J’ai ce qui s’appelle de gros seins. Je ne parle pas de celles qui se font mettre des implants énormes que je trouve ridicules et disgracieux mais moi,  je fais un 90 F, 100 % naturel. Ils se tiennent bien et réagissent très fort aux stimulations, que ce soit aux caresses, aux coups de langue et même aux légers pincements. Je viens de sortir de ma douche et je me tiens devant mon psyché. Je regarde mon corps dans les moindres recoins pour traquer la cellulite et les poils disgracieux que j’aurais oubliés d’épiler sous la douche. Je suis de la vieille école, je garde le ticket de métro. Je vois mon sexe avec  ses poils bien délimités.

Après, je penche mon corps en avant pour regarder si mon anus est bien dégagé, autrement dit, vérifier si le résultat me plait assez ! Je suis fière de mon corps car je l’ai sculpté avec beaucoup de sacrifices. J’ai tendance à prendre alors je me suis mise au régime et fais du sport. A force de me regarder, je pense que ce corps mérite que je le prenne en photo, seul souci, je suis seule et pour le devant je m’en sortirai mais pour l’arrière, pas facile. Mais bien sûr, le miroir sera mon complice. Je commence par mes seins afin qu’ils soient au meilleur de leurs formes, je les stimule un peu. Je lèche mon majeur et dessine de grands cercles autour de mes mamelons jusqu’à venir titiller mes tétons. Mes seins gonflent. Je les photographie par-dessus en direct et une autre de face dans le réflecteur. Ils sont beaux et sont ce que je préfère chez moi. Mais il est temps de me mater l’entrejambe.

Les premières photos se font le sexe fermé. Je comprends pourquoi on appelle ça un petit abricot. Je branle mon clitoris et à chaque étape de l’ouverture de ma caverne à plaisir, je fige l’instant. Je suis ouverte maintenant largement. On peut voir mon clitoris en érection et ma mouille qui commence à dégouliner entre mes lèvres. Je prends un de mes vibromasseurs que je mets sur mon con. La sensation est immédiate. Je mouille tellement : serai-je une femme fontaine ? Je m’introduis un énorme vibro dans le vagin. Je prends des clichés,  et me voir m’excite encore plus. Je me tourne en me mettant à quatre pattes et abandonne, à l’objectif, mon cul. C’est dans la boîte !. Je libère un de mes orifices pour m’occuper de l’autre. J’essaie de fixer ce moment en écartant mes fesses et en cambrant mon corps au maximum pour m’offrir largement à l’appareil. Puis, je mets un peu de gel lubrifiant sur la tête de mon plug. Pour une question de pratique, je m’assois dessus et reprends ma position d’avant. Mon anus est bien rempli, cette sensation de chaud avec la douceur de ce sextoy me font décoller.

Les yeux rivés sur le viseur, j’appuie sur la gâchette. Enfin, le moment, que j’adore, arrive. Je remets mon gros vibro dans mon conduit génital. Je suis tellement comblée que j’en oublierai presque d’immortaliser ce passage. Voilà, opération réussie ! Je finis ma masturbation en ne me fixant plus que sur mes seins et mon petit capuchon. La jouissance arrive, massive et puissante. J’inonde littéralement mon dessus de lit et fais une syncope de plaisir ! Peu de temps après, je regarde mes souvenirs scellés sur mémoire informatique. Quand j’ai voulu prendre la carte SD de mon appareil pour le mettre sur mon PC, j’ai remarqué qu’elle n’était pas dedans. Il me faudra donc recommencer pour mon plus grand plaisir !