Je vais vous raconter mon rêve érotique de cette nuit qui traduit certainement un de mes fantasmes. Voici ma situation actuelle, je suis un homme célibataire depuis peu avec des envies sexuelles, qui malgré le chamboulement intellectuel, restent à satisfaire. J’habite un appartement dans la banlieue parisienne. J’aspire à trouver une femme dominatrice qui fasse mon éducation sexuelle car mon ex n’a jamais voulu essayer de prendre les rennes de nos ébats. J’ai un manque à ce niveau et j’espère par internet trouver mon bonheur. Après quelques conseils pêchés sur le web, je tente des discussions sur différents forums et soit les femmes sont vraiment dominantes et ne veulent faire que du sado-maso, soit elles me jettent sans me dire pourquoi ! A force de dialoguer sur ces sites, je suis tombé sur une femme qui pourrait enfin correspondre. Cela fait tout de mêmes quatre semaines que nous tchatons et je connais autant ses aspirations qu’elle connaît les miennes. Pour ne pas être déçus au dernier moment, nous nous envoyons nos photos respectives.

Un soir, je reçois un appel téléphonique. Je décroche et j’entends une voix magnifique au téléphone d’une femme, qui sans se présenter, me demande si je suis seul et si je peux parler librement. Je lui réponds par l’affirmative et elle décline son identité. C’est la fille du net à qui j’avais passé mon numéro mais qui jusqu’à là, ne m’appelait pas. Elle me dit de me déshabiller et de mettre les menottes. Je m’exécute et me retrouve à poil dans mon salon et menotté. Ça frappe à ma porte, que faire, et si c’était elle mais si c’est quelqu’un d’autre, comment faire ? Je vais jusqu’à la porte et demande qui est-ce ? « Je suis ta maîtresse, ouvre moi » me répond la même voix qu’au téléphone, il y a cinq minutes.  Puis elle me dit de me taire, j’accepte son jeu. Elle me demande si je suis content de la voir, je fais signe que oui et elle me bande les yeux en disant que j’en avais assez vu. Mon cœur bats la chamade. Elle me précisa que je pouvais avoir confiance en elle et qu’elle ne me fera pas faire des choses contre mon gré.

Elle joue avec mon sexe, le prend dans ses mains et m’attrape les testicules qu’elle serre doucement et qu’elle soupèse. « C’est plein tout ça ! » dit-elle en rigolant. « Tu n’as pas menti, tu es bien membré, je te mesure : 22 cm en érection ! Idéal pour que je prenne mon pied ! » Elle me place alors allongé sur le canapé, me chevauche et met sa poitrine sur mes lèvres. Je comprends sans qu’elle ne dise mot qu’il faut que je lui mange les seins. Je m’y affaire quand elle se retire et dit qu’il ne faut pas que je fasse quelque chose sans qu’elle m’en donne l’ordre. Elle revient et là me dit de lui lécher les tétons. Elle a une poitrine d’un fort gabarit et a un goût délicieux. « Ça suffit à présent, tu te vantais sur le net de pouvoir me faire jouir rien qu’en me mangeant la vulve alors action ! » Elle positionne alors sa chapelle ardente au-dessus de mon visage et je commence à lui titiller son clitoris. Son sexe est entièrement épilé, ce que j’adore. Je veux prendre mes mains pour lui écarter les lèvres et lui faire une langue profonde mais elle me dit que je n’ai pas besoin de mes mains. Je rentre donc ma langue entre ses deux paires de lèvres et glisse à l’entrée de son vagin. « N’oublie pas mon petit trou ! » crie t’elle. Je lui astique l’anus et l’entend prendre son pied. « Tu te débrouilles pas trop mal, passons à la suite ! ». Elle me masturbe fortement ce qui me fait un peu mal au départ puis me crée un réel plaisir. Une fois mon érection à son goût, elle s’empale sur moi en amazone. Sa moiteur et son coup de rein sont parfaits. C’est bon sur toute la ligne. Elle piaille et je ne peux qu’en redemander. Elle arrête tout au moment où j’allais jouir. « Debout ! » Elle se place à quatre pattes et me dire de venir derrière elle. Elle saisit mon phallus et se le colle dans son orifice bien serré. Elle crie de plaisir et me dit de la sodomiser avec vigueur. Je pose mes mains sur ses fesses et y vais bon train.

Elle jouit en saccade, se retourne et me pompe jusqu’à ce que je jouisse à mon tour. Elle détache mes mains, enlève mon bandeau et m’embrasse. « Je pense qu’on va s’entendre, je pars, à plus tard ! » Ah ! Si ce rêve pouvait devenir réalité !