Nous sommes en vacances d’hiver au sommet d’une petite station de ski pas loin de Gérardmer. Mon mari et moi venons au même endroit depuis un bon moment et nous avons nos petites habitudes. Le premier soir comme le dernier, nous attendons une bonne demi-heure après le passage des pisteurs pour la fermeture des pistes et nous faisons l’amour.  Le paysage de fond est magnifique tiré tout droit d’une carte postale. C’est prodigieux, toutes ses petites lumières qui éclairent le village en bas dans la vallée alors qu’en face de nous, le soleil se couche entre les montagnes. Nous retirons alors nos vêtements et ne gardons que nos sous-vêtements.

Nous concoctons un petit nid douillet. Le plaisir des sens d’accord mais avec un minimum de confort physique tout de même. Je m’allonge sur le dos et le vent me caresse l’entrejambe malgré mon parachute. Mon mari se positionne entre mes jambes et commence à me caresser les seins tout en approchant son visage de ma chapelle ardente. Il me mange alors le sexe de manière appliquée sans délaisser le moindre millimètre carré de ma vulve. Je porte toujours mon tanga. Je suis sur un coude avec une jambe en l’air et je le regarde me manger. Il embrasse ensuite mes pieds et me caresse la vulve. Puis il avance son corps pour me titiller les seins avec sa bouche. Il sait ce que j’affectionne et aspire fortement mes pointes. Il les fait tourner entre ses doigts et tire légèrement dessus. Cela me fait prendre beaucoup de plaisir. Puis quand il a fini de s’occuper de ma poitrine, il repart en enlevant ma culotte. Il se place alors derrière moi et m’investit de son chibre bien dur en petite cuillère, ce qui lui donne la possibilité de me caresser les seins ainsi que le clitoris pendant sa besogne. Je passe ma jambe au-dessus de la sienne pour qu’il aille plus profondément en moi.

Après un bon petit moment, je prends les choses en main et le positionne sur le dos. Je viens m’empaler sur lui. J’accélère ou diminue la cadence selon mon envie. Mon capuchon clitoridien frotte largement sur son pubis. Il masse mes seins et mes gémissements deviennent des cris. Ses mains viennent sur mes hanches puis sur mes fesses. Il écarte en grand mon fessier pour entrer plus profond encore en moi. Ensuite, avec l’un de ses doigts, il chatouille l’entrée de mon orifice le plus serré. Il arrête pour mouiller son doigt et le réapplique sur mon anus. Je trouve ça génial et ne me gène pas pour lui dire. Je sens son sexe encore grossir et ce coup-ci, c’est carrément du ramonage de vagin. Il me demande de me retourner et recommence sa pénétration vaginale, avec un petit plus car, étant dos à lui, il peut recommencer à me stimuler le clito en même temps. La jouissance monte rapidement en moi et je sens les prémices d’une explosion interne de tout mon être. Les picotements des décharges d’adrénaline parcourent ma colonne vertébrale puis partout. Il se retire et tape son sexe sur ma vulve. Avant qu’il entreprenne autre chose, je saute sur son épée et je lui pompe au maximum.

Il m’attrape alors par la tête et me donne la cadence. J’adore être un peu soumise, en fait. Je lui lèche les tétons et le beau diable a du mal à ne pas envoyer la sauce. Je continue ma fellation compilée à une masturbation manuelle digne de ce nom. Je passe par une phase de branlette espagnole car j’aime sentir son calibre entre mes seins. Puis, je viens à nouveau sur lui où il me sodomise directement. Son pénis entre en moi et je glisse mes fesses sur ses cuisses afin de ne pas avoir tout son être directement en moi. Après le préchauffage réussi, je prends de la hauteur et mes mouvements sont de plus en plus amples et je le sens rentrer très profondément en moi. Il en profite pour glisser ses mains sous mes fesses et me donne par la même, la cadence. Je n’en peux plus et me mets à quatre pattes. Il prend mes bras les tire en arrière de façon délicate et c’est tout simplement du matraquage de cul. Je sens ses couilles taper contre les lèvres de mon sexe. Mes seins me font mal à force de se promener dans tous les sens, c’est pourquoi je les tiens pour plus de confort. Je finis par jouir puissamment. Mon étalon se masturbe alors et m’envoie toute sa purée sur mes fesses et le bas de mon dos. C’était très bien mais je pense que je ne vais pas pouvoir m’assoir tout de suite. Il m’essuie avec des mouchoirs en papier et nous mettons cela dans une poubelle pour ne pas dégrader la beauté du lieu.