Leïla a 24 ans, elle est libertine et bisexuelle. Quand l’envie lui prend, elle surfe sur le web à la recherche de couples échangistes dont la femme aime aussi le sexe entre filles.

Comment t’es-tu découverte bisexuelle ?

  • Leïla – J’ai grandi dans un milieu très conservateur. Par rébellion, sans doute, j’ai été plutôt précoce s’agissant des garçons. J’ai toujours eu pas mal de succès et je savais en profiter pour me faire plaisir. A l’insu de ma famille, bien sûr. Et puis, un jour, je me suis rendue compte que j’avais envie de certaines filles de ma classe…

Tu es passée à l’acte ?

  • Leïla – Oui, en première année de fac. Il y avait une rouquine qui me plaisait beaucoup et qui assumait son homosexualité. Un soir de fête, je l’ai allumée comme une salope et, évidemment, je l’ai mise dans mon lit. J’ai pris un pied invraisemblable, parce que la nana était un très bon coup, et aussi parce que mon goût de l’interdit décuplait mon envie d’elle.

Tu es restée avec elle ?

  • Leïla – Un petit moment. Très vite, je me suis aperçue que, dans nos relations sexuelles, il manquait un élément essentiel à mon plaisir : une bite ! J’étais bisexuelle, et quand je m’en suis rendue compte, nous avons cassé. Depuis, je n’ai plus de relations sérieuses, ni avec des hommes, ni avec des femmes. Je tiens à réussir mes études et ma carrière, on verra après pour le mari et les gosses. (rires)

Donc, du coup, tu cherches des rencontres d’un soir ?

  • Leïla – C’est le cas de le dire. Je cherche à m’amuser sexuellement avant toute chose. Je me suis fixé une règle, je ne retourne jamais avec le même couple.

Tu dragues des couples sur internet, c’est ça ?

  • Leïla – Oui. Un jour, j’ai vu une émission où ils expliquaient que la majorité des libertines aimait aussi les femmes. Je me suis inscrite sur un site échangiste et j’ai commencé à draguer. C’est fou le nombre de couples libertins qui fantasment sur une rencontre avec une fille seule. J’ai très vite eu l’embarras du choix.

Comment cela se passe-t-il ?

  • Leïla – Quand un couple m’aborde, je leur demande tout de suite un chat webcam, histoire de voir s’ils me plaisent tous les deux un minimum et aussi pour savoir si madame (ou mademoiselle) est vraiment partante. Puis, je m’assure qu’elle est réellement bi. On se donne rendez-vous chez eux et, après un verre, on s’offre un plan cul à trois.

Tu ne vas jamais dans les clubs échangistes ?

  • Leïla – Non. J’ai essayé une fois et ça n’est pas mon truc. De plus, je ne trouve pas ça très discret.

Comment choisis-tu les couples ? Quels sont tes critères ?

  • Leïla – Comme je le disais, l’important c’est la bisexualité réelle de la femme. Souvent, des nanas veulent faire plaisir à leur mec, mais ne sont pas vraiment bi. Ça n’a aucun intérêt pour moi. Sinon, physiquement, je ne suis pas difficile, je n’ai pas de critères d’âge, ni de critères plastiques trop rigoureux.

Et tu trouves facilement ?

  • Leïla – Très facilement, les nanas seules et bisexuelles, sur ce genre de sites, ont beaucoup de succès. C’est pour ça que je ne perds pas de temps avec les couples indécis, ou ceux qui m’ont l’air d’être bidons.

Quelle a été ta meilleure expérience avec un couple ?

  • Leïla – J’ai chatté par hasard avec une ancienne prof. Je l’avais eue au lycée et je l’avais toujours trouvée très belle. Son mari n’était pas mal non plus. Ils avaient plus de vingt ans de plus que moi, mais c’était leur première expérience libertine. J’y suis allée un soir et je ne suis repartie que le matin…

Le feeling était bien passé ?

  • Leïla – Oui, nous avons beaucoup parlé, puis beaucoup baisé. A un moment, nous tendions toutes les deux nos fesses au mari, qui nous prenaient alternativement, tandis que nous nous roulions de bonnes pelles à pleine bouche, comme je les aime avec une autre femme. Puis, nous nous sommes enlacées l’une l’autre, les chattes se frottant, et monsieur nous a baisées comme ça, c’était trop bon.