Je suis en voyage en Angleterre. Mon métier est d’organiser des voyages. Mon contact sur place s’appelle Shirley et doit me montrer la capitale anglaise ainsi que les excursions et les visites que son groupe propose. Je pars en ferry boat. A mon arrivée, je loue une voiture qui bien entendu a le volant à gauche. Après un temps d’adaptation, je finis par être à mon lieu de rencontre. La demoiselle m’accueille poliment. Elle est blonde avec un petit côté à la Britney Spears, je n’aime pas les chansons de la chanteuse mais physiquement, ce n’est pas pareil ! Le premier jour se passe, visite-métro-resto-métro-visite-métro-dodo. Pour mon boulot, j’avance à grands pas. Il y a de bonnes choses, d’autres moins bonnes.

Mais ce qui me préoccupe, c’est que je désire de plus en plus ma jolie guide. Le deuxième soir, à nouveau seul dans mon hôtel, je pense à elle et me dis que dès que je la vois, demain, je lui dis ce que j’éprouve pour elle. La troisième soirée finit, même résultat, je suis seul et demain, et demain… Le quatrième soir, je suis encore seul dans ma chambre. Tiens, on frappe à ma porte. Je pense au service d’étage qui vient me demander si j’ai besoin de cirer mes chaussures comme les autres soirs. J’ouvre, elle est là, de toute sa beauté, habillée sexy sans être provocante. Je la fais entrer et lui demande le but de sa visite. Elle me dit qu’elle a envie de moi. Je trouve ça franc et direct et en reste sur mon derrière. Elle s’avance vers moi, ouvre ma braguette, sort mon engin et le suce. Elle pose une de ses mains à la base de mon phallus et sans me regarder m’aspire. Je n’en crois pas mes yeux !

Mon rêve se réalise enfin. Elle me regarde la bouche pleine, c’est très excitant. Elle me masturbe et me suce en même temps. J’enlève mon pantalon et mon caleçon et m’étend sur le bord du lit. Son haut moulant dessine une poitrine bien galbée et qui a l’air de tenir toute seule. Elle s’affaire sur mon gland, mon frein et lèche ma bite sur toute sa hampe. Son piercing sur la langue rajoute un je ne sais quoi de bien agréable. Elle sert fort ses lèvres pour que mon plaisir soit plus grand, c’est réussi. Cela fait bien dix minutes qu’elle me pompe et mon sexe est dur comme du bois. Son regard souriant d’un beau bleu laisse apparaitre le plaisir qu’elle a à me faire cette gâterie. Ses mouvements de va et vient lui mettent la mèche devant les yeux, elle la remet en place pour garder le contact visuel. Je pense qu’elle veut que j’éjacule mais je ne l’ai pas rêvé tant de nuits pour que cela s’arrête à ça. Elle se redresse et enlève sa robe de soirée mais garde son soutien gorge. Sa chatte est toute belle, je la vois quand elle se penche en avant pour retirer sa culotte en dentelle. Puis elle se retourne, elle garde un large triangle au-dessus de son sexe. Elle se met sur moi en tenant mon sabre d’une main et s’emboite sur moi. Elle mouille déjà largement, le plaisir vu dans son regard n’était pas fortuit. Elle pousse de petits cris, la seule chose qui lèse un peu, c’est les « fuck » qu’elle lâche à tout bout de champs. Au bout d’un petit quart heure de la même position, je lui lance dans un anglais de mauvaise qualité que j’aimerai changer un peu de position, elle me regarde avec des grands yeux et me dit : « Ne te connaissant pas assez, je n’osais pas te le demander ! ».

Puis elle saisit à nouveau mon chibre et se sodomise avec. Je ne sais pas ce que j’ai pu lui dire avec mon anglais déplorable mais le résultat me plait beaucoup. Je ne pense pas être son premier mais son petit trou est bien serré. Elle remue bien des hanches et sa poitrine bouge dans tous les sens. En effet, la belle a de beaux seins que je désirerai voir et même si possible sucer. Nous changeons de position et elle se positionne pour une levrette. Elle a un beau tatouage au creux de ses reins. Je m’enfonce dans son sexe, elle me dit : « No, pas ici, s’il te plait ! ». Je sors mon pieux turgescent et me glisse dans son anus jusqu’à mon pubis. Elle jouit en hurlant ce qui me laisse pantois. Elle se retourne et me pompe jusqu’à ce que je lui envoie toute ma purée. C’est madame propre, pas une goutte de ma semence parterre. Elle se rhabille et me dit à demain. Je suis estomaqué de son départ si rapide, je verrai demain de quoi il sera fait…