Angélique et Bastien sont un couple mélangiste. Après dix ans de libertinage, ils ne veulent en aucun cas de pénétrations hors-couple et se tiennent à leurs limites avec beaucoup d’assurance.

Comment envisagez-vous votre libertinage ?

  • Angélique – Une chose est sûre, c’est que ce n’est pas avec nous que vous allez avoir les détails les plus croustillants !

Pourquoi ?

  • Angélique – D’abord, nous sommes mélangistes. Nous nous en tenons à des caresses et des rapports buccaux. Ensuite, nous ne pratiquons le libertinage qu’à quatre, nous avons horreur des partouzes.
  • Bastien – En plus, nous ne sommes pas du tout exhibitionnistes. Quand nous coquinons en club, c’est toujours dans une chambre fermée, sans fenêtre.
  • Angélique – Ça n’a pas l’air très gai tout ça, hein ? (rires des deux)

Chacun ses envies… Mais pourquoi aller en club pour faire ça ?

  • Angélique – On aime sortir. Le club, c’est d’abord danser, faire la fête. S’il y a du sexe après, tant mieux. Et sinon, ce n’est pas ça qui nous empêchera de passer une bonne soirée.

Vous n’outrepassez jamais vos règles ?

  • Angélique – Jamais ! Nous avons débuté dans le libertinage par l’échangisme. Nous devenions tous les deux jaloux. Depuis que nous avons fixé des règles claires et précises, il n’y a plus de problème.

Donc jamais de fêtes à plusieurs couples en privé, par exemple ?

  • Angélique – Si, bien sûr. Nous adorons faire la fête.
  • Bastien – Une fois, nous avons réuni pour un week-end cinq autres couples, venus de la France entière. Nous avons fait la fiesta non-stop pendant tout le week-end.
  • Angélique – Côté cul, nous nous étions assurés que tout le monde se plaisait… Le soir venu, nous tirions au sort pour répartir les six couples dans les trois chambres. C’était un jeu super excitant.

Personne ne savait avec qui ils allaient coucher le soir même ?

  • Bastien – Exactement. Nous avons tiré au sort le vendredi soir, et nous avons refait un tirage différent pour le samedi soir. Bilan : certains ont été frustrés de ne pas pouvoir coquiner ensemble et nous nous sommes promis de remettre ça bientôt pour pouvoir explorer toutes les possibilités de ces fêtes à six couples !

Quand vous vous isolez avec un couple, pratiquement, vous faites quoi ?

  • Angélique – En général, je commence par aller vers la fille. Je suis un peu bisexuelle et on s’amuse à allumer les mecs en se gouinant un peu. Et puis, on embrasse l’autre gars et voilà, c’est parti.
  • Bastien – Je suis certain que vous ne demandez pas ça aux couples échangistes ! Il y a plein de choses à faire en baisant sans pénétration. On s’embrasse, on se caresse, on se branle réciproquement. Et puis, bien sûr, pipes et cunnilingus sont autorisés.
  • Angélique – Ça nous est arrivé de tomber sur des couples échangistes pas très chauds pour le mélangisme. Le mec surtout. Peur d’être frustré. Je peux vous dire qu’après avoir découvert ma caresse spéciale, ils avaient tous changé d’avis !

Ta caresse spéciale ?

  • Bastien – Elle a un truc de fou, qui rend malades de désir tous les mecs avec qui elles couchent.
  • Angélique – C’est assez simple en fait. Je me place sur les genoux de l’homme, face à lui, très proche de son corps et donc de sa bite. Et puis, je commence à le branler. Il faut que lui aussi caresse mon clitoris. Quand on est chauds tous les deux, je me rapproche encore et je branle le mec en frottant son gland contre mon clito.
  • Bastien – Elle prend son pied comme ça et les mecs ne résistent pas bien longtemps non plus ! (rires)

Tu en as beaucoup des “trucs” comme ça ?

  • Bastien – C’est la reine de la branlette espagnole ! Quiconque réussit à résister à sa caresse gland-clito finit par rendre les armes entre ses seins, c’est obligatoire ! (NDLR : Angélique est dotée d’une poitrine plus que généreuse).
  • Angélique – J’adore sentir un mec jouir entre mes seins. Et ,si possible, j’aime sentir le foutre chaud gicler sur ma poitrine, en être bien couverte. Quand j’ai déjà joui, je m’applique bien à faire venir le mec, et je suis à 100% de réussite pour l’instant ! (rires)
  • Bastien – Finalement, pour les détails croustillants, les mélangistes se débrouillent bien aussi, non ?