Nous étions enfin arrivés en été, et au boulot c’était plus calme, la majorité des collègues étaient parties en vacances. C’est là aussi que l’on fait les sales boulots. Et un après-midi pas fait comme les autres, mon patron me demande de descendre au troisième sous-sol pour classer les archives. Autant dans mon bureau il faisait chaud, mais en bas, c’était pire qu’ailleurs. Je descendais donc en fin d’après-midi classer les dossiers. Génial….Ce travail terminé, je profitai donc de téléphoner à mon mari  qui m’attendait à la maison, ronchonnant comme à son habitude. J’allais couper notre conversation quand Patrick, mon assistant dont j’étais la secrétaire, entra dans les archives avec une liste de dossiers à chercher.

Je n’ai pas remarqué tout de suite, mais ce gai luron tournait autour de moi, scrutant mon décolleté, mes seins et mes fesses, ce qui me rendait mal à l’aise, mais tout autant émoustillée car il y a longtemps que ça ne m’était arrivé ! Toujours au téléphone avec mon mari qui me saoulait avec la liste de courses à faire, je sentais Patrick qui se mettait à me caresser la poitrine en faufilant ses mains sous mon chemisier. Sans scrupule, il le déboutonna, et moi, toujours le téléphone à l’oreille, changeant de main, distraite, je l’aidais à m’en défaire.  Patrick commença alors  à empoigner mes seins, titillant mes tétons entre son pouce et son index. Ma respiration devenait de plus en plus forte, ne sachant plus si je devais continuer à me laisser faire, ou si je devais le repousser. Mais j’étais dans un état second, transportée par la curiosité. Patrick me poussa sur une pile de dossier, et son jean tombé sur ses chevilles commença à baisser mon tanga, dans l’intention de me pénétrer avec son membre puissant dans sa longueur et son calibre.

Impressionnée par sa queue car je n’en avais jamais vu d’aussi grosse, il m’empoigna et l’enfonça facilement, tellement je mouillais. Puis il se mit à me marteler avec une telle force que la douleur  me faisait jouir à un point qu’un râle énorme sortit alors de ma bouche. Au téléphone, une voix inquiète me demandait si tout allait bien, mais j’étais incapable de répondre, tellement c’était bon. Après plusieurs allez-retours, Patrick enfonça son pouce par derrière, ce qui me procura des sensations que je ne connaissais pas encore. Après avoir utilisé ma mouille pour lubrifier mon trou, et en me retournant il m’enfonça sa grosse queue que je savourais. En quête d’un plaisir plus intense, je commençais à me caresser mes deux grosses lèvres, et mon clito. Mes doigts entreprenaient une danse folle autour de lui, jusqu’à pénétrer mon antre d’abord avec un doigt, puis deux, et enfin ma main entière !  Ma jouissance était à son comble, et je commençais à sentir un liquide chaud qui coulait de mon sexe gourmand pendant que Patrick me martelait le fondement avec hargne. Pour rien au monde je n’aurai voulu que ce moment soit interrompu, ni par le téléphone, ni par quelqu’un qui descendait aux archives, et en plus, je crois que ça m’aurait plu. Ne voulant pas jouir tout de suite, Patrick s’est retiré pour s’asseoir sur une pile de dossiers, m’invitant à le rejoindre.

Docile, je me suis approchée de lui, et de peur que son arme soit moins vaillante, je la pris dans mes mains, et l’engloutis alors goulument, m’attardant sur son gland avec des petits coups de langues et sur toute la longueur de sa hampe. Puis je me suis assise sur lui, m’empalant sur son sexe, et entrepris un mouvement de vas-et vients incessants. Mon clitoris était en contact avec son corps nu, et ce frottement me procurait beaucoup de plaisir. Mes seins  dressés  l’excitaient. En les caressant, il s’emparait de mes tétons, les malaxait, tirait dessus jusqu’à la douleur. L’orgasme montait de plus en plus entre nous, et nous emportait dans une étreinte folle. Je sentais la pile de dossier qui s’évadait sous ses fesses, Mais rien ne pouvait nous arrêter. Mon corps cambré et mes mouvements de têtes en disant long. Après plusieurs minutes, ne pouvant plus nous retenir, J’ai senti Patrick qui envoyait  son jus chaud dans ma grotte et une immense vague m’apporta.  J’ai crié réellement très fort tant mon plaisir était immense. Après quelques minutes, toujours dans un état second, je mis délicatement deux doigts dans ma chatte pour gouter son jus dont le goût n’était finalement pas désagréable. Je repris le téléphone, et répondis à mon mari que tout allait bien et coupais court. Après avoir ragrafé mon soutien gorge, rhabillée et remis mes cheveux en ordre, je sortais des archives avec Patrick, comme si de rien n’était. Mes seins me faisaient un peu mal, mais mes collègues ne se sont pas aperçus de notre sortie. Depuis, je descends volontiers aux archives en espérant pourquoi pas, que cette expérience se renouvelle…