Marie et Julien aiment le sexe et assument. A 35 ans, ils fréquentent les établissements libertins, recherchant aussi bien des moments échangistes avec d’autres couples que des expériences de pluralité masculine.

Entre échangisme et pluralité masculine, que préférez-vous ?

  • Marie – Ce sont deux choses très différentes. L’avantage de l’échangisme, c’est que Julien peut en profiter aussi sexuellement. Je veux dire qu’il n’y a pas de raison que je connaisse d’autres partenaires que lui, et que lui se contentent de me regarder.
  • Julien – J’aime bien participer à un gang-bang avec Marie comme objet de tous les désirs. Mais c’est agréable aussi de pouvoir baiser avec d’autres femmes. En fait, tout dépend de notre envie du moment.

Par quoi avez-vous commencé ?

  • Julien – Comme beaucoup de couples candaulistes, nous avons débuté par l’échangisme. Nous sortions tous les samedis soirs – ou presque – dans le même club. Nous avions des partenaires réguliers et d’autres plus occasionnels.
  • Marie – Je n’ai jamais été très regardante sur le physique des messieurs. L’important, c’est qu’ils ne me fassent pas peur ! (rires) Et puis, je suis très bisexuelle, donc l’échangisme nous convenait très bien au début.
  • Julien – Un soir – je ne sais plus très bien pourquoi – nous avons voulu changer de club. Problème : quand nous sommes arrivés, il n’y avait pratiquement que des hommes seuls, et un groupe de trois couples qui ne nous a jamais adressé la parole..

Et c’est là que vous avez tenté votre premier gang-bang ?

  • Marie – Ça n’était pas vraiment un gang-bang. Voyant que nous n’arriverions à rien avec les rares couples présents, nous voulions quand même profité du cadre du club, très beau et très engageant. Nous sommes allés dans un lit, aux vues de tout le monde et nous avons commencé à nous caresser.
  • Julien – Evidemment, la meute des hommes seuls, qui étaient restés sur leur faim, est venue nous mater. Certains hommes ont tenté de me toucher, mais Julien les a repoussés.

Ah oui, vous n’étiez pas encore gang-bangueurs…

  • Marie – Non. Ça n’était pas un fantasme entre nous. Bref, nous avons fait plusieurs positions, tandis que certains mecs se branlaient en essayant d’attraper mon regard. Je me suis retrouvée en levrette et un homme me faisait face, la queue tendue en direction de mon visage.
  • Julien – J’ai bien senti qu’il tentait de se rapprocher de la bouche de Marie. J’étais déjà prêt à intervenir…
  • Marie – Mais pendant que Julien me baisait – très bien, comme d’habitude – j’ai regardé la grosse queue gonflée du type. Un mec plutôt mûr, assez poilu, comme j’aime, avec une bite assez courte mais très épaisse. Je me suis retournée vers Julien, qui a tout de suite compris, puis je me suis avancé vers le gars et je l’ai sucé.
  • Julien – Le mec pelotait les seins de Marie tout en se faisant sucer. Les autres ont tenté à nouveau de se rapprocher, mais je le leur ai interdit.
  • Marie – Tout ça s’est fini en plan à trois avec Julien, le mec et moi. Je ne vous dis pas comme les autres voyeurs étaient frustrés…

Et ensuite, vous avez continué dans la pluralité masculine ?

  • Julien – Cette expérience nous avait plu à tous les deux. J’avais été très excité de me faire sucer par Marie, pendant qu’un inconnu la prenait. Je pouvais lui masser le clito pendant qu’elle baisait…
  • Marie – Parfois, nous cherchons des couples, parfois des hommes seuls. Et puis l’occasion fait le larron ! Si nous trouvons un couple qui nous plaît vraiment pendant une sortie candauliste, tant pis pour les mecs !

(rires)

Marie, qu’est-ce que tu aimes dans le gang-bang ?

  • Marie – Je le dis tout de suite, je ne suis pas le genre à me faire maltraiter, ou insulter ou ce genre de choses. Ce n’est pas parce qu’on baise à plusieurs que je suis une salope, ou un vide-couilles pour mecs en rut.
  • Julien – Il m’arrive de temps en temps de virer des mecs, qui manquent de sens du respect.
  • Marie – Ce que je recherche, ce sont des sensations fortes, pas l’humiliation ou quelque chose dans le genre. Douceur et virilité, voilà ce que j’aime. Et inutile de se lancer dans de grandes thèses psychanalytiques. Quand vous savez les sensations qu’on ressent durant une double-pénétration anale et vaginale, le pied que c’est d’avoir deux bonnes queues en soi, ça suffit à expliquer pourquoi une femme comme moi aime la pluralité masculine.