Je viens de m’offrir un petit plaisir : partir en voyage au Maroc. Le credo de cette excursion est de voir tous les différents paysages aussi bien la mer, la montagne que les bleds avec leurs populations cosmopolites de ce pays solaire et d’une grande beauté. Le temps ne m’est pas précieux car je suis là pour deux mois et que je me suis fixé un but d’endroits à visiter mais sans date précise. Je m’installe donc dans un hôtel à la capitale marocaine. Une fois installée et reposée, je me lance sur ce qui doit être le plus éprouvant physiquement le désert ! J’ai un guide que j’ai trouvé ce matin, il est grand, brun, les yeux verts, pas d’accent, il a l’air de maîtriser son sujet. Je lui soumets les endroits où j’aimerai aller et lui organise tout le reste, c’est-à-dire, le repas, le couchage et les moyens de transport. Entre ce matin où je lui ai donné mes directives et ce début d’après-midi, il a déjà tout prévu et m’a dit qu’il passerait me prendre vers 15 heures. J’ai prévu des habits pour une semaine et je l’attends.

Dès son arrivée, il prend mes affaires et les charges dans un 4×4 où sont entreposées les siennes. Nous partons direction l’inconnue. Nous discutons et il m’explique que ce soir je profite de la dernière nuit d’hôtel car après nous allons dormir à la verte. Nous arrivons enfin à notre étape. Nous nous installons dans nos chambres qui sont mitoyennes. Il m’a appris sur la route que c’était normal qu’il n’est pas d’accent car il venait de Lille et qu’il avait émigré au Maroc depuis 15 ans. Le dîner se passe, je suis sous son charme tant physique que mental, de plus, il a une voix envoutante. Nous nous disons au revoir et partons chacun dans notre chambre. C’est déjà le matin, nous prenons rapidement notre petit déjeuner et allons dans le désert. Cette chaleur entêtante est tuante, nous buvons beaucoup d’eau. A un moment, il me dit que nous allons arriver à ce qu’il voulait me montrer. Alors que tout n’est que sable à perte de vue, il me dit là et indique la direction à regarder. Incroyable, un oasis planté en plein désert. J’ai cru à un mirage au départ mais non, des arbres, un plan d’eau. Mon appareil photo chauffe tant je prends de souvenirs de cet endroit. Je remercie mon guide chaleureusement de cette trouvaille.

Il me dit que je peux me baigner car il n’y a pas d’animaux dans le coin. Je lui réponds que je n’ai pas d’habits de bain et lui me réponds : « Vas-y avec dans 10 minutes, ils sont secs avec cette chaleur. » Je m’exécute et me baigne avec mon T-shirt et mon short. Après quelques minutes, je sors de l’eau et je m’aperçois que mon haut est transparent et que l’on voit ma poitrine comme si je n’avais rien au-dessus. De plus, mes tétons pointent et il me fait remarquer que la baignade m’a fait de l’effet. Je rougis. Il s’approche de moi et me dit qu’il a envi de moi. Etonnée d’abord, je lui dis que je ne suis pas contre. Nous nous embrassons. Ma main descend sur son pantalon et je lui masse son ensemble trois pièces à travers. Je sens son pique gonflé sous mes caresses. Je défais sa ceinture et il se retrouve bientôt à poil. J’enlève son Marcel et lui lèche les tétons. Lui s’occupe de mes seins en les pétrissant et se charge des pointes de mes obus en les tournant et les pinçant. J’aspire son gros dard qui tient tout entier dans ma bouche. Je joue avec ma langue sur son sexe, ses testicules et je lui colle un doigt dans l’anus. Il attrape mes jambes et nous faisons un 69 vertical. Le sang me monte à la tête ainsi que le plaisir.

C’est un bouffeur de chatte de première. Puis, il m’applique contre un cocotier et fait entrer son engin dans ma chapelle à plaisir. Son chibre est bien dressé et je sens tout son attirail me pénétrer au plus profond de moi. Il stimule mon clitoris avec sa main en même temps qu’il me pilonne. Je suis au bord de la jouissance. Il accélère encore plus la cadence et je craque. Je jouis en braillant. Il sort son phallus et me pose à quatre pattes. Là, debout derrière moi, il me sodomise doucement et sans à-coup entre son glaive jusqu’à son pubis. Je tente de m’ouvrir au maximum en appuyant sur mes fesses mais je sens tout de même passer la chose. Pour qu’il vienne plus vite, je lui caresse les bourses et il se finit dans mon rectum en envoyant sa semence par saccade et en grande quantité. Ce n’est que du bonheur et mon séjour ne fait que commencer…