Mon patron vient de m’apprendre que je pars avec lui sur une île pour faire du repérage de nouveaux terrains à bâtir pour de riches clients. Il n’a pas fini sa phrase que je me vois déjà sous les cocotiers. Il clôture son discours en expliquant qu’il faudra y rester un mois pour la prospection. Je lui explique que si, en contrepartie, j’ai un dédommagement financier, je serai ok. Il me dit que cela va de soit et j’explose de joie intérieurement. Le voyage est prévu dans une semaine. Je me renseigne sur les hôtels, les vaccins obligatoires, s’il faut un traducteur, les diverses réservations (voitures, pc, etc.). Nous, voici dans les starkings blocs.

Les valises sont prêtes, j’ai nos billets d’avions et nous arrivons à l’aéroport. Le taxi nous dépose et nous enregistrons nos bagages. Après 10 heures de vol, nous atterrissons et la température extérieure est à 30°C. Nous reprenons notre voiture de location et nous dirigeons vers l’hôtel. Nous avons pris en pension complète et quand nous serons sur le terrain, il est prévu de nous servir un panier repas. Les trois premiers jours sont rudes : décalage horaire, la chaleur, les routes pitoyables ont eu raison de nos dos. En revanche, la recherche fut bonne et nous avons trouvé une dizaine de terrains face à la mer qui pourraient convenir pour ce que nous voulons en faire. Ce soir, je mange avec mon patron qui me dit qu’il a une bonne nouvelle. Les photos des terrains que j’ai prises et envoyées par mail à nos différents acheteurs, ont séduit et le plus gros financier en prend quatre et trois plus modestes en prennent un chacun. 7 de vendus sur 10 alors que pour que notre voyage soit rentable, il en suffisait de deux. Il m’annonce que nous arrêtons de rechercher et nous profitons du reste du séjour pour nous détendre.

Il faut simplement les acheter demain à la première heure. Nous buvons pour fêter ça et l’alcool par cette chaleur me monte à la tête. Je suis gaie et mon patron me demande si je veux aller revoir un terrain avant la nuit pour lui-même. J’accepte et nous partons voir son terrain. C’est au bord de la mer, il y fait bon car il y a du vent, je m’installe sur un cocotier qui a poussé de travers et sert de banc. Mon patron me regarde bizarrement e me dit : « Je veux faire construire ici notre maison ! » Je reste sur les fesses et je lui demande si j’ai bien compris. Il réitère et s’approche de moi. Puis, je l’embrasse follement. Ses mains m’enlacent avant de devenir plus pressante sur ma poitrine. Je retire mon haut et me voici seins nus devant lui. Il s’assoit et je mets dos à lui. Pendant que nous nous embrassons, je frotte mes fesses contre son sexe et lui me titille les tétons. Ses mains sont douces et je suis très excitée. Il continue à me pétrir les seins, joue avec les mamelons, tire sur mes pointes et les tourne entre ses doigts.

Je me retourne pour lui faire face et masse ses trois pièces à travers son pantalon. Son dard devient très dur et je lui retire ses vêtements. Il me tète la poitrine et je le masturbe d’une main pendant que l’autre lui caresse les testicules. Il glisse une main sous ma jupe et adroitement, écarte mon tanga pour jouer avec mon capuchon clitoridien. Il est limite de me faire jouir alors je m’agenouille et commence à le lécher. D’abord le frein, puis quelques de mouvements de succion alternés avec des coups de langues sur les bourses pour enfin me consacrer qu’à une bonne fellation. Je le mate prendre du plaisir et cela m’encourage à le pomper d’avantage jusqu’à le prendre en gorge profonde. Je lui lèche à nouveau les boules et les prends dans ma bouche l’une après l’autre. Je fais frotter son gland contre l’intérieur de mes joues et de temps à autre, je caresse mes tétons avec son sabre. Nous nous embrassons à nouveau et il descend mon tanga. Dos à lui, il entre son sexe turgescent dans ma chapelle ardente.  Seul son dos est contre l’arbre de manière à avoir son bassin de libre pour me limer au plus profond, de plus, je fais aussi des mouvements pour bien m’empaler dessus jusqu’au pubis. J’écarte mes fesses avec mes mains. Il me saisit alors par les hanches et s’introduit dans mon petit trou. Je sens son chibre passer. Il me fait jouir en 10 minutes à peine. Enfin, c’est à son tour de venir, il éclabousse mes fesses de son sperme tiède. Je vais me nettoyer dans la mer et nous repartons vers notre hôtel. J’espère qu’il a aimé autant que moi !