Depuis quelques semaines, j’observe Brice, mon voisin avec insistance. Je regarde vivre et agir cet homme de trente ans. Il faut dire que j’ai presque le même âge et qu’il a truc qui fait qu’il m’attire. Régulièrement avec un couple d’amis qui s’appelle Serge et Corinne et qui forment par ailleurs le plus beau couple que je connaisse, nous visitons le coin.  Mon voisin, étant ami aussi avec eux, vient souvent avec nous. Nous sommes partis découvrir l’arrière pays basque, à quelques kilomètres de la ville de Biarritz en France où nous habitons. Après une journée d’excursion tranquille qui nous a dépaysé et surtout changé de notre vie pleine du train-train quotidien, nous nous dirigeons vers une auberge qui fait les spécialités du coin.

L’endroit est merveilleux et nous plonge de quelques siècles en arrière.  Après un repas plus que copieux, nous nous dirigeons vers la voiture afin de rentrer vers nos petits « chez nous ». Serge ne supportant que sa propre conduite, c’est lui qui nous emmène à chaque fois. Brice et moi, nous nous asseyons à l’arrière pour laisser la place à Corinne devant au près de son cher et tendre. Sachant qu’il nous reste une heure et demi de route, et, étant fatigués aussi de cette journée, Corinne s’endort tout de suite non sans avoir luttée au moins 5 minutes pour ne pas le faire. Nous parlons de banalités puis en rupture de stock de conversation, nous somnolons un peu derrière pendant que Corinne ronfle carrément. Il fait maintenant nuit noire dehors. Serge met de la musique et entrouvre sa fenêtre.

J’ai un peu froid mais vu que je ne veux pas qu’il s’endorme, je ne me plains pas. Sans dire mot, je m’approche de Brice et met ma tête sur ses genoux. Il  ne dit rien et pose sa main sur le dossier de la banquette arrière. Pour trouver une position qui soit agréable, je bouge dans tous les sens ce qui crée un frottement de ma part sur Brice qui n’était pas voulu au départ. Quand enfin, je trouve ma place, je sens un truc dur contre mon os occipital. Je comprends alors que la bosse dure que je sens sur ma tête n’est pas sa ceinture mais bien son sexe.  Je me fais alors plaisir à recommencer le titillement de son sexe pour tester sa réaction. Elle ne se fait pas attendre et son érection est bien développée. Son dard monte crescendo et je sens la poussée de son accroissement. Il fait comme si de rien n’était et même, semble apprécier mon petit jeu. Son sexe étant à présent bien dur, je me décide à me retourner afin de mettre mon visage en face de son chibre. Ma main délicatement ouvre la braguette de son pantalon.

Il pose alors sa main sur mes cuisses au-dessus de ma robe. Ma main enlève alors son sexe de sa prison de tissu et je l’introduis dans ma bouche. Plongés dans le noir, je fais attention aux lumières des phares des voitures que nous rencontrons et fais simplement de petits gestes d’aller retour pour ne pas être vus de notre chauffeur. Le fait de le piper me lubrifie le vagin et enfle mon capuchon clitoridien. Mes seins ne sont pas en reste et mes tétons pointent à travers mon chemisier car je ne porte pas de soutien gorge. Je perçois à présent la moindre veine de sa hampe et j’insiste sur son frein avec ma langue. Les petits bruits de succion que je produis sont noyés par les bruits de la fenêtre et de l’autoradio.  Je n’ose le regarder car j’ai un peu honte de ce que je fais, en revanche, j’ai un sacré plaisir à le faire. Son corps ne me ment pas et je vois à ses muscles qui se contractent et sa respiration qui s’accélère qu’il doit prendre son pied, comme moi, je le prends. Mes lèvres serrent très fort son pénis.

Je force aussi pour bien le frotter contre ma joue. D’un seul coup, la main de Brice s’enfouit dans mon corsage.  Il me masse la poitrine délicatement et me pince ensuite les tétons assez fort pour me créer du plaisir et pas trop fort pour me faire du mal, son dosage est parfait. Je l’aspire au maximum pour lui faire comprendre que j’aime son petit massage. Il glisse sa main vers ma jupe la soulève et joue avec mon clitoris. J’enfonce son sexe rapidement au fond de ma gorge pour étouffer mes cris. Ses muscles d’un seul coup se contractent et il m’envoie son sperme chaud au fond de ma gorge. Je lui nettoie son sexe pour qu’il n’en reste plus une goutte et range son sexe où je l’avais trouvé. Il pénétra alors ma chapelle ardente et amena ses doigts à sa bouche pour goûter lui aussi mes secrétions. Désormais, nous vivons ensemble et nous sommes inséparables.