J’en ai marre! Je suis mariée depuis cinq ans et j’ai l’impression que mon mari ne me regarde plus. Mon mari préfère mater les matchs de football à la télé ou jouer à sa console de jeux que de me faire l’amour. Je lui rappelle son devoir conjugal mais il s’allonge sur le dos et me dis que nous avons un quart d’heure parce qu’après il doit regarder la coupe des champions ou un pote arrive. Mais là, c’est fini. Ce soir, je lui sors le grand jeu et si je ne jouis pas comme je le devrai, je le quitte ! Je m’habille en nuisette transparente d’un bleu nuit qui laisse entrevoir ma poitrine menue. Il  rentre, il m’embrasse et se dirige vers la télé de la chambre. Il se déchausse et se plante devant son poste et me dit qu’il y a un match qui veut absolument voir. Il n’y a pas que ma nuisette qui est transparente, moi aussi, il n’a même pas remarqué ma tenue. Je rentre dans la chambre et m’installe sur sa jambe, il me regarde et me dit à nouveau qu’il n’a pas le temps. Je lui dis alors que je vais voir le voisin qui a la réputation de sauter sur tout ce qui bouge. Il me dit de bien m’amuser sans avoir entendu le moindre mot de ma bouche.

Et bien mon Coco, j’y vais. Je sonne chez mon voisin, il me fait entrer et je lui explique la situation. Il me dit que mon mari est fou et que lui s’il était sa place passerait son temps à me sauter dessus. Max est très beau. Il a le style italien, une musculature montrant qu’il s’occupe de son corps. Je m’installe sur sa jambe comme tout à l’heure et il me demande si c’est vraiment ce que je veux. Je lui réponds que je ne veux pas quitter mon mari mais que j’ai besoin de sexe. Il m’embrasse et me porte jusqu’à son lit. Il caresse tout mon corps. Il est doux, son parfum m’enivre  et nous nous couchons sur le lit. Déjà, une de ses mains se dirige vers ma vulve en feu. Il me titille au dessus de mon string. Je m’installe sur lui à califourchon et lui affiche mes petits seins pour qu’ils soient à porter de sa bouche. Il retire ses lunettes et moi pendant qu’il s’affaire sur ma poitrine, je lui déboutonne sa chemise. Je vois à présent son torse imberbe mais musclé. Je fais des mouvements de hanche comme s’il était déjà en moi, pendant ce temps lui me presse les seins et alterne des succions de tétons avec du pétrissage de nichons. Le frottement de mon sexe et surtout de mon clito sur sa braguette m’excite au plus au point. Il enlève son froc et son caleçon. Moi, je suis debout sur son lit au-dessus de lui et je retire mon string pour qu’il ait un beau visuel sur mon abricot.

Je m’accroupie pendant que lui tient sa pine bien droite pour que je l’avale par mon vagin. Je le sens entrer et pose mes mains sur ses cuisses pour une meilleure stabilité. Il me caresse sur tout le haut de mon corps et fais des allers retours dans mon intimité. Je mouille beaucoup et heureusement car son phallus est bien large et d’une longueur plus qu’appréciable. Il me saisit par les fesses ce qu’il me propulse en avant et m’embrasse à pleine bouche. Ceci atténue mes gémissements devenant de plus en plus soutenus et auditifs. Il dégage ma nuisette de mes fesses et les pétrit. Je me redresse et reprend la cadence par des mouvements de bassins rapides. Je me caresse le clitoris et m’occupe de ses bourses en même temps. Il me demande de me mettre à quatre pattes tout en tournant mon buste d’un quart, ce que certains appellent à l’amazonienne. Après seulement quelques allées et venues dans mon vagin, il enduit son sexe de lubrifiant et me sodomise. Depuis le temps que je demande à mon mari d’essayer et bien là, c’est fait ! Je jouis au bout de trente seconde de pénétration anale. Il continue à me laminer et me jette sur le dos en disant qu’il vient. Il se positionne au-dessus de mon visage et se masturbe. Je lui pompe le bout du dard pour ne pas le bloquer dans sa stimulation. Il me remplit la bouche de son sperme. J’avale le fruit de sa jouissance et rentre chez moi, le laissant allongé sur son lit, fatigué de mon contentement. Mon mari me dit que le voisin a encore baisé une chienne et qu’il a dû mettre plus fort sa télé pour ne plus les entendre. Le con ! Il n’a même pas remarqué que c’était moi !