Cela fait 5 ans que nous sommes ensemble. Grâce à cet Amour, je fais des choses, qui me semblaient avant, impossibles à tenter sur le plan sexuel. Aujourd’hui, je suis de sortie avec mon mari dans un endroit où les prostituées ont pris place. Nous arrivons sur ce parking en plein centre ville, il est 1h du matin. Comme il est fréquent de le voir en ces lieux, des voyeurs sont là.

C’est pour mon mari,  que je me suis décidée à le faire. C’est son fantasme ! Il veut m’exhiber à des mateurs. Il sait que je suis prête à tout pour lui : dévoiler mon corps et même me masturber devant ce public d’un soir. Je suis habillée d’un soutien gorge redresseur pull up noir découvrant largement ma poitrine, et d’un tanga bien échancré, qui recouvre à peine mes fesses et entre-ouvert à l’entrejambe. Tout ceci acheté en cachette de mon mari et qui est pour l’instant, dissimulé sous mon long manteau. Nous choisissons un endroit délaissé par ces dames qui font le plus vieux métier du monde. Elles ne s’y mettent pas pour une raison bien simple « trop éclairé » ; nous, justement, nous voulons être vus.

Deux silhouettes approchent de notre voiture. Mon mari entre-ouvre nos fenêtres afin que la buée s’estompe. Quand les deux personnes arrivent à mon niveau, j’ouvre en grand mon manteau. Ils bloquent sur la vue de ma poitrine mise à nu et mon chéri se décroche la mâchoire tant mon effet est réussi ! Je commence par m’occuper de mes seins. Je mouille mon doigt dans la bouche de mon cher et tendre et je me titille les seins. Un peu gênée au départ, je commence à prendre plaisir, de toute façon, je ne peux pas revenir en arrière. Je soulève mes nichons et les suce à pleine bouche. J’ai de gros poumons qui me permettent de le faire ! Ils se raffermissent et se gonflent sous mes coups de langue. Je les colle contre la vitre latérale pour exciter d’avantage les deux mateurs. Le froid provoquait par cette barrière translucide, me fait de l’effet. De plus, je vois que les deux hommes ont sorti leur matériel et se masturbent. Ma main caresse mon bas ventre. Mes jambes sont écartées avec les pieds sur le tableau  de bord. J’ai l’impression d’être une grosse salope et le pire, c’est que cela me plait. Les voyeurs peuvent considérer l’état d’excitation dans lequel je suis car mon sexe est largement ouvert et mon clitoris bien gonflé. Je remets mes doigts dans la bouche de mon mari qui s’est mis à l’aise découvrant ainsi son érection des bons jours.

Mes doigts mouillés viennent pétrir le capuchon de mon désir. Je deviens une femme fontaine : j’éjacule par salves ma cyprine et inonde l’intérieur de la voiture. L’un des badauds éjacule sur la porte. Je sors un double gong tout neuf et me l’introduis dans le vagin. La sensation est forte, je commence à piailler. Est-ce le fait de m’entendre gémir mais le deuxième laisse partir sa semence. Je m’enfonce l’autre partie de mon gong dans l’anus, ce qui me fait jouir mais je continue les allers retours dans mes deux orifices, tout en suçant mon chéri qui ne tarde pas à éjaculer. Son élixir remplit alors ma bouche et je joue un peu avec son sperme dans ma cavité buccale en ouvrant bien pour qu’ils puissent le voir tous les trois et je finis par l’avaler. Nous repartons avec les cartes de visite des deux inconnus que nous mettons à la poubelle en rentrant, ravis de notre virée de débauche.