Hello, j’ai pour habitude de publier des histoires érotiques sur les Xstory et Dialogue69.com … c’est ma première fois ici. Bonne lecture

Inceste entre mère et fils

En ce début de juillet des plus chauds, alors que j’entamais juste un travail d’été en équipe (5h30- 12h30…) à peine arrivé à la maison, maman des plus radieuse, me proposait d’aller se rafraichir, au bord d’un lac à quelques kilomètres de la maison. J’acceptais et en quelques minutes nous étions dans l’auto avec notre attirail de plage. Un message à papa pour l’informer de notre sortie, et maman au volant, prenait la route.
Quelque peu étonné j’étais, par la longue et « presque » transparente robe qu’elle portait. Les épaules dénudées, laissait parfaitement deviner que maman ne portait rien dessous, et tout en roulant je relevais cet état de faits, qui semblait nullement l’émouvoir… Très sobrement elle m’expliquait qu’avec son nouveau maillot rouge qu’elle allait porter pour la première fois ne faisait pas très joli sous cette robe blanche, et qu’elle avait envie des deux aujourd’hui !
Une fois sur place un peu à l’écart du monde, vers une zone non surveillée, on s’installait à plus d’une vingtaine de mètre des premiers baigneurs. Moi j’avais mon maillot short et maman prestement enfilait le sien et j’étais très vite subjugué, conquis-même par ce qu’elle « m’offrait »…
debout face au soleil, moi quasiment allongé, m’apparaissait un joli corps de femme de 44 ans, déjà bronzé, avec un des plus minimalistes maillots que je lui connaisse, rouge Ferrari, qui lui allait à merveille… tournoyant quelques peu, maman s’empressait de me questionner sur son nouveau maillot que je ne pouvais que flatter. Après une première baignade allongés côte à côte on était et maman s’empressait de s’étendre de la crème, et très sobrement, elle sollicitait mon aide…
Allongée sur le ventre je commençais, sur maman mon « massage » qui semblait parfaitement lui convenir allant même à défaire les bretelles de son maillot, pour ne pas les enduire de crème, et tout en échangeant je lui faisais remarquer que son maillot était vraiment minimaliste. Là maman se tournait, s’allongeait sur le dos et tout en déposant au dessus de sa tête, le haut de son maillot, maman me questionnait, comme si elle avait « fautée » d’avoir mis ce maillot. Tout le contraire je lui murmurais et alors que j’avais « presque » sous mes doigts sa jolie petite poitrine qui « pointait » rageusement, timidement je lui demandais si je devais continuer…. !
– Oui, oui mon chéri continue, cette crème est vraiment formidable contre les coups de soleil, et en plus elle sent très bon, et facilite le bronzage naturel….
Là très vite je percevais quelques gémissements, quelques tremblements alors que je parcourais son corps… agenouillé à ces côtés, quasiment collé contre maman, elle eu un geste alors que mes doigts enroulaient un de ces tétons des plus durs, sa main « s’agrippait » à ma cuisse, à chaque caresse…. ! Moi j’étais dans un drôle d’état : en sueur et avec une forte érection, que je tentais de dissimuler, je continuais des plus excité que j’étais à caresser le torse de maman qui s’en réjouissait….
Après un bref regard aux alentours, toujours loin de toute présence humaine, « j’osais » aventurer mes doigts plus bas que son nombril, et je devinais son ventre rentrer à l’intérieur d’elle comme si elle me « poussait » à continuer à glisser mes doigts à continuer mes caresses… !
Collé contre elle et allongé sur le côté, je lui murmurais que son corps était brulant, et à la même seconde, ces doigts « s’agrippaient » à la bosse de mon short de bain, pour me chuchoter :
– Mon chéri qu’est ce qui nous arrive d’être excité de la sorte…. ? ce n’est pas normal…. ? on est fou…. ?
Mon bras droit passait sous sa tête et ma main gauche elle sans retenue se risquait à glisser sous le fin tissu de son maillot : en fait un string de bain… et je la devinais perler, excitée qu’elle était aussi… !
Tout en gémissant, tout en se laissant caresser elle me suppliait presque qu’on aille vite dans l’eau pour nous calmer…, que c’était mal…, interdit…, ce qui se passait entre nous …, et se relevant brusquement elle m’offrait un merveilleux baiser d’amants fous, comme jamais de ma vie mes copines m’avaient offerts… Sa puissante et joueuse langue, s’engouffrait dans ma bouche…. et entre deux mouvements avec la mienne, elle me suppliait de ne pas continuer…, pas ici…, pas comme cela… !!
Mais dans la main on courait jusqu’à l’eau où on s’enfonçait jusqu’à ce que maman n’ai plus pieds, et accroché à mon cou, ces jambes m’entourant, encore un plus puissant et merveilleux baiser elle m’offrait, tandis que je lui triturais ces fesses dans l’eau. Tout en me chuchotant qu’elle n’arrivait pas à ce contenir, qu’elle était enflammée comme rarement, elle me demandait qu’on quitte les lieux…, qu’on aille n’importe où…, loin de tout et tous et de continuer…. !!!
Sans se soucier de rien, passionnés, ardents qu’on était on sortait de l’eau se séchant à peine et maman enfilait sa robe avant de jeter au fond de son sac son string de bain, pour être encore une fois entièrement nue dessous….
Après un dernier regard observatrice, vigilante qu’elle était, maman m’offrait un baiser…
– Je suis peu être et certainement détraquée…, déraisonnable, mon amour mais on en a trop envie tous les deux, partons vite….
Une fois vers l’auto, nos sacs jetés dans le coffre elle me tendait les clefs et prenant place au volant, maman à mes côtés, penchée et collée contre moi, presque « désolée, contrariée », elle me demandait de garder à tout jamais le silence, que personne ne devait savoir, qu’elle se savait pas ce qu’il lui arrivait mais qu’elle était comme envahis de folles envies…., comme si elle avait pris des cachets, pour être excitée de la sorte !!!!
Ces doigts déjà s’agitaient sur mon sexe des plus durs, et tandis que je lui présageais une rapide éjaculation, elle semblait « presque » s’en réjouir…. !
Elle encensait, glorifiait, admirait mon « long et fin sexe », qui semblait littéralement la transcender. Sans détour elle me réaffirmait son adoration, sa vénération pour les sexes d’hommes, et particulièrement le mien !!! Quittant la route principale, au bout d’un chemin caillouteux, entre deux champs de hauts maïs, je stoppais l’auto, et oubliant tout et tous entamions là des ébats amoureux des plus sulfureux…. jusqu’à épuisement total !
Sur nos sièges baisser, avec arrogance, insolence, ce qui semblait plaire à mon « amante », je lui ôtais sa robe, la jetais sur la banquette arrière et sans se départir, avec l’excitation qui nous animait, maman me « suppliait » de la prendre…. de l’aimer…, qu’elle n’en pouvait plus…. que je pouvais tout lui faire…, qu’elle aimait tout… !!!!
Comme pour se dédouaner, elle me chuchotait que c’était papa qui lui avait tout appris…, tout permis en matière de sexe, et que pour çà, elle lui serait toujours reconnaissante !
Là elle me repoussait prenait mon sexe dans sa bouche et m’offrit une merveilleuse fellation qui ne dura QUE très peu de temps. A presque 19 ans, stimulé comme j’étais, je ne me retins pas et avec délectation selon ces dires, je lui inondais sa bouche, son visage, ces mains de ma semence… Enflammée qu’elle était elle prenait les devants et reprenait avec vigueur caresses et baisers, auxquels je m’abandonnais, et très vite mon sexe prenait sa forme des plus durs, et tandis qu’à se demande je lui triturais, dévorais sa vulve entièrement nue de pilosité, encore plus « violemment » elle désirait que je lui « maltraite » celle-ci, m’avouant aimer la douleur dans ces moments-là !!!
Ni tenant plus, j’approchais ma queue de ces jambes ouvertes, malgré l’exigüe d’être ainsi dans l’auto, très « affamée, avide » de sexe qu’elle était, maman m’invitait à la prendre…, à la baiser….., encore et encore…, qu’elle adorait…, que c’était bon, et s’agrippant à ma chevelure perlant de sueur, m’encourageant à aller plus loin, plus fortement qu’elle en raffolait !!!
Etant dans une position inconfortable, docilement, maman se laissait sortir de l’auto, et adossée contre celle-ci, puis sur le capot, ne portant que ces sandales hautes d’été, entièrement nus nous étions, et avec envies, détermination, comme jamais de ma vie, je disposais à ma guise, à sa guise le corps d’une femme, d’une amante, comme jamais je n’aurais imaginé. Je prenais mon amante passant de la manière des plus « soft à la plus bestiale », très naturellement, comme si j’étais un véritable acteur porno. Secouée par pleins de spasmes de plaisirs, maman m’avouait que j’étais aussi coquin, aussi cochon que mon père et qu’elle s’en régalait, qu’on devait encore et encore continuer !
Elle se mit elle-même le torse sur le capot, jambes ouvertes, et pendant je ne sais combien de temps, parfois accroché, à sa chevelure, parfois maltraitant entre elle et le capot ces seins, j’allais et venais en elle sans affaiblissement, jusqu’à ce qu’elle me supplie d’arrêter, que j’allais la tuer…, qu’elle n’en pouvait plus de jouir, qu’elle allait s’évanouir !!!!
Sauvagement, je la retournais adossée sur le capot, jambes bien ouvertes, pieds touchant à peine le sol, et après un fougueux baiser, dans un autre monde que j’étais, poussé par je ne sais qui ou quoi, lui tenant la chevelure, et l’incitant à glisser à mes pieds, comme jamais dit à qui que se soit, je lui meuglais :
– Suce-moi…, suce-moi Salope…. vide mes couilles…. petite chienne que tu es !!!!
Là en un éclair, alors qu’elle s’exécutait, je comprenais ce que je venais de dire de faire et honteux j’étais, et alors que j’essayais de relever mon amante, encore plus ardemment elle me suçait, gobait !
Sur ces seins, sa bouche je jouissais une deuxième fois, et maman s’en régalait. Chancelants qu’on était, avec quelques kleenex on s’essuyait, et tout penaud qu’on était reprenant nos esprit, on osait à peine se regarder.
– Prends le volant mon chéri, tu m’as tuée…, je suis incapable de quoi que se soit…. tu m’as déchirée, dans tous les sens du terme et je suis incapable de quoi que se soit ! je te remercie, c’était trop, trop, bon ! quand tu veux…, comme tu veux…, où tu veux mon amour je serais à toi dorénavant…, et pour le reste…euuuuuhhh, ton père, j’essayerai d’être digne devant lui…, je compte sur toi aussi !
Il était presque 17H quand on rentrait et maman sous la douche la première, s’afférait à ôter les dernières stigmates de ces extravagances, et passant devant la salle de bain entrouverte, je m’approchais d’elle, et alors qu’on échangeait un dernier baiser, et que je m’aventurais à la doigter, elle me suppliait d’arrêter, que papa allait rentrer à 19h, et qu’il fallait qu’il ne se doute de rien !
La plus embarrassée des soirées je passais là avec mes parents, et au plus mal j’étais quand vers les 22h j’allais me coucher, pensant et repensant sans cesse, à ma journée passée, et jusqu’à mon réveil…4h30, tel un bébé je dormais.
A ma grande surprise alors que j’allais partir au travail, maman qui avait beaucoup de mal à dormir, vint dans la cuisine prétextant une soif, et après son verre d’eau, des plus languissantes elle se faisait en m’embrassant, langoureusement, passionnément, nue qu’elle était.
– Et papa… ?
– Chuuuut il dort…, il dort profondément ! tu vas me manquer mon amour !
– A 13h je serais là !
Alors qu’à neuf heures j’étais en pause, on échangeait quelques messages avec maman des plus tendres, coquins, polissons-même, m’avouant qu’elle était en train de se caresser en s’imaginant des choses avec moi…. !!!!