J’étais en voyage dans un pays du Maghreb. La chaleur et le soleil m’obligeaient à entrer dans des lieux climatisés, parmi lesquels, des commerces avec leur charme et leur côté pittoresque ainsi que des cafés du plus banal au plus exotique. C’était dans un de ces derniers où j’allais avoir la plus belle surprise de cette expédition. Je rentrais donc dans cet établissement qui faisait bar dans une partie et spectacle dans une autre. Rien que pour l’architecture, cela valait le coup d’entrer ; les murs étaient taillés, des sculptures disposées un peu partout ainsi que des fontaines. Il y avait aussi une scène d’où les tables mises en arc de cercle. La soirée commençait doucement et j’appréciais un thé à la menthe dont les locaux en avaient le secret. Je me décidais à attendre voir si un spectacle allait se dérouler et je mangeais sur place. On me servit un couscous royal.

La lumière commençant à manquer, ils allumèrent des torches qui rendirent la salle encore plus magique. J’appréciais ce décor des mille et une nuits. Bientôt un petit orchestre s’installa et la musique débutant, le silence se fait. Nous regardons les musiciens avec leur instrument originaux. Quand survint une belle danseuse avec son voile transparent, sa ceinture de piécettes dorées sur ses hanches et son soutient gorge de toute beauté. C’est une femme magnifique à la peau mate qui avait les yeux vert clair ce qui me fit chavirer. Je la regardais déambuler son corps devant moi et tel le loup de Tex Avery, j’avais une langue qui pendait jusqu’à terre. J’entendais les clochettes de son ventre qui me lançaient un appel à l’amour. Nous étions en semaine et déjà certaines personnes avaient déserté les lieux. Je commandais une glace pour me rafraîchir. Le temps de la manger, je restais seul spectateur. A ma plus grande surprise, cette danseuse orientale s’approcha de moi et me demanda si je voulais qu’elle me fasse un massage dans une salle à deux pas. J’acceptais son offre sans lui demander le prix tellement j’étais sous le charme. Elle m’emmena dans un local situé en recul de la piscine. Je pris place sur la table de massage sur le dos après avoir enlevé mes vêtements et glissé une serviette autour de ma taille. Elle avait des mains douces qui étaient sur tout mon corps en même temps. L’huile tiède et parfumée facilitait ses caresses au départ légères puis plus appuyées. Je sentais mon entre jambe se raidir et me sentais gêné. Elle me fit me retourner et là, je me suis senti fort désœuvré.  Elle regarda et rigola. Elle massa mon buste, mes jambes et mon ventre. Quand elle attaqua ce dernier, tout mon être tressaillit. Ma belle danseuse masseuse enleva son soutient gorge, colla ses seins sur mon torse et se frotta.

Mon érection était de plus en forte. Elle enleva subitement ma serviette et appliqua son lubrifiant sur mon sexe. Elle glissa mon phallus entre seins et me caressa les bourses comme pour les soupeser. Elle me fixa droit dans les yeux, essuya mon chibre et entreprit avec sa bouche sous son voile transparent. Je vous assure que ce n’était pas ma première pipe mais celle-là était de loin la meilleure. Elle jouait avec sa langue sur mon gland, mon frein, ma hampe, mes testicules (qu’elle gobait par moment) jusqu’à s’aventurer dans mon anus. Elle alternait coups de langue fins de la pointe avec des gros où je sentais toute sa langue avant un gobage complet jusqu’à sa gorge. Puis, elle me masturbait avec ses mains de façon énergique. Son système était si bien rôdé que je faillis envoyer ma semence rapidement mais avec son expérience, elle serrait la base de mon sexe pour m’empêcher de le faire. Elle se déshabilla après et je pus admirer son corps si parfait. Je suis pour l’épilation intégrale du maillot mais le petit triangle laissé lui allait à ravir. Je voulus manger son abricot mais elle me repoussa. Elle se mit à califourchon et s’empala sur moi. Elle mouillait beaucoup et je compris seulement à ce moment là qu’elle le faisait aussi pour son plaisir. Elle faisait de grands mouvements pendulaires qui me faisaient toucher le fond de sa chapelle ardente. Elle se masturba le clitoris et jouit en femme fontaine. Au moment où j’allais partir en elle, elle se retira et me fit entrer dans son orifice bien serré. Elle devenait folle et accélérait encore la vitesse. Sa rondelle bien dilatée par mon pilonnage est venue se placer au-dessus de mon visage, elle me demanda de la lécher pour lui refroidir.

Pendant que je m’appliquais à lui faire, elle reprit sa fellation et j’éjaculais dans sa bouche. Elle était gourmande et avala tout. Nous nous quittâmes sans qu’elle ne veuille se faire payer au moins du massage et je ne puis l’oublier !