assise entre nous deux, les jambes relativement écartées et son minou toujours rempli de mouille, à la disposition de nos mains.

Pour le retour chez nous, je m’installe au volant et comme convenu avec madame, tout les deux se mettent à l’arrière. Alors que je roule, elle prend le membre de mon copain en bouche, et mon pote accompagne la tête de ma compagne avec la main. Le paysage défile de nuit et moi je vois le travail appliqué de ma compagne dans le rétro. Peu de temps avant que je gare la voiture, il ne se retient plus et lui salit la bouche de son foutre. Afin de ne pas salir la voiture relativement neuve elle décide de tout gardé en bouche, de bien me montré dans le rétro sa bouche pleine avant de bien tout avaler.

Le temps d’aller jusqu’à l’appartement, plusieurs regard bien explicite sont échangé entre nous deux. Je crois bien que le trajet entre la voiture et la porte n’a jamais été aussi rapide. Il y a eu peu de préliminaire, surtout que ceux-ci on été fait durant les 24 heures précédente.

C’est ainsi que j’ai découvert ma compagne sous un nouvel angle. Elle raisonnait de tous les assauts qu’elle recevait de part en part. Elle à quatre pattes, un devant lui comblant la bouche et un derrière, il suffisait que l’on s’arrête deux seconde et elle initiait elle-même le mouvement de va-et-vient. Après qu’il soit à nouveau venu en elle, mais pas au même endroit, j’ai pris sa place et lui la mienne. Il se faisait nettoyer le vit par la langue experte de ma compagne tandis que moi je défonçais le minou de ma compagne comme elle aime tant. C’était bien la première fois que je rentrais et sortait aussi facilement de son minou, très certainement due au foutre de mon copain qui la remplissait.

Je me suis mit à la pénétrée frénétiquement au point qu’elle en eu le souffle coupé et qu’elle ne puisse même plus s’occuper de mon pote et ce, jusqu’à je la remplisse à mon tour. Les quelques dernier coup de rein pour bien tout mélangé en elle et je la laisse enfin reprendre son souffle.

Tout les trois épuisé mais comblé, nous avons réalisé ensemble notre première aventure de mélangisme. Depuis nous invitons régulièrement mon meilleur ami sans sa femme. Mon imagination fertile dans se domaine nous permet de réalisé de nouveau scénario à sa venu. Il ne nous reste plus que le même problème, trouver de nouveau partenaire pour s’amusé encore plus, et plus souvent.

Si vous voulez tenter l’expérience : envoyez par sms le mot DRAG au 61414