Dimanche, un groupe de copains organise une journée festive sur une plage privé. Quelques couples mariés, mais aussi de nombreux célibataires, doivent y participer.
Carole, récemment mariée, aimerait bien y aller. Faut-il encore que Michel, son mari, souvent absent pour raisons professionnelles, soit d’accord.

-Mais vas-y, ma chérie, insiste Michel. Mon frère Eric y va, tu ne seras pas seule.
-Allez, poursuit Eric, ça va être cool. Il y aura les copains, tu en connais pas mal.
-D’accord, accepte Carole, mais je veux que tu restes avec moi Eric.

Eric s’engage à s’occuper de Carole.
Il la prend vers dix heures du matin. Carole donne un baiser à son mari, et les voila partis.
En arrivant à la plage, Carole n’en croit pas ses yeux. Une centaine de personnes foule le sable, joue au ballon, chahute dans l’eau.
Des tentes en plastics opaques pour se protéger du soleil, des planches posées sur des tréteaux, en guise de buvette, tout est prévu. Une organisation incroyable.
Carole fait de nouvelles rencontres. Notamment Guy et Francine, la cinquantaine, de vielles connaissances à son mari. Ils sont fâchés à mort, depuis que Michel a trouvé Guy au lit avec sa première femme. Carole est au courant de cette histoire, mais ne connait pas le responsable.
Comme prévu, Eric ne lâche pas Carole d’une semelle. Ils sont à demi couchés sur leur serviette, en appuie sur les coudes.
Devant eux, les garçons jouent avec les filles, les roulent sur le sable, essaient de les embrasser, de toucher des endroits bien précis de leur corps. Certaines se débarrassent du haut de leur maillot, exposant leur belle et jeune poitrine. Petit à petit, les jeux prennent une autre tournure. Des couples, entièrement nus, s’enlacent dans des rapports extrêmement chauds. Sans vergogne, les filles sucent les garçons. Les garçons caressent la chatte des filles, doigtent leur clitoris.

-Mon dieu, s’offusque Carole, c’est quoi ça ? Ramènes moi.
-Hey, répond Eric, tu sais ce que c’est…j’espère que ça ne te donne pas trop envie.
-Mais pas du tout reprend-elle, aucun souci. J’aime ton frère, et lui serais toujours fidèle. Toi, si ça te donne envie, tu peux aller t’amuser avec eux…moi, je ne bouge pas de là.
-Ok, poursuit Eric, j’y vais, mais attention d’être sage, je garde un œil sur toi.

Pour paraitre moins conne, Carole enlève le haut de son maillot, libère sa magnifique poitrine. Eric a à peine rejoint un groupe de copains, que Guy, qui rodait dans les parages, s’assoit à côté d’elle. Cette dernière se demande qui est ce mec, au regard bleu acier, d’une beauté à couper le souffle. Elle ne sait pas que c’est le pire ennemi de Michel. C’est celui qu’il a trouvé au lit avec sa femme.
Soudain, Carole est attirée par des râles de plaisir. Autour d’elle, c’est l’orgie. Les filles gémissent de plaisir, se font baiser, sodomiser, d’autres taillent des pipes, avalent le sperme. Certaines se gouinent.

-Bonjour, je m’appelle Guy, excitant tous ces couples qui baisent autour de nous.
-Heu…bonjour, moi c’est Carole, c’est vrai que c’est chaud… inhabituel pour moi…
-Et vous, ça ne vous tenterez pas de vivre ce genre d’expérience, poursuit Guy en posant une main sur sa cuisse.
-Mais enfin…vous me prenez pour qui, ôtez vôtre main de là, je suis mariée Monsieur.
-Ben alors, ça pose un problème ?

Même si elle est mariée, elle ne reste pas insensible au charme de Guy. Et les scènes qui se déroulent autour d’elle, ne sont pas pour calmer ses ardeurs. Et elle est de plus en plus attirée physiquement par ce beau mâle, débordant de virilité.
Ce qui explique qu’à la deuxième tentative, Carole ne repousse pas la main qui caresse sa cuisse. Le visage de son mari défile devant ses yeux. A cet instant, elle sait qu’elle va le tromper, elle qui disait toujours, que quoi qu’il arrive, elle serait toujours fidèle.
Guy sait que Carole va succomber à ses avances. Il lui murmure des mots coquins à l’oreille, qui la font rougir. Guy s’approche de la bouche de Carole, lui prend tendrement les lèvres. Vaincue. Carole ouvre la bouche, accepte sa langue, passe un bras autour de son cou.

-Je n’ai jamais trompé mon mari, murmure-t-elle…et je puis, tous ces gens.
-On peut s’isoler, propose Guy, allons sous une tente. Celle d’à côté est libre.
-Vous vous rendez compte, dit Carole, on se connait à peine…j’ai honte. Et si mon mari apprend que j’ai fait l’amour avec un inconnu.
-Ne vous inquiétez pas, la rassure Guy, il n’en saura rien. Et puis, je vais vous le faire oublier un instant.

Finalement, Carole accepte. Guy l’aide à se lever, et l’emmène sous la tente. Ils finissent d’ôter leur maillot. Le regard de Carole s’attarde sur endroit précis de l’anatomie de Guy. Elle trouve le membre énorme.

-Que vous arrive-t-il, demande Guy. Vous avez vu le diable.
-Oh mon dieu, quelle queue…je n’ai jamais vu une bite comme ça.
-A bon, sourit Guy, est celle de vôtre mari ?
-Mais ça n’a rien à voir, elle est beaucoup plus petite.
-Vous pouvez la toucher si vous voulez, la sucer même…elle ne mord pas.
-Quoi, je n’ai jamais fait ça avec mon mari, rougit Carole.
-Justement, c’est l’occasion de vous y mettre. Vous allez vous régaler.

Carole hésite, puis tombe à genoux. Elle saisit le membre tendu, le parcours de sa langue, lèche les couilles. Elle enroule sa langue autour du gland, ouvre la bouche, avale l’énorme bite, commence à la sucer. Guy la regarde, stupéfait.

-Ouah…mais tu es une vraie pro…c’est qui t’as appris ça, ton mari ?
-Hum…je vous ai dit que je ne lui ai jamais offert ce genre de gâterie, je ne l’ai jamais sucé.
-Ben dis dont, sourit Guy, tu apprends vite, c’est d’avoir vu ces filles tailler des pipes à ces jeunes garçons ? J’espère que tu as remarqué qu’elles ont toutes, tout avalé…
-Hum…hum…et toi, tu as vu comme ces filles se faisaient bouffer la chatte et le clito ?
-Excuses moi, dit Guy en plongeant sa tête entre les cuisses de Carole. Quel goujat je suis.

Guy lèche la chatte, aspire le clitoris. Même la, Guy a l’impression que c’est une première pour Carole. Décidément, son mari est un bien piètre amant. A lui de réveiller la cochonne qui sommeille en elle. Il veut à tout prix ridiculiser Michel.
Le corps de Guy se tend comme un arc. Il commence à poussé des râles de plaisir.
Soudain, le sperme gicle de l’imposante bite, par jets épais. Carole a du mal à tout prendre, mais parvient à tout avaler…puis c’est à son tour d’avoir un puissant orgasme.

-Putain, souffle Carole, t’en avais vraiment envie…tes couilles étaient pleines salaud.
-T’as tout avalé ? Ouah, et ben, pour une première, tu as assuré. Et tu as aimé.
-Hum, délicieux, dit carole. J’espère avoir l’occasion d’en reprendre.
-Toi aussi, tu m’as inondé la bouche, vilaine.

Guy en veut plus. Il prend Carole dans toutes les positions. Tantôt assise sur lui, empalée sur sa bite, tantôt en levrette. A chaque fois, la jeune femme atteint l’orgasme. Câline, Carole roule sur le ventre. Guy s’allonge sur elle, lui donne de tendre baisers dans le cou, lui mordille l’oreille. Il glisse une main entre les fesses, rentre un doigt dans la chatte pour récupérer un peu de mouilles. Le ressort, taquine le petit Trou. Guy veut porter l’estocade.

-Tu te souviens du jeune black, ce qu’il faisait à la belle blonde.
-Oui je m’en souviens, murmure Carole, il la sodomisait…non mais, tu penses à quoi…tu ne vas pas m’enculer, je n’ai jamais fais ça avec mon mari…puis, t’as vu comme tu es monté, tu vas me faire mal.
-Mais j’irais doucement, la rassure Guy. Tu me diras d’arrêter si c’est douloureux. Allez ma chérie, fais un effort, tu verras, ça va bien se passer. Je vais bien mouiller ta rosette.

Carole a peur, mais accepte la proposition perverse de Guy. Elle cambre ses reins pour offrir sa croupe. Guy place son gland à l’entrée du petit trou. Celui-ci se dilate sous la pression. Carole pousse un petit cri de douleur quand la bite pénètre entièrement. Elle sent les couilles énormes de son amant, frapper contre ses fesses.

-Salaud, grimace Carole, tu n’es qu’un salaud…tu profites de mon innocence.
-Chut…calme toi, je te promets que tu vas aimer…

Guy passe les mains sous le ventre de Carole, doigte le clito pour lui faire oublier la douleur. Carole gémit de plus en plus fort. Elle atteint son deuxièmes orgasmes de l’après midi. Il est terrible. D’un coup, Guy se retire, et pénètre la chatte. Carole se cambre d’avantage pour recevoir l’offrande de ce super étalon.

-Oh oui…oh oui…t’arrêtes pas…je jouis…vas-y…défonces moi…bien profond…oui…oui…et toi, tu te régales…hein que tu te régales, sale mâle que tu es…
-Et toi salope, dit Guy, tu te régales aussi…c’est bon d’avoir une grosse queue dans le ventre. Ca doit te changer de ton mari.

Guy aussi arrive à terme. Il se retire d’un bond, et présente sa bite devant la bouche de Carole. Celle-ci l’ouvre, et absorbe la bite qui crache au fond de sa gorge.
Le couple roule sur le côté, enlacé. Carole, satisfaite, s’étire langoureusement.

Soudain, une ombre balaie leur corps. C’est Francine, la femme et complice de Guy, sac en osier en bandouillère, qui rentre sous la tente. De la buvette, elle a suivi toute la scène, et attendait le moment propice pour intervenir. Elle arrive juste au moment ou Guy vide ses couilles dans la bouche de Carole. Elle se penche, et embrasse son mari.

-Oh…excusez moi Madame, bafouille Carole, ce n’est pas ce que vous croyez…dis lui Guy que c’est un mal entendu, s’il te plait, dis lui….
-Alors, dit Francine en ignorant Carole, elle est aussi bonne que l’autre.
-Super bonne, répond Guy, elle aime se faire prendre par tous les trous. Comme l’autre.
-Mais…ça veut dire quoi l’autre, questionne Carole, c’est qui ?
-Elle n’est pas au courant, dit Guy en s’adressant à sa femme.
-A bon, s’étonne Francine. Ben l’autre, c’est la première femme de ton mari. Celle qu’il a surpris au lit avec Guy. Comme à elle, il a su réveiller la salope qui sommeillait en toi. Et alors…elle est bonne la queue de mon mari, hein…petite garce. Il t’a fait quoi ?
-Je vous en prie, pleure Carole, je veux partir.
-Tu n’as pas répondu à ma question, dit Francine en posant un genou sur le ventre de Carole. Il t’a fait quoi ?
-Heu…il m’a baisée…puis il m’a enculée…c’était la première fois que je faisais ça…
-Et quand je suis arrivé, poursuit Francine, tu étais en train de lui tailler une pipe…c’est ça ?
-Oui…et j’ai tout avalé. Mai s’il vous plait, laissez-moi partir.

Mais Francine décide de jouer avec Carole. Elle lui caresse les seins, tire les bouts devenus énormes, lui arrachant des petits cris. Elle va plus bas, caresse la chatte. Avec deux doigts, elle décalotte le clitoris, de la grosseur d’une agate, le doigte. Francine sort un gode de son sac, et l’enfonce dans le petit trou. Malgré la situation inconfortable, Carole ne peut s’empêcher de gémir. Elle prend appuie sur ses pieds pour bien se cambrer.

-Regarde comme elle bouge son cul cette salope, fait remarquer Francine à son mari. Elle aime se faire gratter son petit bouton, hein que t’aimes te faire chatter.
-Oh oui Madame, gémit Carole, c’est bon…allez-y, faites moi jouir…oh oui…je jouis…

Carole, totalement soumise, atteint son énième orgasme de l’après midi, avec autant de plaisir. Guy, du coin de la tente, suis la scène, la bite en érection. Il s’approche doucement, tombe à genoux devant Carole. Francine lui saisit sa bite, la branle doucement.

-Elle n’est pas belle la queue de mon mari ? Plus belle que celle de ton mari…
-Oh oui, souffle Carole, elle est beaucoup plus grosse.
-Allez, ordonne Francine, ouvres la bouche, pipe la…et de tout avalé.

A force d’avaler, Carole a le ventre remplit de foutre.
Jugeant qu’ils avaient assez joués avec elle, Guy et Francine quitte la tente, laissant leur proie pantelante.

Quand Eric sort de l’eau, il s’aperçoit que Carole n’est plus sur la serviette. Il voit Guy et Francine, main dans la main, sortir de la tente toute proche, sourire aux lèvres. Son sang ne fait qu’un tour. Il se précipite, et découvre Carole, allongée sur le dos, jambes et bras écartés. Sa chatte déborde de mouille, tandis que sa bouche est souillée de sperme.

-Oh mon dieu, s’écrit-il, qu’as-tu fait. Ne me dis pas que tu as trompé mon frère avec Guy.
-Je me suis faite piéger, pleure Carole. S’il te plait…ramènes moi à la maison.

Sur le trajet, Carole explique à son beau frère, ce qu’il s’est réellement passé. Eric a le visage crispé. Il demande à sa belle sœur si elle a pris du plaisir. La réponse fuse.

-Si tu savais l’étalon que c’est, comme il est monté, une vraie bête. Je ne sais pas combien de fois j’ai joui…six, sept fois peut être. Et sa femme, comme elle m’a gouinée.
-Et tu comptes le dire à mon frère, demande Eric.
-Surtout pas, dit Carole, je ne veux pas le blesser. Déjà que Guy a baisé sa première femme.
Je peux compter sur ta discrétion ? S’il te plait, je ne veux pas perdre mon mari.
-Fallait y pensé avant, dit Eric d’un ton sec…c’est mon frère.

Carole comprend qu’elle est dans une impasse. Elle décide de jouer le tout pour le tout. Elle tend une main, et caresse la cuisse de son beau frère. Celui-ci la repousse énergiquement, mais ne résiste pas à la deuxième tentative, beaucoup plus vicieuse. En effet, Carole sort la queue du short d’Eric. Sans un mot, elle se penche, et la prend en bouche. Par sécurité, Eric se gare sur le bas côté. Calmement, il pose sa main sur la nuque de sa belle sœur.

-Hum, elle est belle ta queue, tu aurais pu en laisser un peu à ton frère…
-Oh putain, souffle Eric, qu’est-ce que tu ne ferais pas pour te faire pardonner.
-Une petite gâterie. Tu aimes ça, hein ? En tout cas, moi j’adore…elle est bonne ta queue…vas-y mon chéri, régales toi, vide tes couilles dans la bouche de ta belle sœur.
-Ah…ah…salope…je crache…oh putain, vas-y…avale…dis moi…mon frère, il rentre quand ?
-Pas avant demain soir, répond Carole, pourquoi tu me demandes ça ?
-Tu pourrais passer la nuit chez moi, qu’est-ce que tu en pense.
-Dis, petit salaud, tu veux baiser la femme de ton frère, c’est ça ? Ok, mais je ne te garantie pas d’être au top. Après ce que je me suis fait mettre cet après midi. A part te tailler des pipes comme tout à l’heure. Par contre, toi, tu pourras faire ce que tu voudras de moi, je t’obéirais aux doigts et à l’œil…et à ta queue aussi. Je te dois bien ça.

Le lendemain, Eric et Carole prennent le petit déjeuner sur la terrasse. Ils sont entièrement nus. Ils évoquent leur nuit torride. Carole vante les prouesses de son beau frère au lit.

-Tu n’étais pas mal toi aussi, dit Eric, toi qui te disais fatiguée. Quelle nuit.
– Guy est un bon professeur, et moi j’apprends vite. Il avait raison quand il disait qu’il y avait une cochonne qui sommeillait en moi. J’espère que ton frère profitera de ses leçons.
-Et moi, demande Eric. Si j’ai bien compris, tu te sers de moi pour mentir, pour te sauver.

Carole fait le tour de la table, embrasse son beau frère dans le cou. Elle glisse une main entre ses cuisses, lui saisit la queue qu’elle branle lentement.

-Mais non mon chéri…justement, j’ai une petite envie là, tu veux qu’on remette ça?
Tu sais quoi…je vais te détruire. Je vais tellement te vider les couilles, que tu vas me supplier d’arrêter.

Les deux tourtereaux regagnent le lit. Ils en sortent deux heures après, lessivés, épuisés.
Eric ramène sa belle sœur avec regrets. Ils promettent de se revoir au plus vite.

Pierre rentre du travail, et trouve Michel assis devant sa porte.
-Alors Michel, que fais-tu, tu as perdu tes clés, demande-t-il.
-Non, j’attends que Mouloud ai fini de baiser ma femme.
-A bon…et ces bruits qu’on entend, c’est quoi ?
-C’est ma femme qui hurle de plaisir. Ca fait déjà deux fois qui la fait jouir. Des fois, elle a cinq ou six orgasmes.
-Ben dis dont…et tu ne dis rien ?
-Il m’a dit que si je l’empêchais de baiser ma femme, c’est moi qu’il enculerait.