Je suis une femme mature qu’on appelle souvent cougar, car je suis une mangeuse d’hommes et depuis mon divorce il y a deux ans, je cherche sur le net des petits jeunes pour venir me baiser comme une chienne. Je suis nymphomane et j’aime les queues raides et endurantes, ce que ne me donnent pas les hommes de mon âge.

Je vais vous raconter la fabuleuse aventure que j’ai vécue la semaine dernière.

Je vais toujours faire mes courses au même endroit, dans un supermarché du coin. Il était tard et j’étais fatiguée. Je me dirige vers le parking souterrain du supermarché et je range mes courses. Lorsque je veux ramener mon chariot, évidemment, il se coince. Toujours sur moi que ça tombe. Mais ce coup, je vois arriver le jeune qui s’occupe des chariots. Un beau jeune homme d’environ 25 ans, musclé, un regard perçant. Je l’avais remarqué quelquefois en faisant les courses. Il arrive vers moi, se met derrière pour m’aider à pousser le chariot. Le cochon me dit qu’il faut bien pousser à fond et donner un bon coup de reins. J’en ai trempé ma culotte en l’écoutant. Effectivement, le chariot s’est débloqué. Comme je suis une grosse salope, je lui demande si sa technique marche pour tout. Il me répond avec un petit sourire que souvent un bon coup de reins débloque les choses. Je lui dis que je suis bloquée et de là tout va très vite.

Il m’empoigne avec force et me plaque contre le mur. Nos bouches se collent et nos langues se mêlent. Sa respiration est forte et ses mains sont baladeuses. Les miennes descendent vers sa queue et je malaxe sa bite à travers son pantalon. Il me dit à l’oreille de le suivre dans un petit local du parking qui est à l’abri des regards. Il se met dos au mur et baisse son pantalon. Je baisse son caleçon et découvre une bite épaisse et longue qui me fait saliver. À genoux, je prends sa bite en bouche et gobe son sexe qui peine à rentrer en entier. Il bute contre le fond de ma gorge. Le jeune me prend par la tête et fait un va-et-vient avec sa queue au fond de ma gorge. J’aime les gorges profondes. La mouille coule à travers ma culotte et le long de mes cuisses. Il me relève et nous changeons de position. Il se met à genoux et je passe ma jambe sur son épaule pour lui offrir ma croupe baveuse. Sa langue fouille ma chatte et il me met des doigts dans le vagin qui me branlent comme un fou. Ses doigts sont trempés et il me les donne à lécher. J’aime le gout de ma mouille grasse et fraiche. Il me lèche un peu, mais je sens qu’il a qu’une envie de me planter son pieu au fond de la chatte. Il pointe son gland devant l’entrée de mon vagin et me donne le même coup de reins que pour le chariot. J’en ai le souffle coupé tellement sa bite est grosse et épaisse. Le salaud me dit des cochonneries et me traite de sale pute. Je mouille encore plus et je coule comme une fontaine. Il me défonce comme une chienne dans le sous-sol du supermarché et ses couilles tapent contre ma peau luisante de mouille. C’est délicieux, il est beau et fort. Sa puissance me perfore le vagin et je sens l’orgasme monter. Je me cramponne à ce que je peux et je hurle tout ce que je sais, car il maintient la cadence pendant que je jouis. J’ai à peine le temps d’apprécier mon orgasme, qu’il me fait remettre à genoux et me donne sa bite à sucer pour me lâcher des gros jets de foutre épais au fond de la gorge. Il secoue les dernières gouttes, se rhabille et s’en va, me laissant seule à genoux, la chatte démolie, trempée, et la bouche pleine de sperme. Je n’ai pas pris le soin de me nettoyer et je suis rentrée vite chez moi pour ranger mes courses.

Le soir, je me suis caressée en repensant à la scène et j’ai joui fort. Demain, je retourne au magasin, car j’ai oublié de prendre le sucre.