Je suis dépanneur informatique. Après avoir répondu à un appel téléphonique, je pars. J’arrive dans la demi-heure et sonne. Une femme d’une trentaine d’années m’ouvre. Elle est belle mais je n’ai pas le temps de rêver et la suit jusqu’à son ordinateur en panne. Elle porte une robe très courte. Elle me montre le problème en s’asseyant à mes côtés et je vois son string.  Ce coup-ci, pas de doute, elle m’allume. Elle écarte ses jambes. Je la veux sur mon sexe mais je fais semblant de rien. Elle prend ma main et la met sur sa cuisse. Je la caresse au départ à l’extérieur de sa cuisse puis à l’intérieur. J’approche ma tête de son bas ventre mais je l’embrasse sur le ventre puis remonte et lui mange un sein au travers de sa robe. La coquine ne porte pas de soutien gorge mais ses seins durs tiennent tout seuls. Nous nous embrassons à pleine bouche et jouons avec nos langues.

J’attrape sa langue avec mes lèvres, elle me caresse la nuque et la tête. Je lui suce la langue, c’est un truc que j’avais vu dans un film x. Elle a l’air d’apprécier. Je me colle contre son corps chaud comme de la braise et tout en continuant de nous embrasser, je me positionne entre ses cuisses et la caresse langoureusement. Je me décide à remonter sa robe pour laisser apparaitre ses gros seins rebondis. Ils ont de grosses alvéoles claires et des tétons bien excités. Je lui dévore avec passion, elle pousse de petits cris qui m’encouragent à continuer et même, aller plus loin. Elle masse mon dos et mes flancs. Ses yeux sont fermés et sa bouche ouverte. Elle dodeline du chef ce qui prouve son désir montant. Je passe d’un sein à l’autre,  sans préférence car les deux sont de même taille et très récepteurs à la succion et au pétrissage. Ma main descend sur son sexe et je m’active sur son string et en lui mangeant toujours un sein pendant qu’elle se motive l’autre. Je passe ma main sous son parachute et lui astique la vulve avec le dos de ma main. D’après ce que je sens, elle n’est pas pour l’épilation intégrale, ni pour le ticket de métro, sans être pour autant une chatte poilue car les abords sont doux et bien dégagés. Je pince son capuchon clitoridien entre mon majeur et mon index, elle me tient son sein pour que je lui mange avec plus de vigueur. Puis je lui lèche sous son sein pour entreprendre ma descente jusqu’à son paradis. Je lui mange son appendice érectile et lui masse une fesse, elle continue le massage de ses seins. Elle passe sa langue entre ses lèvres, et gémit de plus en plus. Je retire son sous-vêtement qui me gène pour un cunnilingus bien réussi.

Je lui bouffe littéralement la chatte et ses poils chatouillent mon nez. Elle commence à jouir, sa respiration s’accélère et je la pénètre de ma langue dans son vagin. Je fais des allers retours clito-vagin. Son petit abricot est bien ouvert. Je fais de grands coups de langue de la base de ses grandes lèvres jusqu’en haut. Elle pose son pied sur mon dos mais son talon aiguille me fait mal. En fait, j’espère qu’elle va rapidement s’occuper de moi. Elle me regarde avec passion et pose sa main sur son sexe pour éviter de jouir tout de suite. Je me redresse et enlève mon t-shirt puis mon pantalon et caleçon. Elle approche sa tête de ma bite et la prend en pleine bouche et commence ses va et vient. Elle est très douée. Elle prend la base de mon sexe dans sa main et continue son manège.

Elle ferme les yeux et y met tout son cœur. Elle accompagne les mouvements de masturbation de sa bouche avec ceux de sa main. Elle me fixe enfin et joue de sa langue sur toute la longueur de mon pénis en pleine action. Elle se caresse le bas-ventre en même temps. Elle a du plaisir à m’en donner et ça se sent. Elle se met debout et me place sur sa chaise. Je croyais qu’elle allait venir sur moi et bien non, elle continue à me gober. Je la coiffe en mettant ses cheveux en arrière pour mieux la voir s’occuper de moi. Elle penche sa tête sur le côté et je vois mon sexe lui défoncer la joue, quel bonheur ! Je lui dis que je vais venir en elle si elle continue et là elle y va encore plus fort. Elle veut que j’éjacule dans sa bouche. La sentence ne tarde et je la remplis de mon sperme tout chaud qu’elle avale sans sourciller. Je me rhabille, la dépanne et pars. Elle me paye et me dit à la prochaine. J’ai hâte de revenir…