Nous sommes au camping. Notre tente pliante est arrimée, c’est une pour 4 personnes. Le couchage y est bon mais les murs ont des oreilles ce qui est gênant quand on adore faire l’amour. A peine sommes nous installés que ma femme me plaque contre le lit. Elle baisse mon pantalon et commence à me faire une fellation. Ma blonde me suce prodigieusement alors que la fatigue se fait ressentir, elle s’occupe de moi tellement bien que j’en oublie cette fatigue. Elle me masturbe de sa main et me caresse l’anus et les testicules de l’autre. Elle enfonce mon sexe jusqu’à sa gorge et me fait comprendre qu’elle veut mon jus. La sentence ne se fait pas attendre et je lui envoie tout ce que j’ai dans la bouche qu’elle avale ardemment. Après ce traitement, je m’endors tel un bébé.

Je sens quelque chose qui me secoue, c’est ma petite femme qui me propose l’apéro et me dit que le repas est prêt. J’ai dormi presque deux heures et ma douce a eu le temps de faire les courses, de tout ranger, la bouffe et je n’ai rien entendu. Les tentes sont sagement rangées côte à côte dans ce camping bondé. Ma femme me dit que ce soir, elle veut que je lui fasse son affaire. Je prétexte la proximité des voisins pour ne rien faire car à vrai dire, je suis encore fatigué. Le diner se passe, nous allons sur le port manger une glace pour moi et une crêpe pour ma moitié et nous rentrons au camping. J’arrive à lui faire entendre raison et nous nous couchons pour dormir. A deux heures du mat, nous sommes réveillés par les voix des voisines. Vous pensez avec deux minces couches de tissus qui nous séparent d’elles. Elles sont en train de se butiner mutuellement car leurs gémissements ne trompent pas.

Ma femme étant réveillée aussi me demande si je n’ai toujours pas envie. Je réponds que si car je vais avoir l’impression de faire l’amour à trois femmes en même temps, ça, par contre, je ne lui dis pas. Elle m’offre sa poitrine à manger et je m’en occupe sans me faire prier. J’adore ses seins moyennement gros qui tiennent tous seuls. Nous essayons de ne pas faire trop de bruit. Je descends assez rapidement sur sa vulve toute rasée. Je joue avec ses lèvres et son clitoris. Elle adore ça et commence à gémir au bout de 10 minutes. J’entreprends alors de lui lécher l’anus et en profite pour lui introduire un doigt dans son petit trou. Elle réclame déjà que je la pénètre. Il n’en est pas question, je veux qu’elle me mette en condition avant. Elle prend alors le pot de Nutella et me badigeonne le pénis avec. « J’ai envie de chocolat et j’ai envie de toi en même temps, voilà un joli compromis ! » me lance t’elle. Elle dépose une bonne couche de cette pâte chocolatée et m’entreprend. Ses petits coups de langue sur mes bourses et sur tout ma hampe me donne une bonne érection. Ayant l’amour du travail bien fait, ma blonde s’acharne à retirer tout le chocolat qui reste incruster sur mon frein puis m’aspire de plus en plus vite jusqu’à se que je l’arrête de peur de partir aussitôt.

Les homosexuelles d’à côté continuent aussi leur chemin vers le septième ciel, je crois qu’elles nous ont captés mais s’en foutent ou voir sont excitées de nous entendre. Ma femme se caresse la chapelle ardente et me dit que trempée comme elle est, je vais rentrer sans problème. Effectivement, je glisse jusqu’au fond de son vagin sans sentir aucune résistance. Sa moiteur torride contraste avec le froid créé par le vent sur mon sabre mouillé de salive. Ma femme qui est à quatre pattes, se masturbe le clito en passant par l’intérieur de ses cuisses. Vu qu’elle est penchée fortement en avant, j’en profite pour aller vraiment au plus profond d’elle. Ses gémissements se mêlant à ceux de nos voisines me font une sensation bizarre et fortement agréable à la fois. Seuls leurs petits cris crèvent le silence du camping. Je n’en peux plus physiquement et je demande à ma femme de prendre le relais. Je m’installe alors sur le dos et ma femme avec un large sourire, prend mon chibre et s’empale par le petit trou sur mon pénis. Je sens le côté serré de son anus et aime qu’elle l’ait fait sans que je lui demande. Après bien 20 minutes de sodomie, ma femme jouit ainsi qu’une des voisines. Je résiste car je représente les hommes et mon côté macho m’empêche de jouir avant la troisième. Dès que je l’entends jouir, je ne tarde pas à envoyer mon sperme dans la cavité anale de ma femme. Décidément les vacances commencent bien !