Ce soir, on fête mes quarante ans. Mon mari a préparé une fête avec des amis. Il a prévu la musique, la bouffe et m’a arrangé une journée consacrée à mon bien-être : coiffeur, esthéticienne et maquilleuse. Je me prépare à apprécier cette journée et je repense, qu’il n’y a pas si longtemps, je croyais qu’il me trompait alors qu’il se faisait beau pour moi. J’ai l’impression que la routine s’installe entre nous et je compte sur ce jour pour redonner un élan à notre histoire. Je veux qu’il retrouve celle qui le faisait rêver au début de notre mariage. Je pars donc chez l’esthéticienne. Quand j’arrive, je découvre le programme prévu par mon homme : soins de peau, massage, épilation intégrale (une première pour moi) et maquillage. J’apprécie que l’on s’occupe de moi. Tout est divin sauf je vous avouerai l’épilation de mon sexe à la cire… mais bon, il faut souffrir pour être belle. J’espère que mon mari appréciera. Maintenant que tout ceci est fini, je passe sur le trottoir d’en face pour aller chez le coiffeur. Je désire une coupe classique mais avec des mèches claires car je suis brune. Le résultat me convient. Je file chez moi pour l’habillage. Ma copine Sylvie qui m’accompagne, reste béate devant la transformation de la chrysalide en papillon.

Je choisis une guêpière en dentelle qui joue la transparence. Ma poitrine, soutenue par les bonnets pull-up intégrés, est bien mise en valeur. J’enfile un tanga et des bas assortis. Mes fesses sont aussi présentées avantageusement. Je sors de ma salle de bain et demande ce qu’en pense mon amie. Elle me répond que c’est provocant et classe par la-même. Je me regarde dans la psyché. Je me penche alors un peu avant pour découvrir mon décolleté. Cela me plait. J’enfile alors mes talons hauts et imagine ce que mon mari va pouvoir découvrir. Tout s’enchaine très vite, je m’habille avec chemisier et un tailleur, et je descends dans la pièce des festivités. Au fur et à mesure de l’entrée des invités, je pousse des ah et des oh ! Tous sont unanimes, je suis très en beauté, je remercie publiquement mon mari et la soirée touche à sa fin. Mon mari et moi décidons d’aller nous coucher et de débarrasser demain. Arrivés dans la chambre, il s’installe sur le lit, je lance la musique du film de « 9 semaines et demi » et lui fais mon premier strip-tease. Les yeux de mon homme vont sortir de ses orbites tant il me fixe. Je ne garde que ma guêpière et mes bas. Puis je lui ouvre son pantalon, prend son sexe dans la main et le masturbe. Je sais comme il trouve ça bon de se faire sucer. Je lui caresse son pénis en érection et je l’enfonce dans ma bouche chaude. Je glisse ma main sous ses testicules pour lui chatouiller la zone entre l’anus et les bourses. Je serre mes lèvres pour qu’il sente bien l’effet de succion. Ma main le masturbe pendant que je le pompe. Son engin prend une taille dès plus surprenante.

A un moment, sa respiration accélère tellement qu’il me demande d’arrêter sinon il va partir. Je m’allonge près de lui et il s’occupe de ma poitrine, avec ses mains d’abord puis sa langue. Il se dirige en suite vers ma vulve et entre deux puis trois doigts dans mon intimité. Nos baisers sont profonds et j’entends le clapotement que crée le mouvement de ses doigts dans ma chapelle ardente toute mouillée. Il me pétrit les fesses alors que je continue de masturber son pénis. Je le chevauche alors et guide son sabre dans mon vagin. Au bout de dix minutes, je jouis comme une folle, il faut dire que je stimulais mon clitoris pendant son burinage. Je veux encore le sucer. Après avoir effleuré des lèvres son chibre, je pose mes lèvres sur ses testicules, et lui donne un baiser. Ses petits cris m’encouragent et du bout de la langue, j’effleure son gland. Puis je lèche toute sa hampe de long en large. De le sentir frétiller par mon traitement, je me fais extrêmement plaisir. Son phallus est tout luisant de salive, je m’attarde sur ses testicules. Je le gobe à présent et descends jusqu’à ses bourses. Je lâche alors son sexe et gobe une de ses boules et la relâche et, pour ne pas faire de jaloux, je m’occupe de l’autre. Enfin, je reprends ma stimulation buccale et je l’enfonce jusqu’à ma gorge. Je le vois se contracter, l’arrivée de son sperme est imminente. Il attrape ma tête pour arrêter mes allers et retours et envoie sa semence que j’avale aussitôt, du producteur au consommateur comme on dit. Il me souhaite un bon anniversaire et nous nous remercions mutuellement de cette superbe soirée.