Salut, moi c’est Patrick. A l’époque de cette histoire je venais d’avoir 18 ans et j’habitais toujours avec ma belle-mère âgée de 40 ans, Anne-Marie. J’ai une demi-sœur, Annie, de 19 ans, qu’Anne- Marie a eu avant d’épouser mon père qui est décédé depuis mes 11 ans.

Si vous avez lu l’épisode précédent, vous savez que j’ai fait la connaissance de Claude, une belle femme d’une quarantaine d’années qui vient de divorcer et qui adore les jeunots et à qui j’ai donné mon pucelage quand j’avais 15 ans . Elle a 2 filles, claire 19 ans qui vit avec son père et Stéphanie 23 ans, mariée. Comme elle est professeur, nous avions pris le prétexte de cours particulier pour nos parties de jambe en l’air auprès de nos proches, et depuis mes 18 ans, il m’arrive de dormir chez Claude.

Suite à ma première prestation sexuelle exceptionnelle à ses yeux de couguar, elle m’avait promis de me faire découvrir à ses copines accro de sexe. Cela fait 3 ans que ça dure.

Vous connaissez mon gabarit… 22 cm et la grosseur d’un poignet de jeune fille. Ma chose a fait fuir plus d’une fille. Il faut deux mains pour bien la branler. Elle est bien proportionnée ce qui fait que mon gland est de bonne taille; 4,5cm de long sur 5cm de large. Et pour ce qui est de l’endurance, la longue expérience acquise auprès de Claude ajoutée à mes capacités innées dépassant largement l’homme normal, (Claude dit que je dois avoir un léger Priapisme) font que j’arrive à tenir plusieurs heures sans débander un peu comme les acteurs porno.

Comme chaque semaine, je vais à mon cours (très) particulier.

Ne nous embarrassant plus de longs préambules, nous somme très vite en tenue d’Eve et d’Adam pour de nouveau forniquer. Claude s’approche de moi et commence à m’embrasser. Sous ses tendres baisers dans le cou, des frissons de bien-être me parcourent l’échine. Et quand sa main se pose sur ma cuisse, ma respiration s’accélère. Elle va de nouveau me branler !

La tête sur mon épaule, Claude dont le désir ne fait que croitre, remonte doucement sa main le long de ma cuisse, sachant pertinemment ce qu’elle va trouver. elle stoppe un moment sa sensuelle approche.

Percevoir cette grosse verge si proche attise son désir, lui procurant une bouffée de chaleur par tout le corps. Sentant celle-ci se raidir sous sa main, Claude  achève son exploration sexuelle. Brusquement, elle remonte ses doigts jusqu’à la saillie extrêmement dure qu’elle empoigne avec ivresse. Elle s’est s’emparée de la jeune bite érigée et éprouve un incroyable plaisir à branler son « bébé ». Le fait d’activer sa main le long de la queue bandée lui occasionne des sensations d’une rare sensualité.

– Humm, qu’est-ce que tu caches là ?… Ça me semble bien dur ! Tente elle de dire submergée par son intense désir.

– J’ai besoin de ton chibre ! Putain… J’ai besoin de ta belle bite…

Le jeune sexe la tente irrésistiblement. Or présentement, la vue du gland rose et gonflé la décide à  aspirer ce gros bonbon de chair entre ses lèvres pour le pomper jusqu’à l’éjaculation libératoire. Elle a trop envie de sentir la semence virile lui maculer la langue avant de lui emplir le gosier. Elle se tait car ses lèvres se sont enroulées autour de mon gland et gobe celui-ci goulûment.

Claude a les deux mains sur mon pieu et elle lâche mon gland brièvement pour dire :

– Oh Patrick, ta bite est si grosse! Ohhh!

Elle aspire délicatement l’extrémité de ma queue entre ses lèvres, qu’elle referme subtilement autour du nœud et  replonge sur ma bite qu’elle enfourne en entier dans sa bouche humide et chaude et me taille une sacrée pipe, ses mains sur mes fesses avec ma queue qui fait des va-et-vient au rythme de mes déhanchements,.

– Ooohhh la vache, je te baise la bouche, oui, c’est boooonnnn…

Je crie quand elle me fait une gorge profonde et que ma bite pénètre complètement dans sa bouche et sa gorge .Je suis complètement excité et me laisse faire. Elle aspire le gland que ses lèvres ont décalotté, au plus profond de son palais. Alors elle entame une lente succion, s’excitant à sentir la colonne de chair dressée coulisser à l’intérieur de sa bouche Elle ressort lentement ma bite, s’arrête sur le gland qu’elle aspire en comprimant ses lèvres autour, sa langue toujours en mouvement. Prenant en main ma queue, elle la promène à l’intérieur de sa bouche, lèche de bas en haut et attrape mes couilles au passage. Elle replonge sur mon manche en gardant sa main serrée au ras des couilles et me branle à une vitesse folle !

A mesure que la sensuelle fellation se prolonge, je sens mon plaisir insensiblement augmenter au niveau de ma verge et de mes couilles.

– Oh ouiiii!, tu me fais une pipe incroyable…t’es la championne des suceuse, tu vas me faire éjaculer, attention !

Je sens mon sperme quitter mes couilles et se précipiter dans ma teub  qui  gonfle encore plus, mais Claude est comme folle, elle enfonce ma bite le plus loin possible.

Je me lâche et je décharge avec une force incroyable !

Lorsque Patrick, sous la sensuelle caresse qu’elle lui prodigue lâche son sperme, dans une fulgurante jouissance, elle ressent un mini orgasme. La vision de ce jeune sperme encore limpide jaillissant tel un geyser du méat dilaté lui  procure un tel plaisir, qu’elle en a l’entrejambe trempé.

Mon sperme jaillit comme un geyser de lave mais Claude a  un appétit de sperme sans pareil. Je suis toujours ébahie de la façon dont elle avale chaque giclée de ma semence qu’elle conserve dans sa bouche jusqu’à la dernière goutte faisant attention  de ne rien perdre !

Enfin, elle décide de lâcher ma verge toujours turgescente, convaincue qu’il n’y a plus rien à en tirer. En gémissant, je tombe en arrière sur le canapé, affalé sur le dos, ma bite toujours tendue pointant vers le plafond.

 

Claude s’écrie :

– Mon Dieu, Patrick, ton sperme est un divin nectar pour moi, je n’en ai jamais dégusté de si bon ! Et miracle ! Comme d’habitude, Ta bite est toujours dure comme de l’acier ! Tu m’excites tellement que je ne peux pas résister, prend moi encore, Patrick !

Elle est entre mes jambes, sa main droite me caresse une cuisse avant de reprendre ma bite .

Elle me chevauche avant de coller ma queue dans son ouverture.

– Oh doux Jésus, t’est tellement grrrooos… ! crie-t-elle en guidant d’une main experte ma grosse bite qui trouve facilement son chemin dans sa chatte chaude et humide et de s’empaler dessus de plus de 15cm  .

Son corps frémit au-dessus de moi avant qu’elle se soulève de quelques centimètres et qu’elle s’empale sur la totalité de ma hampe en criant :

– Oh mon Dieu, j’aime ta bite de cheval, Patrick ! Tu m’écartèles… AAAAhhhh…. putain ! C’est pas possible! OOOOh…Waouh, quelle baise… Ouuiii… ne bouge plus, Patrick ! Laisse-moi prendre la mesure de cette queue monstrueuse.

. Après une  minute, elle soupire, disant :

– Ouf, ça y est, ma chatte a pris la dimension de ton énorme bite ! Son cul entame des mouvements d’avant en arrière et quand elle recule, ma queue ressort un peu du fond de son sexe et frotte sur son clito. Elle gémit :

– Oh mon Dieu, ta bite est si épaisse et si grande! Elle s’agite dans tous les sens pour s’assurer qu’elle a bien avalé la totalité de mon sexe dans sa somptueuse chatte!

– Oooooooohh… je sens que tu vas encore me faire planer. Aaaaahhhhh… Tu es si gros que je te sens partout, je suis toute distendue ! J’aime cette sensation…Vas-y, Patrick. fais moi hurler !    Et la voilà qu’elle s’affole sur ma bite, son beau postérieur accélère ses aller et venu . Étant donné que j’ai déjà jouis quelques minutes avant, je suis parti pour tenir 30 minutes, c’est elle qui  cèdera la 1ère, je n’ai pas à attendre si longtemps car son corps se raidit, tremble et ses gémissements montent  crescendo.

– Oooohhhh, je suiiiiiiiis…….je…..jouiiiiiiis ! Je jouis…ouiiiiii continue ,…. haaaaa…. c’est boooonnnn ! Encoooore Patrick, ne t’arrête pas….AAAhhhh, je n’arrête plus de jouir, je vais m’évanouir…. arrête… Noooonn… continue !

Sa chatte enserre ma bite. Ses spasmes se calment doucement, elle se laisse tomber sur ma poitrine en m’embrassant partout.

Ayant un peu récupérée, elle s’écrie:

– Patrick, maintenant tu vas me baiser,  me prendre que pour ton plaisir. Je ne te lâche pas avant de sentir ton sirop épais dans ma chatte en feu. Vas-y, éteint l’incendie !

On roule sur le canapé et maintenant c’est moi qui ai le dessus et qui commence à besogner sa chatte qui déborde de cyprine. Elle n’arrête pas de hurler des cochonneries pendant que je la baise avec force et je peux dire que jamais une femme n’a pris ma grosse queue avec autant de puissance.

– Vas- y Patrick, défonce-moi à fond, perfore mon ventre…. AAAaahhhh…. ouiiiii !

Sa chatte compresse avec force mon pieu bandé à mort, des orgasmes à répétition la secouent ,  la pression de ses cuisses autour de ma taille varie en force suivant l’intensité de ses spasmes, au bout d’une quinzaine de minutes je sens ma deuxième jouissance arriver..

– Oh mon Dieu, Patrick, je te sens de plus en plus à l’intérieur de moi ! Tu frappes le col de mon utérus ! Jouis  MAINTENANT !… Oooohhhh…  Envoie la purée…

Elle ne fait plus que jouir, je ne compte plus ses orgasmes.

Je crie quand ma bite gonfle dans sa chatte et que mon sperme gicle de ma queue turgescente. Six jets puissants inondent le fond de sa chatte mais ça ne la calme même pas. Quand j’essaie de me retirer de son vagin brûlant, elle resserre ses jambes et empêche  ma queue de sortir de son trou d’amour.

Déclenchant de  nouvelles giclées de sperme qui viennent se rajouter aux précédentes.

Je me laisse tomber sur elle, ses jambes relâchent enfin mon corps et doucement nous redescendons sur terre et reprenons notre souffle.

Après un moment de bonheur mutuel elle me dit :

– Oh Patrick, tu as été merveilleux ! Je n’ai jamais ressenti avec d’autres hommes de jouissance pareille. Je ne sais même pas combien d’orgasmes tu m’as procurés, mon corps est épuisé mais, au combien comblé par une bite comme la tienne ! Ah la vache ! Elle est belle et tu sais t’en servir !

Nous prenons une douche ensemble et elle ne peut pas s’empêcher de me reprendre en bouche et me fait un fellation prodigieuse.

–  Patrick ,Tu es un magnifique étalon et tu baises comme un dieu. Et quelle puissance, quelle endurance ! Ta bite est incroyable, les jeunes filles doivent prendre peur d’un chibre pareil d’une telle  grosseur! Elle ne relâche ma bite qu’après m’avoir fait rendre une dernière fois les honneurs avec sa bouche de feu.