Je suis divorcé depuis des années et je me suis remis avec une femme adorable et superbe. Je n’ai pas d’enfants de mon précédent mariage, mais ma compagne a une jolie fille de 18 ans. Nous sommes très complices tous les deux, car sa mère travaille beaucoup et souvent la nuit. Elle est infirmière dans un service d’urgences dans le plus grand hôpital de la ville. C’est pour vous dire que l’on ne se voit pas beaucoup. C’est donc moi qui m’occupe de Patricia, ma belle fille de 18 ans. Elle suit des études dans un IFSI pour devenir infirmière comme sa mère. C’est une belle blonde aux yeux verts qui a de jolies formes sans être ronde ni grosse.

Souvent, puisque je suis seul le soir, je me glisse dans la salle de bains à la recherche de la petite culotte que ma belle-fille a porté pendant la journée. Je la subtilise et la ramène dans ma chambre. Je la déplie soigneusement et la renifle pour sentir la bonne odeur de sa chatte qui doit être lisse puisque ses culottes ne comportent jamais de poils. Mais aussi les odeurs ambrées de son petit trou. C’est un pur régal que de sentir les odeurs intimes de Patricia. Elle m’a toujours attirée, mais évidemment, étant ma belle-fille, il n’était pas question qu’il se passe quoi que ce soit. Et pourtant, il ne faut jamais dire jamais.

Un soir, je suis allé chercher sa petite culotte et j’ai découvert un string noir. Lorsque j’ai déplié le tissu, je me suis aperçu que le gousset était bien saturé de liquide et de traces. J’ai approché le tissu de mon nez et j’ai reconnu l’odeur du sperme. J’étais furieux de savoir qu’un lascar lui avait giclé dans la chatte. Je suis entré dans sa chambre le string à la main et je lui ai fait une scène. Elle s’est mise à rire avec la traditionnelle phrase « de toute façon t’es pas mon père », mais elle m’a fait sentir que le plus ridicule dans l’histoire, c’était moi. Cette petite salope avait surpris mon manège depuis des mois à renifler ses dessous et m’avait vu en train de me branler. Nous étions tous les deux dans une situation délicate. Je ne pouvais dire à sa mère qu’elle mettait des dessous sexy pour ensuite se faire tringler et gicler dans la chatte et elle ne pouvait dire que je reniflais ses petites culottes. Patricia s’est levée et s’est avancée vers moi. Elle a pris son string que j’avais dans la main et tout en me regardant fixement, l’a porté à sa bouche pour lécher le gousset. Cette salope me dit qu’elle aime le sperme. Je suis abasourdi de voir cela et je suis partagé par l’envie de lui mettre une gifle pour son insolence et l’envie de lui mettre un coup de bite. J’ai craqué et je lui ai dit que si elle aimait le sperme j’allais lui en déposer une bonne quantité au fond de son cul qu’elle pourrait récupérer ensuite dans sa culotte. Vous savez ce que m’a répondu cette petite salope de 18 ans en se touchant ses gros seins ? « Chiche ! » Je me suis avancé vers elle et je l’ai allongée sur le dos dans son lit.

A suivre