FANTASME CELTE
Cela fait longtemps que j’avais envie d’écrire nos histoires érotiques, par simple plaisir, et aussi pour garder une trace d’une période d’amour intense.
Alors aujourd’hui, c’est décidé, je me lance, et j’en profite pour tenter de le faire partager aux autres et surtout pour Elle. Je sais qu’elle lira cette histoire en rougissant un peu.
Je vais donc essayer de vous le raconter, avec mes mots.
Nous sommes un couple marié. Notre vie sexuelle est harmonieuse et nous sommes complices dans des jeux d’exhibitions en ayant eu quelques expériences de candaulisme.
Nous sommes un samedi matin et nous nous préparons pour aller à un festival de musique celtique pour 2 jours. Il va faire très beau et chaud et par conséquent, nous adoptons des tenues légères. Moi, tenue classique, pantalon léger et chemise, Elle, petite robe blanche et courte se boutonnant sur le devant. Sous-vêtements blancs quelle trouve sexy mais confortables car elle aime toujours faire l’amour en les gardant
Le lieux de ce festival se trouvant à bonne distance, nous primes la route vers 10H00 afin d’arriver à l’heure du repas de midi.
Il est vrai que sa tenue m’émoustillait un peu et une fois dans la voiture, sa petite robe, à force de bouger, dévoilait ses belles jambes bronzées. Ma chaleur interne grimpait en flèche. J’ai posé délicatement ma main sur sa cuisse. Elle réagit en posant sa main sur la mienne et l’amena directement sur sa petite culotte et son sexe qui lui aussi paraissait brûlant. Nous sommes restés ainsi pendant quelques kilomètres et nous dûmes nous contenter de cette petite caresse car nous arrivions à notre destination.
Nous choisissons un petit resto à l’extérieur de la ville dont la grande salle de banquet servait de salle d’habillage d’une troupe qui devait défilée l’après midi dans la ville.
Pendant le repas, nous avons fait la connaissance de Xavier, le maître de cérémonie de la troupe à qui mon épouse lui fit un effet dévastateur par des jeux de regards, des postures et petits jeux de jambes assez émoustillants sans être vulgaires ni trop provocateurs. Je vis tout de suite comme un élan entre eux, manifestement, ils se plaisaient !
Nous avons pris de ce revoir le soir afin de mieux faire connaissance et surtout parler des celtes dont l’histoire ou la culture nous intéresse.
Par contre. Il n’était nullement dans nos intentions d’aller plus loin que de faire connaissance et de passer une bonne soirée.
Après le repas, nous nous sommes dirigés vers le centre ville, à pied, afin de profiter du spectacle. 8 magnifiques troupes sur près de 1500 m rivalisaient de musiques, danses, et diverses acrobaties toutes aussi sympas les unes des autres.
La troupe de Xavier se trouvait à la 4eme place.
Nous avions remarqués que chaque groupes se tournaient systématiquement vers mon épouse. Ce qui nous paru tout de même assez curieux. Nous aurions dit que, malgré le monde, seule mon épouse attirée tous les regards. Elle était un phare dans le brouillard. Nous nous regardions sans vraiment comprendre.
A la fin du spectacle. Nous avons déambulés dans cette charmante bourgade pleine d’intérêt et de charme. Nous croisons des couples ou des hommes seuls. Mais toujours, des grands sourires. Nous aurions pu croire qu’ils nous prenaient pour des vedettes de cinéma ou de la chanson.
Amusés plus qu’inquiets. Nous rentrons au resto qui nous servais aussi de gîte pour la nuit.
Une fois dans notre chambre et près nous être rafraîchi. Nous sommes repartis au resto car nous avions rendez-vous avec Xavier pour l’apéritif.
Après 2 ou 3 verres et une très intéressante conversation ou nous avons pu apprendre plein de choses sur les celtes. Xavier nous fit une confidence qui mis fin à nos interrogations sur les regards, parfois appuyés sur mon épouse. Il nous fit même une petites démonstration. Il fit lever mon épouse et la plaça à contre-jour et, si elle ne voyait rien. Nous, nous avons pu apprécier le spectacle. Nous aurions pu croire que mon épouse était en sous-vêtement et franchement, c’étais magique. Le soleil, a travers sa petite robe, la déshabillait littéralement. A nos regards, mon épouse compris tout de suite et se mit à rougir un peu en se rasseyant. Xavier nous expliqua qu’à l’endroit ou nous nous trouvions. Tout le monde a pu le remarquer et cela à du satisfaire quelque voyeurs.
Malgré sa gène. Mon épouse le remercia et repris un autre apéritif, ce qui est loin de ses habitudes car elle est vite pompette.
la discussion dériva doucement vers nos expériences sexuelles. Nous discutons pendant un moment des charmes des femmes et bien que mon épouse ne soit très friandes de ce genre de conversation, se prit au jeu et dévoila à Xavier quelques uns de nos petits secrets d’alcôves. Du coup, c’est moi qui me suis senti gêné. Je voyais mon épouse sous un nouveau jour. C’est à ce moment que j’ai vu mon épouse commencer à vraiment allumer Xavier en déboutonnant quelques boutons du bas de sa petite robe ce qui découvre ses jambes presque à la limite de sa petite culotte et le croisement et décroissement de ses jambes n’allume pas que Xavier.
Du coup, nous avons dîné ensemble et pu profiter du spectacle de mon épouse qui poussa sa petite exhibition juste assez loin pour nous rendre très tendu dans nos pantalons.
Il était évident que cette soirée allée être plus chaude que prévu.
Après le repas. Xavier nous proposa d’aller prendre un verre en ville afin de nous présenter les autres groupes. Ce que nous avons accepté avec joie. Cela aura le mérite de nous rafraîchir un peu.
Bras dessus dessous, nous primes donc le chemin de la ville, toujours à pied. Xavier nous amena dans un petit cabaret ou la fête battait son plein.
Nous franchissons donc la porte ce « cabaret » club. Lumières tamisées, musique d’ambiance et verres sur les tables.
Nous avons décidés de nous asseoir et d’observer un peu le comportement des personnes présentes. Il y avait un podium ou des femmes et des hommes dansaient sous le regard de leurs conjoint(e)s.
Il nous présenta quelques amis et nous trouvons un canapé libre. Mon épouse se plaça entre nous deux et oublia de croiser les jambes ce que font la majorité des femmes, surtout lorsqu’elle porte une jupe courte et boutonnée sur le devant, spectacle qui n’échappa pas à un homme qui était assis au bar et qui lui dévorait son entrejambes des yeux d’un air gourmand. Son regard continuait d’épier les courbes de son corps. C’était tellement intense que j’avais l’impression qu’avec son seul regard, il avait fait tomber sa robe à ses pieds. Pour une femme, s’exhiber à une assemblée devant son mari est une source de plaisir incroyable. Croyez-moi, c’est très fort et ça témoigne d’une confiance réciproque et incroyable… Elle offrit à la vue de tous son petit bout de tissu intime qui moulait légèrement sa exquise fente, délicieusement bombée, il était visible qu’au niveau de son vagin se trouvait une petite tache humide.
Elle se coula au fond du canapé. Nous attrapons, Xavier et moi, ses jambes et les passons par-dessus les nôtres, offrant l’intérieur de ses cuisses et sa culotte tachée de sa stimulation à nos yeux et surtout à la vue de tous les membres présents. Elle s’est laissé faire sans résistance, subjuguée par sa passivité que je sais lié à l’excitation de ce moment. Ce n’est même pas de l’excitation sexuelle à ce stade. Rien que l’excitation de braver la morale, de faire quelque chose d’extraordinaire, elle qui n’a jamais autant osée…
Je n’avais jamais vu mon épouse aussi dévergondée et aussi à l’aise dans une scène aussi existante. – j’ai mis cela sur le compte de l’alcool. Je ne savais pas jusqu’ou elle irait. Mais pas mécontent car elle réalisait un de mes plus grand fantasme.
A plusieurs reprises, mon épouse alla danser, c’est une excellente danseuse ; elle a le rythme dans la peau et une grâce naturelle et pourtant à chaque retour pour s’asseoir, nous pouvions remarquer quelle avait défait un nouveau bouton ce qui fit qu’elle fini par danser avec sa robe totalement ouverte au milieu de tout les danseurs.
Xavier me confia à un moment. N’est-elle pas magnifique, ta femme ? Si, bien sûr, elle est splendide quand elle s’abandonne. Je suis sûr qu’à cet instant précis, tu la trouves plus belle que jamais. Je me trompe ? C’est parce que la voir être désirée la rend encore plus désirable à tes yeux. N’est-ce pas ?
Ue fois assise fatiguée d’avoir dansée, elle commanda 3 autres verres. A ce moment là. Je profite de la situation. Je descendis lentement ma main, pour venir placer un doigt au niveau de son vagin, par dessus sa culotte. J’appuyais pour faire rentrer doucement le tissus dans son sexe, jusqu’à ce qu’il soit complètement trempé. Alors un jeu de mains à trois s’engagea : il avait la moitié gauche de ma poupée, et moi l’autre moitié. Ma main écarta sa cuisse ; il en fit de même, et je commençai à caresser sa vulve. Je sentis tout de suite son degré d’excitation car elle était inondée de cyprine. Lui était en train de lui dévorer un sein après lui avoir remonté son soutien-gorge, aspirant, mordillant le téton et le caressant avec sa langue. Sa main vint toucher la mienne qui fouillait sa si belle chatte. Assise entre nous deux. Nous avions Xavier et moi une main entre ses cuisses, soit dessus ou dessous de sa petite culotte. Elle gémissait, ondulait, ses joues étaient rougies par le trouble que lui procurait cette situation
Son sexe et ses petites et grandes lèvres sont douces, froides et chaudes en même temps… la peur et l’excitation mêlées. Je passe mon bras derrière sa nuque pour la prendre dans mes bras. Sa tête se pose naturellement sur mon épaule tandis que ma main caresse son petit sexe. je l’embrassai dans le cou, la caressai en lui murmurant qu’elle était belle et qu’elle devait se laisser aller, ce qu’elle fit dans les secondes qui suivirent, emportée par des vagues de plaisir qui la submergèrent. La voilà lovée contre moi, profitant de nos caresses douces et expertes, sous l’œil attentif des hommes et femmes présents.
Passant ma main sous ses fesses. Mes doigts prennent maintenant possession de son petit trou . Je caresse son anus, glisse mes doigts dans son antre intime et je profite de sa mouille pour faciliter l’introduction de mon doigt. Ah ça, pour dégouliner, son sexe dégouline. Elle me trempe la main. Elle gémit aussi, geint, se tortille. Impossible que cela s’arrête pour elle. Elle sait qu’elle est partie sur la route de l’orgasme et il n’est absolument pas question de faire demi-tour. À ce stade, que ce soit, moi son mari ou un quasi-inconnu qui la doigte devant une salle pleine de gens inconnus n’a plus d’importance.
Au vu des regards des autres participants à cette fête. Xavier nous avoua que ce club était ouvert au libertinage sans pour autant être un club libertin officiel
Je compris mieux, que malgré des regards envieux, d’homme et de femmes, que personnes ne soient choqués de nos caresses sur mon épouse.
La suite fut pour moi une vrai découverte et c’étais la première fois que j’ai éjaculé sans avoir eu besoin de me toucher ou me faire touché par une femme.
Après repris plusieurs verres. Mon épouse était à point pour aller beaucoup plus loin.
J’ai du aller aux toilettes et j’ai donc abandonné mon épouse aux mains expertes de Xavier qui au vu de ses gémissements, je sus qu’elle avait jouie au moins plusieurs fois.
En revenant, j’ai cru défaillir en voyant le spectacle qui se déroulait sur le canapé. J’ai préféré m’accouder au bar afin de profiter de cette vue qui aurait rendu une personne normale totalement folle. je me suis métamorphosé en voyeur lubrique, totalement soumis à la volonté de ma douce, prêt à assouvir ses fantasmes.
Cette vision me provoquait une légère de jalousie, qui au vu de son comportement amplifiait mon état d’excitation et d’envie.
Xavier était assis dans un coin du canapé, pantalon sur les chevilles et mon épouse en levrette sur le reste du canapé. C’est alors qu’elle engloutie lentement sa queue dans sa bouche et qu’elle s’est mise à lui faire une longue fellation. Nous aurions pu dire qu’elle jouait avec le sexe de Xavier dans la bouche, sa petite robe relevée sur le dos et sa petite culotte descendu à mi-cuisses et un homme que je n’avais pas encore vu de la soirée, s’approcha doucement puis se mit à genoux afin de pouvoir embrasser le cul de déesse de ma douce. Il léchait, embrassait, mordait chacune de ses fesses, les massant. Il passa sa langue dans sa raie, lécha la corolle dorée luisante de mouille que fabriquait le désir de mon épouse. Avec ses mains, il écarta ses petites fesses en passant sa langue dans la raie dégagée de tout obstacle. Il léchait comme un mort de faim ; sa langue venait s’écraser contre son anus comme un petit sexe et introduisit dans son vagin, un puis deux, et enfin trois doigts qui la fouillait sans vergogne. Il avait la tête entre les fesses de mon épouse et lui dévorait son petit cul. Sentant cette caresse qu’elle adore. elle creusa son dos, ce qui eut pour effet de tendre un peu plus son cul vers son assaillant tant et si bien, que c’est elle qui lui hurla de la sodomiser ! Le membre de cet homme était raide, ferme, conquérant. Elle perdit le contrôle de ses sens. Elle attendit cette pénétration en poussant de puissants coups de reins. Elle roulait lascivement des hanches tout en écartant de plus en plus ses jambes. L’inconnu n’en pouvait plus, sa queue était en érection. Il se mit une capote et il approcha son sexe et il commença à pousser avec son gland contre son anus et son membre rentra d’un coup et sodomisa mon épouse devant toute l’assemblée. Les assauts du mâle sont vigoureux. Elle est saillie et heureuse. Elle s’offre toute entière au pieu de chair qui coulisse en elle, investie jusqu’au plus profond de son être dans cette chevauchée dantesque.
Malgré la musique, je pouvais l’entendre gémir de jouissance.
Cette image de mon épouse dans cette situation est restée gravée dans ma mémoire.
La suite fut une succession de délires sexuels car les autres hommes et femmes de la salle n’étaient pas en reste coté sexe, attouchements, dégustations d’organes génitaux.
Après un quart d’heure, il se retira et, après avoir enlevé sa protection, prit la place de Xavier. Xavier se leva et passa derrière mon épouse. elle écarta de sa main droite les lèvres de son sexe de petite fille, lisse et rose comme des dragées siamoises, indiquant qu’il fallait qu’il s’occupe aussi de son petit bouton. Comprenant très vite, il plongea sa langue dans sa fente et alla titiller son bouton d’amour. Elle due sentir monter un orgasme aux soupirs qu’elle poussait, je devinais que le plaisir allait l’envahir, et je voulus absolument la regarder jouir. Il prit, après s’être protégé, le sexe de mon épouse offert et ouvert.
Mon épouse prit le sexe de son « enculeur » et l’avala totalement. J’ai franchement vu qui éjacula au fond de sa gorge et elle continua à le sucer en avalant sa semence.
Xavier éjacula dans son préservatif ce qui fit presque hurler de plaisir mon épouse.
Mon petit bout de femme s’écroula sur le canapé et se mit en chien de fusil et, je crois qu’elle s’endormie.
Je l’ai rejointe. L’homme qui l’avait sodomisé et qui lui avait éjaculé au fond de la gorge me serra la main me remercia chaleureusement pour cette soirée et me complimenta sur ma douce, me disant qu’il n’avait pas rencontré de femme aussi exceptionnelle depuis bien longtemps et que j’étais un sacré veinard. Ça, j’en avais conscience et s’éloigna. Xavier, prit un air penaud en me voyant mais je le rassura en lui rappelant qu’elle était d’accord, qu’il ne l’avait pas forcée et qu’elle s’était offerte. Il s’excusa, parti quelques minutes et revint s’asseoir.
Après avoir repris un petit verre avec Xavier, en surveillant mon épouse que je n’avais jamais vue dans un tel état. Nous décidâmes de lui remettre sa petite culotte, reboutonné sa petite robe et de la ramener au gîte.
Arrivé à notre chambre. Nous l’avons allongés sur le lit toute habillée et sommes allés prendre un café dans la mini cuisine. Nous avons discuter pendant une bonne demi heure sur les événements de cette soirée.
Vu l’heure. Xavier retourna dans sa chambre me laissant seul.
Je pris une douche car j’avais vraiment éjaculé rien qu’en regardant ma petite femme se faire prendre et décida d’aller me coucher
En rentrant doucement dans la chambre. Qu’elle ne fut pas ma surprise de voir mon épouse allongée sur le dos, toujours habillée, les cuisses très largement écartées et une main sous ses fesses se doigtant son petit trou et l’autre se caressant son petit sexe épilé. Elle avait les yeux fermée. J’en revenais pas.
Je m’approchai du lit en silence me mit face à elle, Je bandais à en avoir mal. J’ai pris ses jambes et dévora son clitoris par-dessus sa petite culotte mouillée. Je ne sais pas si elle était vraiment consciente mais elle prit ma tête dans sa main et appuya ma bouche sur son sexe. Mes doigts prenant la fouille de son intimité. Elle me demanda de lui mettre un doigt dans sa rosette à la place du sien. j’aventura mon majeur sur le pourtour de son si joli anus et essaya de l’enfoncer et lorsque je présenta mon majeur, il fut comme aspiré. A la réaction, une douce chaleur dut envahir le creux des reins de ma reine, et pour bien se faire comprendre, elle se retourna en se mettant sur le ventre et m’offrit son petit cul. Je descendis sa petite culotte et savoura son petit fruit.
Elle écarta ses deux lobes comme une invitation à la prendre ce que je fis sans me faire prier en insérant un doigt puis deux, et enfin je posai mon gland à l’entrée de son œillet. Elle me cria Vas-y mon bébé, encule-moi, vas-y, ne t’arrête pas. Ses mots agirent sur moi comme un détonateur et le plaisir m’envahit avec une intensité incroyable. J’ai eu beau essayer de me retenir mais j’ai vite joui en elle. Je jouissais enfin dans son cul, et j’adorais ça. ma chérie ondulait du bassin, cherchant à me vider totalement. C’était bon. Sa cyprine dégoulinait sur son pénis, on aurait cru une femme fontaine. Elle sembla satisfaite. Je lui ai remis son slip et m’allongea prés de mon amour et nous nous sommes très vite endormis.
Je fus réveillé par cette agréable sensation du matin que les hommes connaissent. Mais cette fois une chaleur supplémentaire s’ajoutait à ce plaisir matinale. Je surpris mon épouse en train de me sucer le sexe dans l’état ou je me suis endormi après l’avoir prise par son petit trou.
Elle avait mis sa petite robe et son soutien gorge sur un porte manteau mais avait toujours sa petite culotte.
Elle s’arrêta quelques secondes et me sourit, de ce sourire qui m’a toujours fait craquer depuis tant d’années. Vu que j’étais réveillé, elle se mit en 69 et j’ai pu profiter de son odeur de petite fille négligée car elle sait que j’adore cela. Cette odeur de femme qui a fait l’amour pendant toute une nuit. Elle poussait des petits cris tout en mordillant, suçant et branlant ma queue qui ne demandait qu’à exploser. Je sentis mon plaisir arriver et voulus me retirer, mais elle en décida autrement et me garda en bouche alors que je me déversais au fond de sa gorge ; elle me but jusqu’à la dernière goutte.
Nous devions libérer la chambre dans quelques minutes. Alors nous nous sommes habiller avec nos vêtements de la veille, avec nos odeurs et celles des autres participants, sans prendre de douche.
Nous devions rester encore une partie de la journée dans ce magnifique village. En arrivant à la voiture, nous avons constatés que le groupe de Xavier était parti pour une autre parade. Mais nous avons trouvés une enveloppe kraft sur le pare-brise avec un simple petit mot – merci – et qui contenait une cassette.
Nous primes la décision de rentrer très vite chez nous avec l’envie de savoir ce qu’il y avait sur cette cassette mystérieuse. Le voyage me paru durer une éternité. Ma douce s’endormie avant même la sortie du village.
Arrivés à la maison, nous nous sommes précipités sur le caméscope et là la surprise fut totale.
En fait, cette cassette avait été enregistrée par un ami de xavier et avait été transféré sur une VHS. Donc, il doit rester dans la nature 2H30 des ébats et exhibitions de ma Dou.
J’ai pu visionner quelques passages que je n’avais pas vu. J’avais du partir aux toilettes plus longtemps que je ne l’avais imaginé car pendant mon absence, Xavier dù aller au bar chercher à boire ce qui fit que mon épouse se trouva seule sur le canapé. Mon épouse en profita pour s’allonger sur le dos, ouvrit, ses cuisses en grand et s’est mit à se caresser le sexe et cela devant tout le monde. Une belle jeune femme est même venue lui lécher le sexe, toujours à travers sa petite culotte qu’elle avait encore en place ce qui lui déclencha des spasmes de plaisir- elle qui n’est pas bi du tout – Xavier revint s’asseoir suivi d’un autre homme. Elle n’a rien dit lorqu’il l’a fît mettre à quatre pattes pendant que Xavier se laissa défaire son pantalon et slip et elle se baissa pour mettre son sexe dans sa bouche.
Notre 2eme homme accompagné de Xavier, qui avant de lui dévorer son petit trou et la sodomiser, lui a largement caresser les seins, le sexe et les fesses.
A la vue des images. J’ai vu de la honte sur le visage de mon épouse car elle fut surprise de son audace et des ses prouesses.
Je l’ai prise dans mes bras. Elle pleura. Je l’ai rassuré en lui disant – je t’aime mon petit bout de femme. Malgré cette situation, cela eu l’air de l’émoustiller tout de même et Il ne fut plus question de prendre la douche tout de suite. Nous avons refait l’amour en regardant l’intégralité des ébats de ma petite femme dans le club.
je ne sais comment la remercier pour tout cet amour qu’elle me donna de bien des manières, si ce n’est qu’en l’aimant – ou plutôt en l’adorant – encore et toujours plus.