J’avais rendez-vous au cinéma avec un collègue de bureau avec qui j’ai une aventure. Il est marié et moi divorcée. Je suis restée très cochonne et mon envie de sexe va en grandissant. Mais voilà, ce soir-là, il n’a pas pu venir à cause de sa femme. Tel est le problème de coucher avec des hommes mariés.

Comme j’étais sur place, je suis tout de même allée voir le film que j’ai trouvé très ennuyeux. Je suis un peu venue pour me faire sauter et pas trop pour regarder le film aussi, j’ai soulevé ma robe et je me suis caressé la chatte à travers le tissu de ma culotte noire. J’ai réussi à jouir sans attirer l’attention des autres spectateurs. En tout cas, c’est ce que je croyais. À la fin du film, je suis restée à attendre que les autres se lèvent pour partir tranquille et au moment de me lever, un homme est venu s’asseoir à côté de moi et m’a dit qu’il avait tout vu de mes séances de masturbation féminines. Il m’a proposé de rester à la deuxième séance et de participer. Il m’a assuré qu’il n’y aurait personne dans la salle, tout du moins très peu. J’avais très envie de me faire sauter ce soir et de plus, l’homme était plus que charmant. Il s’appelait Patrick, avait la quarantaine bien passée et était en forme. J’ai donc attendu.

Le film a recommencé et effectivement, nous étions presque seuls dans la salle. Patrick a posé sa main sur ma cuisse et m’a caressé la jambe pendant un moment avant que je ne me décide à poser ma main sur son paquet. Il portait un jogging et il y avait une sacrée bosse. J’ai tâté son paquet et j’ai senti une bonne grosse queue bien dure. Il m’a passé les doigts sous la culotte et a touché ma chatte trempée de mouille. Il a senti ses doigts et sa queue a doublé de volume. Il a un peu baissé son pantalon et a sorti son sexe dont le gland lui arrivait au nombril. Une belle queue et de grosses couilles ! Patrick me travaillait la chatte d’une main et de l’autre m’a dirigée vers son sexe tendu. J’ai ouvert la bouche et voilà que je faisais une pipe goulue à un inconnu dans un cinéma de quartier. Ah bravo ! Sa queue ne rentrait pas dans ma bouche et je l’imaginais déjà dans ma chatte. Il est resté assis et je me suis relevée discrètement pour venir m’empaler sur sa bite dure. J’ai écarté ma culotte noire imbibée de mouille et j’ai senti son gland chercher l’entrée de mon vagin. Une fois dedans, sa queue a glissé de tout son long et j’ai échappé de petits cris qui n’ont pas alerté les autres spectateurs fort heureusement. Il m’a dit de me tenir aux accoudoirs et de ne pas bouger. Il m’a défoncé la chatte comme un malade en se soulevant et me perforant le vagin de sa grosse bite gonflée à bloc. Il me tenait les fesses et je me sentais très salope alors une vague de chaleur s’est emparée de mon bas ventre et j’ai joui comme une folle. Lui n’avait pas joui et a continué à marteler ma chatte jusqu’à expulser une bonne grosse quantité de foutre dans mon vagin. Il m’a fait asseoir immédiatement en me disant de garder le sperme en lui et de regarder sa culotte ce soir chez moi. Il est parti en me laissant sa carte, que je n’ai pas prise. L’inconnu est jouissif, si c’est prévu, c’est moins bon.

Une fois à la maison, j’ai ôté ma culotte et une grosse glaire de foutre et de mouille est venue se coller sur le gousset en coton. J’ai remis la culotte et je me suis endormie. Le lendemain, j’ai donné une enveloppe au collègue qui n’est pas venu la veille en lui disant de sentir ma culotte pour voir ce qu’il avait manqué. Je ne vous raconte pas sa tête lorsqu’il a vu le sperme de Patrick dans ma culotte en coton ! Je suis une grosse salope qui s’est fait niquer au ciné par un inconnu.