Nous n’avons jamais de temps pour nous galipettes sexuelles avec mon mari alors là, tout est calculé. Nous avons pris une journée de vacance et tout le monde nous croit partis. Nous déjeunons tranquille et préparons le lit à nos ébats. Nous mettons une grande serviette car nous allons commencer par des massages et l’huile qui salit tout, gâcherai le plaisir. Nous sommes tout nus depuis ce matin car mon mari aime me regarder et j’avoue que moi aussi. Il se place sur le ventre sur le lit et je monte sur lui à califourchon. Je lui verse une bonne dose d’huile dans le dos du cou jusqu’au bas des reins. Je commence à le masser. Je pars du dessus de ses fesses, pour ensuite suivre sa colonne vertébrale, je finis l’aller en faisant la périphérie de ses épaules et fais le retour par ses flancs. Il se décontracte et je continue mon petit manège. Pour ne pas qu’il s’endorme, je remplace mes mains par mes seins. Je suis déjà chaude comme une bouillotte et pousse des petits cris de bien-être.

Je masse ensuite ses fesses rebondies en lui écartant vers l’extérieur. Je clos ma partie de massage par l’application de mon sexe sur son corps. Mon clitoris est bien stimulé aussi. Nous inversons les rôles, je m’installe sur le ventre et laisse faire mon mari. Je fais ressortir mes fesses pour qu’il n’oublie pas de me les pétrir. L’huile est fraîche et sur mon corps chaud, cela procure une drôle de sensation. Il me masse le dos, les cuisses et enfin le derrière qu’il m’écarte aussi large que possible. Il en profite pour me glisser un doigt dans mon petit orifice et passe sa main en insistant sur ma vulve. Il ajoute de l’huile sur mon anus et ma chatte et reprends ses caresses délicieuses. Il écarte les lèvres de mon sexe, joue avec mon clitoris avec ses doigts et fait de petites rotations avec son pouce à l’entrée de mon rectum. Il me mange mon capuchon clitoridien, je suis toute trempée. Il s’allonge sur le lit et le voyant ne plus tenir, j’avale son sexe avec le mien tout en l’embrassant fougueusement.

Après quelques instants,  je lui applique de l’huile sur son pubis. Je m’occupe de sa verge ainsi que de ses testicules en faisant entrer doucement le lubrifiant. Ensuite, je lèche la base de son sexe et arrivée sur son gland, je l’enfourne dans ma bouche. Je le regarde. Il m’attrape par les jambes et me stimule le sexe avec ses doigts. Je fais exprès de faire plein de bruit de succion avec ma bouche car je sais qu’il apprécie. J’insiste sur son frein ainsi que toute sa hampe et lui fais une gorge profonde. De fil en aiguille, ma pipe se transforme en 69 pour un plaisir mutuel. Je le saisis aux couilles puis je le masturbe de façon à ce que ma bouche accompagne ma main. Je reviens sur lui, il est plus en forme que tout à l’heure. Il mange ma poitrine pendant que j’enfonce sa pine dans mon vagin. Il a très envi de moi, ses mouvements sont rapides et viennent jusqu’au fond. Quel pied ! La jouissance monte crescendo et déjà mon ange me triture l’orifice restant. Il s’échappe de moi, consciemment ou pas, je ne le sais pas mais je pense qu’il n’a plus qu’une envie me sodomiser. Vu qu’il me le fait toujours en position de levrette, je reste sur lui, prends son pieux dans ma main et l’enfonce dans mon petit trou. Nos râles de désir se mêlent. Je cris, tu cris, nous crions. Je lâche un grand gémissement car le cochon a replié ses jambes et m’a défoncée de trois centimètres de plus en moins d’une seconde. Le massage a dû faire son effet ou la position mais je ne l’ai jamais senti aussi grand en moi.

Je me trémousse pour jouer sur toute sa longueur. D’un seul coup, il m’aplatit sur son corps en me bloquant par la taille et au niveau de mes épaules et accentue la cadence. J’ai le derrière en feu. Il me positionne à quatre pattes et continue son traitement. Il saisit mes hanches et y va fort. Dix minutes de baise intense viennent de s’écouler et il jouit en moi. Sa lubrification naturelle apaise le feu de mes sphincters. Je prends alors les choses en main car étant limite de jouir aussi, je me masturbe le clito alors qu’il est toujours en moi. Je n’attends pas 30 secondes que la vague de plaisir emplit mon corps et je tremble de tout mon être par saccade. J’ai pris un de ces pieds qu’il faudra remettre ça rapidement et, voir même, tout à l’heure au moment d’aller nous coucher quand nos enfants seront au lit. Vive le sexe !