Bon, je crois que c’est mon tour de vous raconter ce que mon mari m’a fait sur le trajet du retour. Je ne suis pas très à l’aise de vous écrire cette confession, aussi je vous demanderai d’être indulgent.

Je vais d’abord me présenter : je m’appelle Sandra et j’ai 44 ans. Je suis blonde au style bourgeois et j’ai des gros seins qui plaisent aux hommes en général. Voilà pour le tour du propriétaire.

Mon mari vous a raconté comment s’est passé notre trajet aller et la branlette que je lui ai faite en voiture. Il est fou de branlette et ne peut s’empêcher de se dégorger le poireau quel que soit l’endroit où il se trouve. Le pire dans tout ça, c’est qu’il m’a transmis sa passion de la masturbation. Je me masturbe maintenant moi aussi très souvent et même au bureau, il m’arrive de me caresser la chatte sur ma chaise et me glisser des doigts dans le vagin pour me faire jouir.

Mais revenons à notre trajet retour. Pendant plus d’une centaine de kilomètres, mon mari a fait mine de ne pas me calculer et j’étais furieuse. Il préparait son coup le lascar. Il a soulevé ma petite jupe sous laquelle je n’avais pas mis de culotte pour laisser le champ libre. Je m’étais aussi rasé la chatte de près pour l’occasion. Ses doigts me faisaient des décharges électriques en caressant mon pubis. J’ai écarté en grand mes cuisses pour qu’il accède à mes lèvres. J’étais trempée de mouille. Il a passé ses doigts dans ma fente et a dégagé le capuchon de mon clitoris pour le faire durcir. Son doigt le titillait avec habileté et je mouillais comme une folle. Il a senti la mouille couler sur le siège et a mis un premier doigt dans ma chatte. Nous avons joué au même jeu qu’à l’aller et il se mettait à la hauteur des chauffeurs routiers afin qu’il me regarde me faire doigter la chatte. J’ai mis mes jambes sur le tableau de bord et j’ai ouvert ma chatte en grand. Ses doigts me fouillaient et me rendaient folle. Mais la position de la voiture était inconfortable. Aussi, nous nous sommes arrêtés sur une aire de repos et nous sommes mis à l’écart. J’ai reculé le siège, à peine étions-nous garés, que mon mari a plongé sa tête entre mes cuisses pour me faire un cunnilingus. Je l’ai repoussé, car je voulais une branlette de la minette et pas un bouffe minou. Il a mis une main derrière ma nuque et l’autre, il l’a enfoncée dans ma chatte. Ses doigts parvenaient presque au fond de mon vagin et je me sentais remplie avec sa grosse main qui me travaillait l’utérus. La mouille coulait à flot et trempait le siège passage alors mon mari a accéléré le mouvement et m’a branlée comme une chienne que je suis. Je me suis cramponnée à son genou et j’ai eu un orgasme extraordinaire qui m’a séchée pendant de longues minutes. Mon mari n’avait pas bougé pour me laisser apprécier cet orgasme puissant et n’a retiré sa main qu’au bout de dix minutes.

Il n’a pas essuyé sa main pour renifler l’odeur de ma chatte durant le reste du trajet et s’est même léché les doigts. Je suis restée abasourdie pendant un bon moment avant de poser ma main sur la bite gonflée de mon mari et de le caresser le temps d’arriver à la maison et de lui offrir une bonne branlette comme il les aime afin de le remercier de cette branlette sur l’autoroute, vue par des chauffeurs routiers.