Je suis en couple avec mon ami. Je connais ses habitudes et ne porte aucun vêtement à son arrivée. Je l’attends d’une minute à l’autre en sirotant un cola. Dès qu’il passe le seuil de la porte, je lui saute dessus. J’ai les seins bien dressés par l’excitation. Je m’agenouille et je prends dans mes mains son sexe. Je le caresse sur toute sa longueur puis j’alterne avec des passages dans ma bouche tout en le fixant droit dans les yeux. Son corps montre son enthousiasme, je lui caresse les couilles, il m’exhorte à aller plus loin. Je me positionne à quatre pattes sur l’accoudoir de notre canapé. Mon mec me lèche l’anus et introduit un doigt, c’est très doux et très agréable. Bien vite, mon cul en veut d’avantage. Je me cambre pour m’ouvrir plus largement.
Soudain, alors qu’il m’a mis deux puis trois doigts dans mon orifice dilaté, il arrête et place son sexe devant mon visage et me demande de le sucer à nouveau. Je lui lèche le frein, ma langue joue avec son gland et je rentre la totalité de sa virilité sexuelle jusqu’au fond de ma gorge. Il revient derrière moi et je sens sa bite en pleine vigueur s’appliquer sur mon fondement. Il s’accroche à ma taille et rentre doucement. Après une légère résistance, son gland passe le cap et toute sa hampe suit jusqu’à je sente son bas-ventre cogner contre mes fesses. Je pousse un gémissement. Il augmente la cadence et m’attrape par les cheveux. J’imagine la vue que peut offrir une telle posture, complètement cambrée en train de me faire pilonner le fion avec la tête en arrière laissant mes seins sortis de leurs écrins, se balader au rythme de ses coups de rein. Rien que l’idée me stimule. Tout en continuant son action, il lâche mes cheveux et s’occupe de mes seins. Pour ne pas partir trop vite, il se retire et me suce les tétons de mes nichons si fermes à présent. Je décrirai mes seins en disant qu’ils sont de taille forte honorable avec de grandes auréoles assez claires, il faut dire que je suis rousse. J’ai un grain de beauté sur le haut de mon sein gauche qui lui donne un certain charme quand je suis en décolleté. Sa langue passe d’un sein à l’autre, il anime chez moi un plaisir fou. Mes lèvres s’ouvrent telles certaines fleurs et je lubrifie de plus en plus. Il sollicite le capuchon de mon clitoris avec ses doigts. Il prend une grande lampée d’eau gazeuse et s’approche de ma vulve toute trempée de désir. Le chaud de ma chatte avec le froid du liquide gazeux me font hurler de bonheur. Il accélère son va et vient dans mon vagin avec sa langue.
Puis, il y rentre son pénis fortement dilaté par l’excitation auditive de mes cris. Ce n’est pas grand-chose, mais le fait de commencer par la sodomie pour ensuite me prendre le vagin, change nos habitudes de couple qui, pourtant, est tout récent mais commençaient à être routinières. Les allers retours me font vite jouir. Après quelques minutes de pilonnage, je me rends compte que le plaisir m’envahit à nouveau. Au moment où j’allais jouir pour la seconde fois, il sort son épée et me la colle dans la bouche. Tout de suite, je m’active dessus et bientôt, il éjacule par saccade de longs jets de sperme qui emplissent ma bouche. Je joue avec sa semence dans ma cavité buccale tout en le regardant puis j’avale. Il sait bien que je n’étais pas loin de jouir à nouveau et me demande de me masturber devant lui. D’abord gênée qu’il me regarde, je me caresse et écarte largement mes lèvres lui montrant mon moi intérieur. Il vient alors vers moi et me mange les seins. Je me masturbe en mettant une main dans mon vagin et l’autre qui stimule mon clito tout gonflé. Mon corps ne m’appartient plus, j’ai des secousses jouisseuses de force sept sur l’échelle de Richter. Je gémis, mon souffle s’accélère. J’appuie plus fort sur mon point G et abandonne mon appendice érectile pour mettre un doigt à mon chéri. Il a l’air d’apprécier et je finis par jouir au zénith de mon bonheur. Je prends un petit temps de repos. Il me demande si ça ne me dérangerait pas de lui lécher son petit trou. Lui me le faisant régulièrement, je ne voyais pas pourquoi je lui en priverai. Il penche son corps en avant et son œil de cyclope attend mon stimulus. Je lui offre sa première fleur de rose. Je lui procure beaucoup de plaisir. Il se redresse, c’est terminé. Il me dit que la prochaine fois, il faudra le refaire en y ajoutant un sextoy ! Ce fut plus que bon, vivement la prochaine fois !
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13 mai 2012
Amour plaisant
Admin anus, bas, bite, chatte, couple, plaisir, sexe, sodomie, sperme, train Confession Intime 0 Commentaire
Je suis en couple avec mon ami. Je connais ses habitudes et ne porte aucun vêtement à son arrivée. Je l’attends d’une minute à l’autre en sirotant un cola. Dès qu’il passe le seuil de la porte, je lui saute dessus. J’ai les seins bien dressés par l’excitation. Je m’agenouille et je prends dans mes mains son sexe. Je le caresse sur toute sa longueur puis j’alterne avec des passages dans ma bouche tout en le fixant droit dans les yeux. Son corps montre son enthousiasme, je lui caresse les couilles, il m’exhorte à aller plus loin. Je me positionne à quatre pattes sur l’accoudoir de notre canapé. Mon mec me lèche l’anus et introduit un doigt, c’est très doux et très agréable. Bien vite, mon cul en veut d’avantage. Je me cambre pour m’ouvrir plus largement.
Soudain, alors qu’il m’a mis deux puis trois doigts dans mon orifice dilaté, il arrête et place son sexe devant mon visage et me demande de le sucer à nouveau. Je lui lèche le frein, ma langue joue avec son gland et je rentre la totalité de sa virilité sexuelle jusqu’au fond de ma gorge. Il revient derrière moi et je sens sa bite en pleine vigueur s’appliquer sur mon fondement. Il s’accroche à ma taille et rentre doucement. Après une légère résistance, son gland passe le cap et toute sa hampe suit jusqu’à je sente son bas-ventre cogner contre mes fesses. Je pousse un gémissement. Il augmente la cadence et m’attrape par les cheveux. J’imagine la vue que peut offrir une telle posture, complètement cambrée en train de me faire pilonner le fion avec la tête en arrière laissant mes seins sortis de leurs écrins, se balader au rythme de ses coups de rein. Rien que l’idée me stimule. Tout en continuant son action, il lâche mes cheveux et s’occupe de mes seins. Pour ne pas partir trop vite, il se retire et me suce les tétons de mes nichons si fermes à présent. Je décrirai mes seins en disant qu’ils sont de taille forte honorable avec de grandes auréoles assez claires, il faut dire que je suis rousse. J’ai un grain de beauté sur le haut de mon sein gauche qui lui donne un certain charme quand je suis en décolleté. Sa langue passe d’un sein à l’autre, il anime chez moi un plaisir fou. Mes lèvres s’ouvrent telles certaines fleurs et je lubrifie de plus en plus. Il sollicite le capuchon de mon clitoris avec ses doigts. Il prend une grande lampée d’eau gazeuse et s’approche de ma vulve toute trempée de désir. Le chaud de ma chatte avec le froid du liquide gazeux me font hurler de bonheur. Il accélère son va et vient dans mon vagin avec sa langue.
Puis, il y rentre son pénis fortement dilaté par l’excitation auditive de mes cris. Ce n’est pas grand-chose, mais le fait de commencer par la sodomie pour ensuite me prendre le vagin, change nos habitudes de couple qui, pourtant, est tout récent mais commençaient à être routinières. Les allers retours me font vite jouir. Après quelques minutes de pilonnage, je me rends compte que le plaisir m’envahit à nouveau. Au moment où j’allais jouir pour la seconde fois, il sort son épée et me la colle dans la bouche. Tout de suite, je m’active dessus et bientôt, il éjacule par saccade de longs jets de sperme qui emplissent ma bouche. Je joue avec sa semence dans ma cavité buccale tout en le regardant puis j’avale. Il sait bien que je n’étais pas loin de jouir à nouveau et me demande de me masturber devant lui. D’abord gênée qu’il me regarde, je me caresse et écarte largement mes lèvres lui montrant mon moi intérieur. Il vient alors vers moi et me mange les seins. Je me masturbe en mettant une main dans mon vagin et l’autre qui stimule mon clito tout gonflé. Mon corps ne m’appartient plus, j’ai des secousses jouisseuses de force sept sur l’échelle de Richter. Je gémis, mon souffle s’accélère. J’appuie plus fort sur mon point G et abandonne mon appendice érectile pour mettre un doigt à mon chéri. Il a l’air d’apprécier et je finis par jouir au zénith de mon bonheur. Je prends un petit temps de repos. Il me demande si ça ne me dérangerait pas de lui lécher son petit trou. Lui me le faisant régulièrement, je ne voyais pas pourquoi je lui en priverai. Il penche son corps en avant et son œil de cyclope attend mon stimulus. Je lui offre sa première fleur de rose. Je lui procure beaucoup de plaisir. Il se redresse, c’est terminé. Il me dit que la prochaine fois, il faudra le refaire en y ajoutant un sextoy ! Ce fut plus que bon, vivement la prochaine fois !