J’ai rendez-vous avec un amour de jeunesse. Nous nous sommes quittés par la force des choses, elle partait vivre avec ses parents à Nice et moi, je restais dans le Nord. C’était ma première histoire d’amour et je ne puis l’oublier. Il y a deux jours, j’étais sur internet quand elle demanda à faire partie de mes amis. Je lui ai dit oui mais au lieu de sa photo, elle avait un dessin et je ne pus savoir si son visage avait changé. Elle était à l’époque un peu en chair, avec des yeux bleus verts, les cheveux de couleur brune, une petite poitrine d’adolescente, et un visage rond. J’ai hâte de la rencontrer, elle n’a pas d’enfant, est célibataire et le plus important, ne m’a pas oublié ! Je suis à l’heure au café de nos rencontres amoureuses d’antan. Elle connait mon visage actuel. Je commande un coca et j’attends son arrivée. Une bombe vient d’entrer. Quel dommage que je sois pris sinon j’aurai tenté ma chance. Elle s’installe au bar et regarde autour d’elle avant de se regarder dans le miroir qu’elle a sorti de son sac à main.

Le ravalement étant fait, elle regarde de nouveau dans ma direction et vient vers moi. « Tu ne serais pas Pascal ? » dit elle. « Si ! Tu es Aude ? » balbutiais- je. Elle me répondit par l’affirmative et vient se joindre à ma table. Nous discutons et je n’en reviens pas. Plus de kilo en trop, une poitrine joviale et elle est devenue blonde, en revanche, la voix est restée la même. Je suis sous le charme et je le lui dis. Elle me complimente aussi sur ce que je suis devenu. Je lui propose d’aller faire notre tour habituel que nous avons fait pour la dernière fois, il y a 17 ans. Elle accepte et nous partons à pied. Je lui montre les changements dans le village et elle me demande des nouvelles de certaines connaissances communes. Nous arrivons à l’ancien lavoir à côté de la rivière où nous nous sommes embrassés la première fois. Je lui évoque et elle me dit qu’elle n’a jamais oublié non plus puis elle s’approche de moi, me prend par la taille afin de me mettre en face d’elle et m’embrasse langoureusement. Je suis surpris et ravi en même temps. J’aimerai dire quelque chose mais les mots restent coincés dans ma gorge et rien ne sort. Elle veut savoir si des gens viennent encore ici et je lui réponds que non, c’est complètement délaissé par les jeunes comme par les autres. Elle me répond que ça tombe bien. Je la regarde et elle me fixe dans les yeux. Bientôt je sens sa main défaire ma ceinture de pantalon qu’elle baisse ainsi que mon caleçon. « Je t’avais dit que l’on ferait l’amour ensemble un jour » me jette t’elle avant de s’agenouiller et de me masturber avec vigueur. Puis, elle me suça, me pompa, tout en me caressant les testicules. Je poussai de petits cris de bien-être car elle se débrouillait très bien.

Je la relève et la déshabille en commençant par le haut. Elle a une poitrine superbe, bien dessinée et plus que bien proportionnée : 90 D. Ses obus sont très réactifs à mes caresses et à ma succion. Je lui mangerai pendant des heures tant je prends mon pied. Ses tétons pointent un maximum, je décide de lever sa jupe et de mettre ma main en action. Elle a un tanga que j’explore de mes doigts. Je joue avec son clito et lui glisse par moment deux doigts dans son sexe cyclopéen. Elle mouille beaucoup. Je l’allonge sur le banc, lui retire son parachute et goute à sa cyprine. Après un bon quart d’heure alors qu’elle me supplie de la pénétrer, je lui glisse un doigt dans l’anus. Sa tête marque la surprise puis je m’enfonce jusqu’aux testicules dans son vagin. Elle gémit et me rassure en me disant que je suis bien membré. J’alterne les mouvements lents et profonds avec ceux rapides et courts. Elle est limite de jouir quand je me retire et applique mon gland contre son anus. « Je peux ? » demandai-je. « Fais ce que tu veux ! » répondit-elle. Je m’introduis doucement en elle, c’était bien serré. Elle cria de plaisir après quelques moments et finit par jouir. Je lui envoyai mon sperme par saccade dans son petit orifice pour lui refroidir ses muqueuses. Elle m’enleva de son rectum et me suça pour ne pas en perdre une goutte.

« Je pensais que tu serais le premier à me retirer mon hymen mais du coup, tu m’as dépuceler de derrière, c’est ma première sodomie ! » lança t’elle plein d’en train. Nous nous rhabillions et repartons chez moi où j’espère bien remettre le couvert…