L’enterrement de vie de jeune fille

Carine a encore en tête la relation qu’elle a eue avec son futur beau père, mais aussi la nuit sulfureuse qu’elle a eu avec Lisa, une expérience très intéressante.

Ce soir, la future mariée enterre sa vie de jeune fille. Comme prévu, elle a laissé le soin  à sa future belle sœur d’organiser la soirée. Cette dernière a choisi une boite branchée de la ville, avec stripteaseurs, et autres attractions plus érotiques les unes que les autres.

Pour pimenter la soirée, elle a invité quelques surprises, dont Marc, l’ex petit copain de Carine, et sa copine Francesca, Une superbe italienne de vingt cinq ans, principale rivale de Carine, qui a toujours rêvé de l’humilier. Lisa, en complice, s’est proposée pour aider la belle italienne.

La soirée s’annonce chaude. Déjà, des couples, à moitié nus se dandines sur la piste. Les chippendales tournent autour de Carine, se frottent contre elle. L’alcool aidant, la future mariée, très excitée, se déhanche, colle son corps contre ces mâles en chaleur.

Lors d’un passage au bar, elle ne se rend même pas compte, que des mains passent sous sa mini jupe, et lui quitte sa culotte. Elle ne sent même pas le doigt qui s’attarde dans son petit trou, et qui fait de vicieux va et vient. La responsable de cette plaisanterie, c’est tout simplement Francesca.

Puis Carine est happée par un black, qui l’entraine au milieu de la piste. Il s’assied sur une chaise prévue à cet effet, et ôte sa serviette. Apparait alors un phallus énorme, bien bandé, tout décalotté. L’homme la tire Carine à lui, l’oblige à écarter les jambes pour éviter ses genoux. Il envoie une main entre ses cuisses, et lui fouille la chatte des ses gros doigts, pour bien la faire mouiller. Puis il remonte la mini jupe sur les hanches, la force à s’empaler sur son calibre. Carine ne peut retenir un petit cri. C’est même elle qui envoie de violents coups de reins sur la queue qui la baise.

-Enfoiré, crie-t-elle, pas ça…je me marie samedi prochain…tu le sais…Lisa, ou es-tu… -Arrête petite, répond le chippendale, tu vas voir comme tu vas te régaler.

-Que t’arrive-t-il, demande Lisa venu à la rescousse.

-Oh putain, souffle Carine, si tu savais la cartouche qu’il est en train de me mettre…comme il est monté le mec…un vrai taureau.

-Ben tu vois bien ma chérie, je t’ai dit que tu ne regretterais pas. Profite de ta dernière nuit de jeune fille. Je te couvrirai jusqu’au bout.

A peine Lisa partie, Carine a un orgasme terrible. Elle hurle de plaisir sous les applaudissements de ses copines…Et la soirée n’est pas terminée.

Carine fait un tour par le bar, pour se désaltérer, lorsqu’elle se sent tirée par le bras. Elle se retourne et se trouve face un homme masqué. Elle ne reconnait pas Marc, son ex petit copain. Celui-ci s’avance lentement et lui prend les lèvres.

Carine, prise dans le feu de la soirée, répond tendrement au baiser.

-Allons danser, Mademoiselle, lui dit-il.

Carine accepte et suit son ténébreux cavalier.

De suite, leur corps ne font plus qu’un. Carine passe ses bras autour du cou de Marc. Ce dernier lui mord l’oreille, lui murmure des mots doux. Marc doit lui poser une question bien précise, car Carine acquiesce de la tête. Marc la prend par la main, et l’entraine lentement dans un salon privé.

Après une multitude de baisers plus sulfureux les un que les autres,  Marc allonge Carine sur une table, la force à ouvrir ses jambes.

Il penche sa tête entre les jambes pour lui lécher la fente, écarte les lèvres intimes. Il se relève et enfonce sa bite au plus profond de sa chatte.

-Oh salaud, murmure Carine…tu me niques…c’est bon ça… vas-y, donne moi du plaisir…

A force de va et vient cadencer, Marc arrive au point de non retour, il va jouir. Il aimerait bien éjaculer dans la bouche de son ex, mais Carine a toujours refusé cet acte sexuel.

Marc tente le tout pour le tout, il se retire, et présente sa bite au bord des lèvres de Carine. Et là, surprise. Carine ouvre la bouche et sort la langue. Marc n’a plus qu’à poser son gland, et se vider les couilles de son abondante semence. Elle avale tout, suce jusqu’à la dernière goutte.

-Oh putain, la salope, souffle Marc, regarde ça, elle a tout avalé, jusqu’à le dernière goutte…elle a l’air d’aimer ça…ouah…son mari ne va pas s’ennuyer…allez petite vilaine, nettoie moi le zob.

Carine ne sais même pas rendu compte que la bite de Marc, avait été remplacé par les doigts vicieux de Francesca, sa principale rivale. Carine n’a pas reconnu la belle italienne, qui porte un loup pour cacher ses yeux. Francesca a toujours rêvé d’emmener sa rivale dans son lit, pour la gouiner, l’humilier. Le coup de la culotte et du doigt dans le cul, n’était que le début.

Carine est folle de rage quand Marc ôte son masque.

-Marc, gros salaud, dit-elle, tu sais que je me marie la semaine prochaine…et tu m’as baisée… -Un n’empêche pas l’autre, il faut bien profiter de ces derniers instants de célibat… -Surtout que t’es un super coup, poursuit Francesca en levant son masque. Allez, laisse la moi que je joue un peu avec elle…depuis que j’en ai envie de la voir jouir sous mes doigts.

-Oh non…pas elle, supplie Carine…elle va être méchante avec moi…c’est une salope.

Une gifle cinglante s’abat sur les fesses de Carine.

-Aie…aie…mais tu es folle…

-Tu me parles comme il faut, gronde Francesca, ok, je ne suis pas ta copine moi. Je veux des excuses.

-Pardon Francesca, pleure Carine, je te demande pardon. Mais dis moi, tu ne vas être méchante.

-Mais non, chérie, tu vas voir comme je vais bien jouer avec toi. Tu vas me supplier de continuer.

Francesca penche sa tête entre les jambes de Carine, et commence lécher la fente humide. Carine se cambre sous l’odieuse caresse, lance ses premiers gémissements de plaisir. Elle prend appuie sur pieds pour mieux cambrer sa croupe, et offrir sa chatte sur un plateau à sa pire rivale.

-C’est bon de se faire brouter le minou dans cette position, sourit la belle italienne. Le clito bien tendu, toujours décalotté tellement il est gros. On dirait un bonbon tout rose…hum…ça mérite un petit coup de langue ça ? C’est à force de te le faire doigter qu’il est si gros, hein, salope.

-Oui, avoue Carine, on ma tellement gratté la chatte…tellement baisé…j’ai tellement joui…oh oui…langue moi…ha…ha…hou…hou…je joui encore…vas-y, bien profond…fais moi cracher… -T’as  aimé te faire niquer par ton ex, il baise bien lui…c’est vrai ce qu’il ma dit…que c’était la première fois que tu suçais un mec…que tu ne t’es jamais faite sodomisée…ce n’est pas bien ça. J’espère que tu n’as pas réservé cet honneur à ton futur époux. Marc le mérite plus que lui, non ?

-Je ne sais pas, je ne sais plus…bien sur qu’il devrait  être le premier, mais j’aime Rémi… -On va arranger ça ma chérie, reprend Francesca, je veux que tu me promettes que ce sera Marc qui aura l’honneur de déflorer ton petit trou, compris.

-Oui Francesca, je te le promets. Marc pourra m’enculer, quand il le désire.

-Très bien, poursuit la belle italienne. Allons à la maison maintenant, j’ai encore envie de jouer avec toi. J’ai surtout envie de me faire bouffer la chatte, j’espère que tu sais faire.

Carine, Francesca et Marc arrive à la villa vers quatre heures du matin.

Après une bonne douche, les deux femmes montent à la chambre. Marc s’installe sur le canapé, devant un bon whisky. Il actionne la caméra dissimilée dans la chambre, et qui diffuse les images sur le grand écran du salon. Il assiste à la soumission de Carine qui subit les caprices sexuels les plus odieux de Francesca.

-Tu vas voir ce que les italiennes font aux petites chattes des françaises…vous êtes tellement joueuses, qu’on se régale de s’amuser avec vous.

-Oh oui, vas-y, amuse toi avec ma petite chatte…fais la mouiller…fais moi mourir de plaisir.

Tour à tour, Francesca va faire jouir Carine, va se mettre à genoux sur elle, écarter ses lèvres intimes pour mieux se faire bouffer la chatte. D’après l’orgasme qu’elle a, Carine a l’air d’assez bien se débrouiller.

-Waouh, petite salope, gémit la belle italienne, mais c’est pas mal ce que tu me fais…hum, vas-y, suces mon bouton, sort le de sa capuche…oh oui…oui…je joui…sale pute, tu me fais jouir…

Petit à petit, les deux femmes deviennent fusionnelles, même si Francesca reste dominatrice.  Elles jouent comme deux copines de pensionnat. Elles s’enlacent, roulent sur le lit, s’engagent dans des baisers interminables. Carine se permet de traiter Francesca de salope, ce qui lui vaut une petite fessée, mais très amicale. Il n’est pas rare aussi d’entendre Carine pousser un petit cri, quand Francesca lui pince le bout des seins, ou  lui pince le clitoris.

-Aie, salope, tire pas mon petit bouton…tu ma fais mal…caresse le plutôt…fais moi jouir… -Ok, petite pute, sourit Francesca, mets toi à genoux et penche toi en avant, écarte bien tes jambes que je vois ta petite chatte…Hum…elle est toute rose, et ce petit bouton, c’est vrai qu’il est beau, il est bien décalotté…tout rouge…il a envie qu’on le doigte… -Oh oui, il a envie, vas-y…caresse le ce vilain…branle ma chatte aussi…oui…oui…hou…hou…

Sur le canapé, Marc assiste à un spectacle hallucinant. Il a une vue imprenable sur les ébats érotiques de Francesca, la dominatrice, et de Carine, la soumise. D’une main, il soupèse ses testicules, gorgés de jus, d’une autre, il fait des va et viens sur sa queue en érection. Il se retient pour ne pas rejoindre les deux femmes.

Enfin repus de sexe, les deux femmes s’assoupissent dans les bras l’une de l’autre.

Vers six heures du matin, Marc ramène Carine chez elle, en lui rappelant sa promesse.