Je travaille dans une grande entreprise avec de grands locaux comme ont les Américains et j’ai un patron, qui vient d’être nommé dans la firme. Il est jeune, en tous cas par rapport à moi, car j’ai une quarantaine d’années. Il doit en avoir trente à tout casser.

Ce beau patron m’a demandé de venir dans son bureau pour faire un point sur les dossiers en cours et j’ai bien vu que mon tailleur lui faisait de l’effet. Au fil des jours, il prenait soin de me convier dans son bureau sous de faux prétextes. Un jour, je suis passée dans son bureau lui déposer un dossier et j’ai remarqué que sur son écran il y avait un site de rencontres coquines bien connu. Je me suis amusée à lui envoyer un mail via la messagerie interne de l’entreprise en lui disant que le site était bon et que j’avais fait pas mal de rencontres grâce à lui. Il ne s’est pas démonté et m’a demandé de rester entre midi et deux pour m’expliquer un peu le fonctionnement. Je suis entrée dans son bureau et il avait mis une chaise a coté de la sienne et le site état déjà ouvert. Je lui ai montré le site et les pièges à éviter. Le coquin est tombé sur mon profil et a vu ma recherche de plans cul.

Le lendemain, j’ai reçu un message sur le site me demandant de me rendre en salle de réunion. J’y suis allée et je savais que c’était lui. Il m’a dit de but en blanc que je l’excitais et que pour éviter tous malentendus pendant le travail il fallait faire quelque chose. Je devais choisir entre devenir sa maîtresse ou bien quitter mon poste. Comme réponse, je me suis avancée vers lui, j’ai tourné son fauteuil et je me suis agenouillée entre ses jambes. J’ai ouvert sa braguette et j’en ai sorti une belle verge bien dure et circoncise. Je l’ai prise en bouche et je lui ai fait une superbe fellation. Mais je ne suis pas allée jusqu’au bout, car je ne voulais pas qu’il croie que j’étais une fille facile. Je me suis relevée et je suis partie sans rien dire, le laissant sur sa faim. Il était fou !

Le lendemain, j’ai négocié cette relation avec des contreparties dans la société. Je prenais donc l’habitude de rester pendant la pause déjeuner pour me glisser sous son bureau et lui tailler une pipe pendant qu’il mangeait. Je le suçais à fond et j’avalais son sperme pour ne pas laisser de traces sur la moquette. Je faisais ça tous les jours de la semaine.

Puis il a voulu aller plus loin et m’a demandé si je voulais coucher avec lui. Je lui ai dit que j’étais d’accord, mais que je voulais une baise rapide et sauvage. J’ai balayé les dossiers de son bureau et je me suis allongée dessus en écartant bien les cuisses. Assis sur sa chaise, il a écarté mes lèvres trempées et m’a bouffé la chatte avec sa langue coquine. Puis il s’est relevé, a baissé son pantalon de costume et m’a planté sa queue dans le vagin. Il m’a relevé les jambes sur la poitrine et m’a défoncée comme une chienne. Il s’est retiré pour me gicler son sperme sur les seins. Je suis repartie toute tremblante à mon bureau.

Il me baisait de temps en temps comme ça dans toutes les positions. Puis un jour, j’ai reçu un message de lui me disant qu’il voulait me sodomiser à fond et me gicler dans les intestins. J’étais trempée à la lecture de ce message. J’y suis allée et je me suis fait défoncer l’anus comme jamais. Depuis, il a pris l’habitude de me jouir dans l’anus en me demandant de ne pas l’expulser et de le garder en moi.

Mon patron est un cochon et je vous raconterai les cochonneries qu’il m’a faites dans un prochain courrier.