Bonjour à tous. Je suis une femme de 39 ans. On ne peut pas dire que je sois frigide car j’ai énormément de plaisir lorsque je fais l’amour mais ma libido n’est pas au top. Quand je compare à mon mari qui a envi tout le temps et à n’importe quelle heure, moi, mes envies sont rares, voir inexistantes. Je suis mariée à cet homme depuis 2 ans et cela fait 5 ans que nous sommes ensemble. A vrai dire, nous sommes une famille nombreuse de 5 enfants et en plus, il se rajoute le boulot, même si mon mari m’aide pour la maison et les repas, je suis trop fatiguée le soir pour penser au sexe. Jusqu’à ce fameux jour !

Mon mari revient de course et me parle de Quicksex (un petit coup rapide). A peine a-t’il fini son explication que le désir monte en moi et je lui dis de me prendre tout de suite sur le canapé. Les enfants étant occupés, je lève ma jupe et me mets à quatre pattes sur le canapé devant la fenêtre sans rideau ni volet. Le fait d’être vue apporte un point supplémentaire. Mon homme baisse le sien, écarte mon string puis mes grandes lèvres et me pénètre de toute sa longueur. Au début, ça a du mal à coulisser car je mouille peu mais mon mari se lubrifie en se mettant de sa salive et ensuite ma lubrification prend le relais. Il me pilonne littéralement pendant un quart d’heure de baise intense. Il jouit en moi et se retire. Pendant la journée, je pense à ce que l’on vient de faire et mon désir est à son comble. Les enfants sont revenus mais je ne cesse d’avoir de plus en plus de désir pour lui. Le soir, à peine les enfants sont ils au lit, que je baisse les éléments vestimentaires de mon mari qui empêchent de combler mon appétit sexuel. Je le suce goulument tout en lui massant les couilles (je sais qu’il adore et donc que ça va le mettre en forme). Pour ma part, je coule littéralement car je me masturbe en même temps et je sens la douceur du liquide chaud qui s’échappe de mon antre. Il me décolle du sol et m’allonge sur le dos et me mange la chapelle ardente sans oublier le clocher ! Je bouillonne, je veux être enfilée. Il commence par s’enfouir en moi de quelques centimètres et se retire puis recommence. Il me rend folle. Je n’en peux plus.

Il rentre lentement sans à-coups et il ne cesse de rentrer, de rentrer, son sexe n’a jamais été aussi long. Je le complimente sur sa jolie érection et lui demande de me ramoner sans vergogne. Mon langage est cru, ce qui ne me ressemble pas mais il a l’air d’apprécier. Il augmente la cadence. Je jouis mais il ne s’arrête pas car lui est toujours en  forme. Il me soulève et me retourne. Il me fait un anilinctus et me masturbe le clitoris. La jouissance remonte en moi. Il m’empale de son gros sabre. Je suis prise entre la douleur et le plaisir. Ce premier disparait assez vite pour ne laisser la place qu’au bonheur. Il fait de longs allers-retours dans mon petit trou, cela me chauffe. Je me mastique le capuchon et je jouis pour la deuxième fois. Mon mari me saisit fortement aux hanches et envoie tout son foutre en moi, peut être 5 minutes après. J’ai la tête qui tourne, limite de faire un malaise. C’était plus que bon ! Je crois que ma libido est repartie pour un tour.