Libertinage entre collègue de travail

Comme souvent le matin, après le départ son époux, France s’attaque au ménage, simplement vêtue d’un court peignoir. Elle adore sentir le tissus frotter sur le bout de ses seins. Ca l’excite et lui rappelle la chaude soirée arrosée d’hier. Elle est tirée de ses pensées par la sonnerie de la porte.

-Tiens, qui cela peut-il bien être…Jérôme aurait-il oublié un dossier.

Elle ouvre, et se trouve nez à nez avec Quentin, un employé récemment licencié par son mari. Quentin a juré de faire payer ce licenciement à son patron. Et sa vengeance passe par sa femme, d’autant qu’elle a une réputation de femme coincée.

-Oui, bonjour Quentin, que voulez-vous. J’imagine que mon époux ne sait pas que vous êtes là.
-Ne vous inquiétez pas Madame, je sais qu’il est sorti pour la journée. Puis, je suis juste passé pour ramener vôtre petite culotte.
-Quoi…mais comment ça se fait que c’est vous qui l’avez. Ne me dites pas que c’est vous qui me l’avez quittée hier soir…et qui m’avez mis un doigt.
-Non madame, c’est ma femme, répond Quentin. Du reste, elle a trouvé votre chatte bien humide.
-Oh mon dieu, et moi qui croyais que c’était mon mari qui me faisait une blague. Mais, maintenant que vous le dites, je trouvais les mains bien douces, pour que se soit celles d’un homme.

Effectivement, hier, France et Jérôme étaient invités à une soirée dansante. Quentin et son épouse y participaient.
Après quelques verres, France devenait une proie facile. Elle a bien senti des mains montées sur se cuisses, ôter sa petite culotte. Elle a bien senti le doigt pénétrer sa chatte, sursauter quand un ongle a écorché son clitoris, mais elle pensait que c’était son mari, lui aussi un peu éméché, qui avait des envies. Bien que, tout réfléchi, Jérôme n’est pas trop doué pour les préliminaires, alors l’idée de s’être fait chatter par lui, la surprend. Ce qu’elle retiendra, c’est le plaisir et l’orgasme qu’elle a eu.

-Vous ne m’offrez pas le café pour me remercier, demande Quentin.
-Et puis quoi encore, s’énerve France en essayant d’arracher la petite culotte des mains de Quentin. Rendez moi ça et partez
-Comme vous voulez, dit Quentin, je la ramènerais à Jérôme.
-Euh…non, réponds France. Attendez, je prépare le café.

France s’avance du plan de travail, suivi de près par Quentin. Celui-ci la prend par la taille. France se retourne, le repousse violemment. Mais Quentin insiste, revient à la charge. Il la plaque une nouvelle fois, se colle à elle. Elle sent un objet dur contre ses fesses, mais aussi la main qui dénoue le peignoir. Impuissante, France comprend que le piège se referme.

-On va jouer un peu tout les deux. Vous ne voulez pas que vôtre mari sache que vous vous êtes fait branler par une femme.

Lentement, Quentin lui fait faire un demi-tour. Il a un sifflement admiratif en découvrant le corps splendide de France.

-Partez, dit-elle, je ne dirais pas à mon mari que vous êtes passé.

Pour toute réponse, Quentin arrache le peignoir, la saisit par les hanches, l’assied sur le plan de travail. Il lui caresse les seins, excite les bouts, puis enfouit sa tête entre ses cuisses. Instinctivement, France écarte les jambes. De ses doigts, Quentin écarte les lèvres intimes, décalotte le clitoris.

-Ouah, quelle belle chatte que voilà…et ce petit bouton…qu’il doit être bon.

France ne dit rien, elle subit les assauts pervers de Quentin. La langue de celui-ci monte et descend sur la fente, les lèvres aspirent le clitoris. France commence à lâcher quelques gémissements de plaisir.
Elle cambre légèrement ses reins, pour aller vers l’odieuse caresse. Ses mains plaquent fort la tête de Quentin quand elle atteint l’orgasme.

-Salaud…je jouiiii…ah…ah…mon dieu….oui…oui…

Quentin, se relève, la bouche imbibée de cyprine, oblige France à s’allonger sur le plan de travail. Honteuse, elle met ses mains devant son visage.
Un sourire victorieux aux lèvres, Quentin caresse le corps de France. D’abord les seins, dont il fait ériger les bouts, puis le ventre plat. Les mains s’insinuent plus bas, entre les cuisses. France, soumise, retient son souffle. Devinant les intentions de Quentin, elle écarte ses jambes. Quentin a compris le message.
France laisse échapper un râle de plaisir, quand les doigts la pénètrent, quand le pouce doigte son petit bouton.

-Vous aimez ça hein…c’est bon. Vôtre mari ne vous caresse pas comme ça ?
-Non, souffle France…pas comme ça.
-Pourtant, ce ne sont que des doigts…et il n’est pas capable de faire ça…tout les hommes savent faire ça…il s’agit juste de décalotter le clitoris, et d’y faire tourner un doigt dessus…vous sentez le mien…et les deux autres dans vôtre chatte…vous les sentez.
-Oh oui salaud, je les sens…
-Et celui de ma femme hier soir, vous l’avez senti aussi. Elle vous a bien faite jouir, vous avez aimé vous faire gouiner.
-Oh oui j’ai aimé…c’était tellement bon…allez-y vous aussi, branlez-moi…
-Et si vôtre mari était là, qu’est-ce que vous lui diriez.
-Ce que je lui dirais ? Oh mon chéri, regarde le Monsieur comme il s’amuse avec la petite chatte de ta femme…avec mon clito, c’est bon tu sais. Tu ne sais pas faire ça toi…
-Bien…il va faire un beau cocu…

Le corps de France commence à se tordre sur le plan de travail. Les doigts de Quentin font un travail dévastateur. D’un geste, il extrait sa queue se son pantalon, et l’approche de la bouche de France. Elle la prend du bout des lèvres, la décalotte, l’avale, palpe les énormes couilles. Quentin, en érection, entame de lent va et vient.

-Ouais…oh putain, vous êtes bonne vous…vôtre mari vous a bien appris.
-Hum…je ne l’ai…hum…jamais sucé…hum…lui, s’étouffe France.
-Ouah, donc vous n’avez jamais avalé non plus…je vais être le premier…

A force de caresses, le corps de France se cambre de plus en plus sur le plan de travail. L’orage est proche. Il éclate dans un orgasme terrible.

-Ben dis dont, vous aviez une grosse envie.
-A vous maintenant…videz-vous, parvient-elle à dire.

Quentin se tend conne un arc, la bite enfoncée dans la bouche de France.
Il éjacule abondamment par puissantes giclées. Gourmande, France avale le sperme à s’en étouffer. Goulument, elle nettoie le gland avec ses lèvres. Quentin se retire, se penche sur France, lui prend les lèvres. Conquise, elle répond au baiser.

-C’était super Madame, dit Quentin en continuant à faire des mouvements circulaire sur le clito de France…bon, je vais vous baiser maintenant. J’espère que ça, vôtre mari sait le faire
-Pensez-vous, c’est un incapable.
-A bon, à ce point…mais que vous fait-il alors.
-Pas grand-chose.

Quentin ôte ses vêtements, oblige France à s’appuyer sur le plan de travail. Il se vautre sur son dos, sa queue contre la chatte. D’une simple poussée, il écarte les lèvres et la pénètre. Les jambes bien écartées, France s’abandonne totalement.

-Ah…oui…oui…c’est bon de sentir une autre queue que celle de son mari dans la chatte…surtout quand elle est plus grosse…oh oui, je la sens bien là.
-A bon…parce que en plus je suis mieux monté que vôtre mari…vraiment, dites-le
-Oh oui… vous êtes mieux monté que lui…elle est belle vôtre queue…elle est bonne…même vos couilles sont plus grosse que les siennes…vous m’excitez de me faire dire ça…oh putain, je joui…allez-y, ne vous arrêtes pas…oui…

Après un orgasme nourrit, Quentin se retire. Il veut asseoir sa vengeance en profitant de la femme de son ex patron. Il veut qu’elle soit totale.

-Oh non, pourquoi vous vous êtes retiré, j’en veux encore.
-Je vais vous enculer maintenant, lui murmure-t-il à l’oreille.
-Mais…ça doit faire mal…et puis, je n’ai jamais fait ça.
-Encore un truc que je dois vous apprendre. Ne vous inquiétez pas, j’irai doucement. Vous allez aimer.

Quentin pointe sa bite contre le petit trou de France, le pénètre doucement. France serre les dents. Ses ongles glissent sur le plan de travail. Puis la douleur s’estompe, laissant la place à une agréable sensation.

-Enfoiré…vous aurez abusé de moi jusqu’au bout…mais c’est vrai que c’est bon…allez-y salaud, enculez moi, bourrez moi le cul.
-Tenez…prenez ça petite chienne…hein que vous êtes une chienne…
-Oui…je suis une vraie chienne, une salope, mais j’aime ça…

La queue de Quentin va de plus en plus vite. France gémit de plaisir. Soudain, elle sent un liquide chaud giclé dans son ventre. Quentin se vide les couilles dans un « han » de bucheron.
Les deux amants glissent sur le sol, France toujours empalée sur la bite de Quentin. Il lui mord le cou, lui tord la tête pour lui prendre les lèvres.

France se retrouve les bras en croix sur le carrelage, épuisée, mais heureuse.
Quentin regarde le corps magnifique de sa proie.

-Faut que j’y aille, Madame. Que tout ça reste entre nous.
-Attendez…embrasser moi, puis je veux qu’on se revoie.

France se blottit dans les bras de Quentin, lui prend les lèvres. Le baiser est torride, comme la relation qu’ils viennent d’avoir.

-Tenez mon numéro, dit Quentin, vous m’appelez quand vous avez envie.
-Envie de quoi, de me faire baiser ? Dès ce soir, je demande le planning de mon mari. Je vous tiens au courant.