Je reçois aujourd’hui une correspondante marocaine de 25 ans. Je ne sais pas encore que cet après-midi va devenir un souvenir  érotique incomparable qui va bouleverser ma vie. Elle arrive chez moi. Elle est d’une beauté tout autant exotique que merveilleuse. Elancée, une poitrine menue, elle a des jambes interminables et galbées. Ses cheveux de couleur anthracite, lui arrivant jusqu’aux épaules, sont raides et longs. Elle a des yeux noirs surmontés de sourcils fins, qui montrent une épilation soignée. Son visage est doux avec une bouche tellement sensuelle qu’elle pourrait faire fantasmer n’importe quel homme. Au moment où je la fais entrer dans l’appartement, j’aperçois son magnifique fessier rebondi qui crée aussitôt chez moi un raz-de-marée de douce chaleur.

Elle est vraiment canon ! « Bonjour » C’est la première fois que j’entends le son de sa voix qui est tant suave qu’elle me donne des frissons sur tout le corps. Emotions et plaisir, voilà, les maîtres mots qui viennent à mes oreilles. Nous discutons et nos corps se rapprochent. De fil en aiguille, nous parlons sexe et elle me dit qu’elle veut bien me faire une gentille fellation. Je reste béat mais je ne fais rien pour l’en empêcher. Elle se baisse devant moi et me tenant debout devant elle, elle fait glisser les barrières de coton pour arriver à l’essentiel. Elle me lèche le sexe de façon délicieuse avec des coups de langues sur le frein, la hampe et les testicules puis me prend en bouche. Elle serre bien ses lèvres pour un maximum de sensation et applique mes mains sur sa tête pour lui donner la cadence.  Elle me dit qu’elle est la reine de la pipe et me fournit aussitôt la preuve. Elle veut que je vienne mais j’ai dans l’idée de la pénétrer. Je lui caresse la tête et la relève pour l’embrasser. Je continue mes caresses sur ses hanches et descends sur son fessier. Elle continue de masturber avec ses mains. Je remonte dans son dos et m’occupe à présent de ses seins petits mais très réceptifs à la stimulation. Le plaisir monte en elle et elle perd pied. Elle me dit que ce n’est pas raisonnable, qu’on ne se connait pas. Ma main soulève sa jupe et lui caresse la vulve. Elle sursaute et se remet à l’ouvrage. Elle pilonne sa gorge de mon pic bien dressé. Je n’en peux plus, je la saisis et la pose sur la table de la salle à manger.

Je relève sa jupe et je regarde son string humidifié de son désir. Je lui écarte son parachute et je m’enfonce dans sa chatte étroite. Au lieu de me repousser, elle se pâme. Je lui fais  subir un pilonnage en règle. Qu’elle est belle et le plaisir partagé se lit sur son visage. J’avance mon bassin pour pénétrer mon manche jusqu’au plus profond de son vagin. Je fais voler son string et lui mange la chapelle à plaisir. Je m’occupe de tous ses orifices. Je veux la posséder de ses trous. Elle en tire un énorme plaisir qu’elle extériorise pour ma plus grande joie. Elle se positionne à quatre pattes et me supplie de la faire jouir par la pénétration. Je n’ai pas besoin de tant de sollicitation. Toute le bonheur qu’elle me démontre pendant notre ébat, me suffit à vouloir continuer. Elle écarte ses lèvres ce qui me donne une belle vue intérieure et je rentre mon gland dans son étroite et humide cavité. Elle joue avec son clitoris qu’il lui produit un effet fou. Elle va jouir alors je me retire et rentre dans son petit trou en douceur et calmement pour éviter d’éjaculer trop rapidement. Elle est surprise et ne sait pas si je dois me retirer ou me laisser faire. Déjà, j’accélère la cadence et elle ne lutte plus et n’a que du ravissement. Je lime jusqu’à sa jouissance. Elle se retourne alors et me pompe de nouveau. Elle veut que je me délivre de mon liquide séminal mais je résiste à cette fellation pourtant bien réalisée. Ses mains me caressent les bourses et l’anus tandis qu’elle enfourne jusqu’à mon pubis mon sabre d’une érection que je n’ai jamais connu. Elle me fixe dans les yeux et me dit de ne pas me retenir. Je craque et je me décharge dans sa bouche. Elle continue ses « va et vient » après mon éjaculation, ce qui est très agréable. C’était magnifique ! Nous nous regardons pendant de longues minutes où plus rien n’existe que nous deux.

Elle me demande si c’est à mon goût. Je la prends dans mes bras pour la serrer très fort contre moi et lui dit qu’elle est merveilleuse et que je l’aime. Depuis ce jour, nous sommes toujours ensemble et cela fait désormais trente ans de vie commune..