Je m’appelle Stéphane et je vis dans le sud de la France dans une petite ville au bord de la mer. Il y a deux mois, il ya avait beaucoup d’animation en face de chez moi, car mes voisins déménageaient. Je vais tacher de vous expliquer pour que vous visualisiez mieux la situation.

J’ai une allée devant ma maison qui est bordée par un grillage. Juste derrière ce grillage, il y a les jardins des voisins du lotissement d’en face. J’ai toujours râlé qu’ils viennent se coller à mon terrain, mais pour le coup, vous allez voir, ça devenait intéressant. Jusqu’au jour où une nouvelle locataire est venue s’installer juste en face de chez moi. De ma cuisine, je voyais tout son jardin et une partie de son intérieur. Les mini-jardins sont séparés par des panneaux de bois, mais de chez moi, je vois l’intérieur de chacun. Je l’ai observée, car je suis de nature curieuse et j’aime bien jouer les voyeurs, surtout avec les jolies femmes.

Cette femme a une trentaine d’années, et se balade toujours en petite tenue légère. Elle a des formes généreuses et pulpeuses qui donnent vraiment envie de s’occuper d’elle. Un jour, alors qu’elle était dans son jardin, elle s’est penchée en avant pour ramasser un objet tombé sur le sol et j’ai eu une vue plongeante son fessier splendide. Je me suis caché pour ne pas me faire repérer et j’ai vu qu’elle ne portait pas de culotte. Ses fesses étaient rebondies comme des pommes fermes et ses orifices semblaient lisses. Elle s’est retournée subitement et a regardé dans ma direction. Je me suis vite caché mais je pense qu’elle m’a vu.

Le soir venu, il ne faisait pas beau, mais la chaleur s’était accumulée dans la maison. Je cherchais ma nouvelle voisine, mais en vain, je ne la voyais pas. J’étais déçu. Je monte prendre une petite douche pour me rafraichir lorsque j’entends sonner à la porte. C’est toujours dans ces moments là qu’on est dérangé. J’enfile un peignoir de bain et vais ouvrir la porte. Je me trouve face à face avec ma voisine sans culotte. Dans sa petite tenue, elle me dit que sa clé n’ouvre plus et que vu la météo exécrable, elle aimerait patienter chez moi le temps que l’orage passe. J’étais sous le charme et sous le choc de sa visite. Elle s’est installée sur le canapé et se trouvait face à moi, les jambes écartées. J’avais une vue plongeante sur sa cramouille qui était bien lisse et bien fendue. La coquine sans détour, me demande si le paysage me convenait. J’étais horriblement gêné. Je me confonds en excuses voyant que nier ne servirait à rien. Elle me dit que cela ne la dérangeait pas le moins du monde et que c’était un peu de la provocation. Un malaise s’est installé dans le salon. Je suis en peignoir et elle en petite tenue. Je lui dis que je vais m’habiller pour me préparer à réparer sa serrure après l’orage, mais elle se relève et me repousse dans le fauteuil pour m’obliger à m’asseoir. Elle écarte mon peignoir et libère mon sexe qui était déjà très dur. À genoux, elle prend mon sexe dans sa bouche et me fait une fellation comme jamais je n’en ai eu. Sa bouche enserrait bien ma queue tandis que sa langue tournait sur mon gland. Elle malaxait mes couilles en même temps et la pression s’est rapidement fait sentir dans mes couilles. J’ai voulu me dégager pour m’occuper d’elle, mais elle m’a repoussé et m’a tenu les bras pour pas que je bouge. Mes couilles se sont contractées et mon sperme a giclé au fond de sa gorge. Elle a ouvert la bouche et tout est retombé sur mon pubis et mes couilles. Elle a malaxé ce mélange sur mes attributs puis s’est essuyée sur mon torse. Elle me dit qu’elle doit maintenant rentrer chez elle pour préparer le diner. Je lui rappelle que sa porte est coincée et avec son petit sourire, me dit que ce n’est nullement le cas. Elle me donne rendez-vous à 20 h précise pour partager un repas avec elle en disant que maintenant que j’avais les couilles vides, je pourrais mieux m’occuper d’elle.

Vivement ce soir !