Nous nous sommes rencontrés au cours d’une réunions de parents d’élèves. Il m’a fait des avances timides. Moi, je sortais d’une aventure fâcheuse, je n’avais surtout pas envie de recommencer encore. Je me suffisais sur le plan sexuel : ma main est agile.

Nous nous  sommes revus quelques jours après à la porte du collège. Cette fois il m’a invité à prendre un verre.

Au bistro où je dégustais un café serré, il me prenait la main pour ne plus me lâcher. Je le trouvais un peu barbant. Je ne savais comment m’en débarrasser.  Il m’invitait à déjeuner avec lui dans un restaurant coté. S’il me prenait par les sentiments !

Après le déjeuner, je suis aller imprudemment chez lui. Une visite rapide de son appartement et nous sommes assis sur un divan trop moufle. Il m’entretient d’une foule de chose dont je me fous totalement. Je regarde surtout sa braguette en espérant la voir gonfler. Mon désir était sa queue grosse en moi. Il ne semblait pas en avoir connaissance, alors sans pudeur c’est moi qui ai posé ma main sur sa bite. Il a vite réagit en mettant  une main sous ma robe. Il montait vers la fourche.

L’écartement de mes cuisses lui donnait accès là où je voulais qu’il aboutisse.

Les hommes pensent souvent que nous obéissons à leur désir, alors que je lui prouvais le contraire.

Il était enfin sur ma chatte. Je sortais sa bite sans soucis. Nous avons commencé à nous masturber en cadence. J’arrêtais souvent ne voulant pas le faire jouir dans ma main. Lui continuait ses caresses très agréables. Il suivait ma fente de haut en bas, venait taquiner le bouton avec succès en me donnant encore plus envie d’une bite.

Quand il me doigtait le sexe, je le laissais faire pour prendre un peu plus de plaisir, pendant que ma main entourant sa bite droite faisait des va et viens le long de la colonne. Il me faisait lever pour enlever ma culotte que je lui abandonnais. Il passait sa tête sous ma jupe, pour venir téter mon sexe.

Il l’ignorait encore, mais j’aime me faire lécher la chatte et juste à coté. Il l’a deviné quand je bougeais un peu. Enfin sa langue venait sur l’anus. Que c’est bon un langue qui perfore le cul, qui entre un peu pour donner du plaisir. Lui ajoutait ses doigts sur mon con.

J’étais un peu penchée en arrière. Je voyais sa bite seule sortie pas mal de son slip. Elle qui semblait se moquer de moi. J’ai eu envie qu’il me la mette. Je me suis dégagée, me suis tournée vers lui pour m’asseoir jambes écartées sur ses cuisses, mes fesses contre la queue. En deux coup de reins je me suis trouvé sodomisée.

Quel plaisir quand il entrait dans mon ventre, que sa pine perforait mon cul. Je pouvais me livrer à mon exercice préféré : la masturbation.

J’étais bien ainsi avec sa bite dans le cul et mes doigts sur le clitoris. Quand j’ai joui je ne sais si c’était grâce à mon clitoris ou mon cul. Je sentais les spasmes de mon cul lui comprimer la bite qui me donnait son contenu. Mon cul était plein de sperme gluant.

J’en voulais encore. Je lui donnais mes fesses à lécher, il comprenant bien que je voulais plus. Il a bien voulu passer sa langue sur mon cul, chose que j’attendais depuis un moment. Il a du sucer son sperme, lécher mes sécrétions avant de bander à nouveau. J’ai change de position pour me mettre en 69, prête pour le prendre dans ma bouche. J’avais ainsi bien le goût de son sperme en moi. Avec un arrière goût de mon cul; mais qu’importait le goût de mon cul comparé à son goût à lui, son sperme épais et gluant.

Pour lui je me transformais en pute, en garce, mais en fille sensuelle. Et il aimais ça. Comme j’aimais sa bite quand il me la mettait, n’importe où, dans la bouche, le con ou le cul.

Un jour il m’a demandé de baiser avec un autre devant lui et avec lui. Il voulait m’enculer pendant que je me faisais baiser.

C’est comme ça que je me suis trouvé sur lui qui avait sa bite en moi d’un coté et un autre que je n’ai jamais revu qui me mettais une autre bite derrière. Je sentais des poils sur mes fesses, devant sur le pubis. Et quand je me suis trouvée et baisée et enculée, j’ai joui comme rarement, même en ma branlant le bouton et avec le gode dans le cul.

Je voudrais que lui aussi se fasse sodomiser devant moi. Il refuse toujours de me faire plaisir.

Je voudrais recommencer encore à trois, mais il ne veut pas, jaloux !