J’ai donc recontacté ma mystérieuse femme mature avec laquelle j’avais eu un début de relation dans son compartiment privé. Elle m’avait laissé son tél. pour que je la contacte au cas où je devais refaire le trajet en sens inverse. Je me suis laissé aller à la rappeler en lui disant que samedi je reprenais le train.

Elle m’a donné rendez-vous dans son compartiment et dès mon arrivée, elle s’est jetée sur moi et m’a mis la main au paquet. Je me suis dégagé et je me suis assis sur la banquette, car je voulais me rattraper de la fois dernière où j’ai été maladroit et plutôt timide. J’avais décidé de jouer les mâles dominateurs. Je lui ai ordonné de s’asseoir en face de moi, d’écarter les cuisses et de me montrer sa chatte. Elle s’est exécutée et la voici en face de moi en train de se caresser sa petite chatte toute lisse pour l’occasion. Je lui ai dit de se mettre un doigt dans la chatte et de le lécher pour goûter à son jus intime. Au lieu de ça, elle s’est fistée la chatte et a joui. Je me suis approché de sa banquette et me suis mis à genoux pour lui lécher la minette. Sa chatte était trempée de mouille et je me suis régalé de la nettoyer avec ma langue. Le gout de son sexe est particulièrement sucré et je me délecte de passer ma langue dans tous les recoins de son intimité. J’ai moi aussi mis mes doigts dans sa chatte et cette fois, je me suis aventuré dans son petit trou. Ma langue a appuyé sur sa rondelle et est rentrée comme dans du beurre. J’ai profité du fait qu’elle ne disait rien pour y mettre un doigt dans le cul. Elle avait l’air d’aimer ça la salope. Du coup, j’ai sorti ma queue pour qu’elle me fasse une bonne pipe baveuse et qu’elle me rende encore plus dur que ce que je ne l’étais déjà. Elle m’a bouffé les couilles en même temps et semblait très excitée de savoir qu’elle allait ramasser des coups de queue dans le cul. Une fois raide, je lui ai soulevé les jambes pour les lui rabattre sur ses grosses mamelles et je me suis frotté le gland entre les lèvres de sa chatte pour y récupérer un peu de mouille. Le gland ainsi lubrifié, je me suis mis devant l’entrée de son anus et j’ai commencé à pousser fort pour m’introduire à fond.  Mes couilles sont venues buter contre ses fesses et j’ai commencé alors à lui marteler le cul de va-et-vient tellement puissants qu’elle a joui en quelques secondes. Elle a senti que j’étais déçu et m’a dit de ne pas sortir afin de recommencer lentement à lui limer les intestins. Mon érection n’étant pas tombée, je me suis empressé de remuer mes reins pour tourner dans son anus moelleux et de lui faire du bien à nouveau. Ma queue allait et venait entre ses fesses charnues. Pendant que je lui baisais l’anus, la salope me travaillait à nouveau les tétons. Je n’ai jamais ressenti un tel plaisir. Les tétons en feu et la bite enserrée entre les fesses d’une belle bourgeoise mature, je n’ai pu résister au bonheur de lui inonder le conduit anal. J’ai expulsé plusieurs jets de sperme qui lui ont tapissé les parois anales. Je me suis retiré de son anus et la salope bourgeoise a voulu me nettoyer la bite avec la bouche. Ma queue était souillée de son jus d’anus et de mon sperme, mais elle a tout avalé comme une grande fille.

J’ai hâte de recevoir un message de sa part pour un nouveau trajet en train.