Benoît, à 56 ans, est un mari jaloux. S’il accepte que sa femme Diane, 53 ans, s’adonne à sa passion pour le bukkake, il tient à toujours être présent et à garder l’exclusivité de la chatte de son épouse.

Diane, saurais-tu définir ce qu’est un bukkake ?

  • Diane – A l’origine, je crois savoir que c’est une ancienne pratique japonaise destinée à punir et à humilier les femmes infidèles. Pratiquement, un groupe d’hommes se réunit autour d’une femme et ils jouissent sur tout son corps, la recouvrent de sperme.

Et c’est ça, ton truc ?

  • Diane – Comme beaucoup d’adeptes, j’y ai rajouté le fait que c’est moi qui fait jouir ces messieurs : je les branle et je les suce. Mais pas touche à ma chatte et à mon cul. Chasse gardée.
  • Benoît – Ça, c’est juste pour moi. Quand Diane m’a parlé du fantasme du bukkake, ça a été ma première réaction. Ça ne me choque pas que ma femme ait des envies délirantes, mais je veux garder un minimum de contrôle sur les événements.

Concrètement, comment ça se passe ?

  • Benoît – En général, quand c’est dans un club à partouzes, elle allume tout le monde sur la piste de danse. Puis je l’emmène – elle doit avoir l’air un minimum soumise – dans un coin-câlin dont je laisse la porte ouverte. Elle se déshabille et se place face à la porte. Moi je m’occupe de sa chatte et les mecs ne tardent pas à venir se faire sucer.
  • Diane – En fait, pendant que Benoît me masturbe, me lèche ou me baise, je suce toutes les queues qui passent à portée de ma bouche et j’essaie d’en branler un maximum.
  • Benoît – En général, elle se retrouve vite avec plein de mecs autour d’elle, qui la pelotent en se branlant et en la reluquant en train de pomper. Le but, c’est qu’ils giclent assez vite, pour qu’elle puisse en faire jouir un maximum.

Comment recrutez-vous les mecs ?

  • Diane – On ne les recrute surtout pas. Je suis cheffe-comptable, je suis une vraie obsédée des chiffres. Ce qui me plaît c’est de faire jouir un maximum de mecs, qu’ils soient beaux, moches, vieux ou gros, je m’en fous complètement. Mais je vous prie de croire que je compte.

Le maximum que tu ais sucé ?

  • Diane – Je ne compte pas les mecs que je suce, mais les bites qui jouissent sur moi. Le maximum, c’était sur une plage naturiste que tout le monde connaît. On a commencé le bukkake vers 17h. J’étais entourée de mecs et Benoît faisait de son mieux pour me protéger des plus lourds.
  • Benoît – Cette fois là, j’ai presque eu peur, c’était une marée humaine qui nous entourait, une forêt de bites qui tendaient toutes vers ma femme, sans compter les autres libertines qui regardaient ça d’un air halluciné.
  • Diane – A 19h30, j’étais encore en train de sucer des mecs, le corps totalement couvert de foutre et de sable. J’ai pris un bain de mer pour me rincer sommairement, et c’est là que je me suis rendue compte que j’avais arrêté de compter à partir de la vingtième éjaculation.

Et ça n’est pas dangereux ?

  • Diane – J’évite le sperme dans les yeux, au niveau du sexe et du cul. Et je n’avale pas. Pour l’instant, rien à signaler, tout va bien.
  • Benoît – Il faut toujours faire gaffe au mec qui profite d’une gorge profonde par exemple. En général, les mecs indélicats sont molestés par les autres, qui ont trop peur que l’on parte.

Tu fais des gorges profondes ?

  • Diane – Je ne les fais pas, je les subis. Je veux dire que ce n’est pas moi qui fait la gorge profonde, mais j’adore qu’un mec comprenne ce que je veux et me tienne la tête pour m’enfoncer sa bite bien au fond. C’est le côté machine à faire jouir les hommes qui m’excite. N’en déplaise aux féministes, je ne les ai pas attendues pour être une femme indépendante et libre.

Quel est votre meilleur souvenir de bukkake ?

  • Diane – Sans aucun doute, le plan sur la plage, même si c’est vrai qu’il fallait calmer les ardeurs des mecs. A un moment j’ai crié qu’il y en aurait pour tout le monde, ça les a rassurés

(rires)

  • Benoît – Pour moi, c’était une sortie dans un glory-hole avec une copine amatrice de sperme également. Il n’y a pas de raison que je n’en profite pas aussi un petit peu.