Une de mes quatre expériences secrètes, la plus sage:

Un de mes secrets dont mon mari n’a pas connaissance.
Nous sommes allés avec un couple d’amis à une exposition de matériel de secours incendie, dans la somme, au mois de septembre, exposition qui avait lieu à l’occasion d’un congrès des sapeurs pompiers. Mon mari travaillant avec des industriels du domaine poids lourds et son copain traitant de marchés publics pour les pompiers, ils avaient hérités de quatre badges « industriels » donnant l’accès à volonté au parc et galas exposants. Nous arrivons le 27, et après un bon restaurant, superbe soirée de gala, chevaux à l’honneur, au Zénith tout près. Le 28, petit tour en baie de somme, pas folichon, mais calme et relaxant.
Nous revenons le 29 pour assister au concert de clôture du congrès, toujours au Zénith. C’est une splendide journée ensoleillée et nous passons notre temps en visites de stands, discussions techniques pour les hommes, sourires pour les femmes. Repas bien arrosé puis le concert de clôture des Nightingales. Quand le concert a été terminé, un de nos industriels inviteurs nous propose une dernière coupe sur son stand, superbe côté technique, plusieurs engins destinés aux services exigeant de la hauteur ; le stand est sur un bord du parc, au ras des arbres qui entourent celui-ci.
Nous voici partis dans la nuit pour un dernier verre, six ou huit couples de clients, les directeurs, général, financier et technique plus quelques techniciens et secrétaires. Le champagne coule à flots sous la tente et les rires deviennent vite sonores ; le directeur général venant de poser la question de savoir comment nous trouvions ses matériels, chacun y va de ses compliments. Dans le brouhaha, le directeur technique, qui lorgne depuis un bon moment sur mes seins et ma croupe me propose de faire un tour de nacelle ; je ne suis pas saoule, mais guillerette, et comme je ne vois pas mon mari, j’accepte la proposition, inhabituelle sur ce genre d’expo. Dehors, il fait bon, tiède, à peine de vent. Je suis toute en blanc, j’ai mis pour cette soirée un chemisier d’été à manches courtes, boutonné devant en tissus légèrement satiné avec un jupe flottante, courte mais sans plus, un ensemble Millésia blanc pour les sous-vêtements et une paire d’escarpins blancs Solène pour me grandir un peu dans ce milieu d’hommes.
Nous arrivons sur le bord du stand d’expo et je vois un engin marqué 270 TPE, une espèce de grue repliée, avec au bout une nacelle, comme un gros pot de yaourt crème, sans porte, juste équipé de quelques échelons pour monter dedans. Mon accompagnateur demande au technicien si tout est opérationnel, lequel lui répond « c’est ok, nous tournons sur groupe électro-hydraulique pour le bruit », pour moi, ça me va bien comme je n’y connaîs rien…. Roland, c’est son nom monte dans la nacelle et me tend la main ; j’escalade les barreaux tant bien que mal avec mes chaussures et j’enjambe le bord de la nacelle, ma jupe remonte sur mes fesses et Roland m’attrape avant que je ne tombe à l’intérieur, mon second pied coincé sur un barreau. Il m’a tout bonnement attrapée par l’entrejambe et sa main s’attarde un peu trop sur la dentelle.
« c’est ok demande le technicien, je vous passe la main ! »
Nous sommes maintenant debout dans l’espace exigüe et Roland manipule les petits leviers de commande, mais il semble crispé ; « attention, il ne faut surtout pas faire de gestes brusques, sinon ça peut basculer ». Nous montons d’abord vers les cinq mètres, au-dessus des éclairages et on voit des exposants en train de démonter leur stand ; le bras de la nacelle est horizontal et nous sommes au dessus du vide, j’ai un peu peur, les mains serrées sur le bord et les deux pieds calés de chaque côté des parois. Roland appuie sur un bouton et nous mettons à tourner, lentement, presque sans à-coups, nous arrivons au-dessus des arbres lorsque l’engin s’immobilise, je me tourne vers Roland, il a abandonné le boîtier de commandes et ses deux mais sont sur mes fesses « ne bougez pas, nous sommes en limite de bras », mais les siens sont actifs et il fait remonter ma jupe sur ma taille puis glisse ses mains dans mon tanga et me caresse. La situation est assez plaisante, stressante du fait de notre position, mais plaisante et je me mets vite à mouiller d’envie.
« y a un problème demande un voix venant du bas »
« non, nous observons un écureuil » répond Roland.
Il me retourne, presse mes seins et m’embrasse savamment.
« Déshabille-toi vite » me dit-il en manipulant les manettes ; pendant que la nacelle monte, je fais glisser ma jupe et mon tanga, défait corsage et soutien gorge et je reprends ma position, mains sur le bord et jambes écartées.
Nous sommes à la verticale du camion porteur, au moins vingt-cinq mètres, invisibles dans le noir, mais voyant tout ce qui se passe en bas.
« maintenant, on ne bouge plus » dit Roland en prenant mes deux seins, il serre mes tétons et je gémis de plaisir, il les fait rouler entre ses doigts et ils deviennent durs, ils sont passés sous la douleur du rose au rouge foncé. Je serre les lèvres pour ne pas gémir, mais Roland me dit « ne te retiens pas, personne ne peut entendre » et je lâche un « ohhhhh ouiiiiiiiiii » ; puis une main descend vers mon ventre et me caresse jusqu’à ce qu’un premier orgasme me secoue, je donne un violent coup de reins qui fait vibrer la nacelle « doucement ma petite salope » me dit Roland, puis je sens son pantalon descendre et sa main bouger dans mon dos. Une masse chaude vient au contact de mes petites lèvres et cherche le chemin de mon vagin. Quand il est au fond de moi, Roland me reprend les seins et me besogne tout doucement, c’est divin, mais le moindre mouvement rapide est dangereux. Je suis besognée ainsi depuis dix minutes quand un petit haut parleur dans la nacelle demande « ça va M B…. la direction vous attend » ; je crois que j’aurais hurlé de colère si la situation l’avait permis ; Roland s’est retiré, réajusté et me dit « rhabille toi vite, je vais manœuvrer doucement ». Je me rends présentable, mais j’ai la chatte et le ventre en feu, et c’est complètement frustrée que je descends de l’engin.
Nous rejoignons la salle et les autres convives, mon mari est là, avec le DG et son épouse et il me demande où j’étais passée, Roland qui arrive, lui dit qu’il m’a fait faire un tour de nacelle et devant le regard courroucé de son patron s’esquive rapidement dehors, moi je prends une bouteille de coca et apaise ma soif.
Je demande à un garçon où se trouvent les toilettes et je m’y précipite, ma bouteille à moitié vide en main ; j’ôte jupe et tanga, m’installe bien calé dos au mur et je me masturbe comme une folle, la bouteille me distendant la chatte mais la douleur de la pénétration apaise à peine mon envie et je jouis, seule en secret.