J’ai 34 ans et je suis marié depuis 7 ans à une femme formidable. On s’entend très bien sur tous les points même sur le sexe que nous avons su faire évoluer avec le temps. Pourtant, je n’aurai jamais cru que ce que je vais vous raconter soit possible un jour.

Ma belle mère vient souvent nous rendre visite et elle est seule depuis son divorce. Un jour, je suis rentré tard du travail et tout le monde dormait. Je suis allé prendre une douche pour me détendre et ensuite je me suis allongé sur le canapé. Je me suis assoupi devant la télévision et lorsque j’ai ouvert les yeux, ma belle mère se trouvait à côté de moi en train de me regarder. Elle m’a dit qu’elle n’arrivait pas à dormir et qu’elle voulait manger quelque chose. J’étais en peignoir et je voyais bien qu’elle regardait toujours entre mes cuisses dans l’espoir de voir apparaitre quelque chose. On a toujours eu des rapports cordiaux et amicaux et lorsqu’elle m’a dit de faire attention à mon « petit oiseau », je lui ai naturellement répondu que la nature m’avait plus fourni un aigle plutôt qu’un petit oiseau. Ma belle mère s’est assise à côté de moi et a plongé sa main sous mon peignoir. J’étais en panique complète. J’avais envie de la repousser, mais sa main me faisait beaucoup de bien. Elle a pris mon sexe entre ses doigts et m’a doucement branlé pour la faire durcir. Elle a confirmé que ma queue était de taille plus que convenable et que sa fille avait de la chance de pouvoir avoir ça pour s’amuser tous les jours. Elle a basculé ses cheveux blonds en arrière et s’est penchée sur ma queue pour la prendre en bouche et me faire une fellation des plus extraordinaires. Sa bouche enserrait ma verge gonflée et sa langue tournoyait autour de mon gland. J’ai timidement passé ma main sur ses fesses et elle s’est mise en position de levrette. Ma main a caressé ses cuisses et son fessier bombé. Mes doigts glissaient dans la raie de ses fesses pour toucher son petit abricot. Je lui ai caressé l’anus et j’y ai mis un doigt. Sa pastille était étroite. Mais elle a dirigé ma main vers sa chatte et j’ai compris qu’elle ne pratiquait pas la sodomie. Son pubis était velu, mais pas trop et j’ai écarté les lèvres de sa vulve pour y plonger deux doigts. Elle s’est cramponnée à ma queue et m’a sucé comme une folle. Sa mouille me coulait sur les doigts. Ma belle mère était une femme fontaine. Elle s’est dégagée de mon emprise palmaire pour venir me grimper dessus à califourchon et empaler ma grosse queue épaisse au fond de son vagin. Elle a poussé tellement fort, que j’ai cru que mes couilles allaient disparaitre en elle. Pendant qu’elle allait et venait sur ma queue, je lui pinçais les tétons et les faisaient rouler sous mes doigts. J’ai senti que son bas ventre se contractait et elle a fini dans un orgasme puissant affalée, sur moi. Je n’avais pas joui et elle s’en était aperçue. Elle s’est dégagée et s’est mise entre mes cuisses pour venir sucer ma queue souillée de sa mouille. J’ai senti la sève monter et je lui ai fait signe de se pousser. Mais ma belle mère a engloutie ma bite qui a fini par juter tout son foutre au fond de sa gorge. Ma femme ne m’avait jamais sucé à fond. Elle s’est relevée, m’a embrassée sur la bouche et m’a souhaité bonne nuit.

Au petit matin, j’ai tenté plusieurs fois des approches pour discuter avec elle, mais elle avait une attitude identique aux autres jours comme si rien ne s’était passé. Nous n’avons jamais refait l’amour depuis, mais pourtant, je repense à cette nuit chaque fois qu’elle vient chez nous.