Je suis technicien dans une station de ski et je m’occupe d’entretenir les remontées mécaniques que vous prenez pour vos vacances à la montagne. Ce que je vais vous raconter est une histoire qui m’est arrivée cet été au mois de juillet.
Je suis monté dans un téléphérique pour rejoindre mon collègue qui avait un souci sur un roulement et au moment où les portes allaient se refermer, une superbe femme d’une quarantaine d’années est montée au dernier moment pour rejoindre le sommet. Nous étions seuls et nous avons entamé la discussion jusqu’au moment où la cabine s’est arrêtée net. En tant que technicien, je l’ai rassurée, mais elle n’avait pas l’air très inquiète. J’ai essayé tant bien que mal de trouver la panne, mais de l’endroit où je me trouvais, je ne pouvais pas faire grand-chose à part donner des infos par talkie-walkie à mes collègues. Comme il y a une caméra de surveillance dans la cabine, mes collègues me disaient plein de bêtises dans l’oreillette et cela me faisait sourire. Ils me disaient qu’ils allaient me laisser le temps d’emballer la belle quadra et que je devais obtenir son numéro de téléphone avant qu’ils ne remettent la cabine en marche. J’ai relevé le défi et commencé à faire le beau parleur pour avoir son numéro de téléphone et je lui ai dit que je n’y étais pour rien même si cela pouvait laisser penser au coup de la panne. À ma grande surprise, la femme me dit que c’est dommage que ce ne soit pas volontaire, car elle aurait bien baisé sur place. Elle s’est approchée de moi et m’a mis la main au paquet. Mes collègues étaient fous et m’encourageaient dans l’oreillette. Je l’ai plaquée contre la vitre de la cabine et j’ai passé ma main sous sa jupe tout en lui mettant ma langue au fond de la bouche. Elle m’a aspiré la langue comme une folle. Sa chatte était tout humide et mes doigts ont facilement pénétré sa chatte. La salope s’est mise à genoux et a sorti ma queue de mon pantalon pour me faire une des meilleures pipes de ma vie. Elle m’a bouffé les couilles en même temps. Je ne tenais plus, aussi je l’ai tournée face au paysage, j’ai soulevé sa jupe et j’ai frotté ma queue entre ses fesses. Ma queue a trouvé le chemin de sa chatte et s’est introduite au fond de son vagin détrempé. Les mains sur la vitre, la salope a couiné et mes va-et-vient ont fait bouger la cabine dangereusement. Je me suis allongé par terre et elle est venue s’empaler sur ma queue jusqu’aux couilles. Sa mouille me coulait le long de la queue et sur les couilles. Elle me disait de la traiter de salope pendant que je la baisais. Je me suis accroché à ses grosses mamelles et je lui ai pincé les tétons qui étaient gros comme des cerises. J’ai senti qu’elle se crispait et j’ai compris qu’elle était en train de jouir alors j’ai accéléré le mouvement pour bien lui limer la chatte et la satisfaire à fond. Elle s’est mise à genoux et a ouvert la bouche pour que je lui décharge mon foutre dans la bouche. À ma grande surprise, elle a tout avalé. La cabine a redémarré et nous avons juste eu le temps de nous rembrailler.
Une fois au sommet, nous nous sommes quittés sans nous parler et mes collègues m’ont applaudi car ils avaient tout vu à la caméra. Au lieu de partir avec son numéro de téléphone, je suis parti avec sa culotte.
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9 septembre 2011
Bloquée dans un téléphérique et baisée par le technicien
Admin chatte, culotte, femme, queue, salope, train Confession Intime 0 Commentaire
Je suis technicien dans une station de ski et je m’occupe d’entretenir les remontées mécaniques que vous prenez pour vos vacances à la montagne. Ce que je vais vous raconter est une histoire qui m’est arrivée cet été au mois de juillet.
Je suis monté dans un téléphérique pour rejoindre mon collègue qui avait un souci sur un roulement et au moment où les portes allaient se refermer, une superbe femme d’une quarantaine d’années est montée au dernier moment pour rejoindre le sommet. Nous étions seuls et nous avons entamé la discussion jusqu’au moment où la cabine s’est arrêtée net. En tant que technicien, je l’ai rassurée, mais elle n’avait pas l’air très inquiète. J’ai essayé tant bien que mal de trouver la panne, mais de l’endroit où je me trouvais, je ne pouvais pas faire grand-chose à part donner des infos par talkie-walkie à mes collègues. Comme il y a une caméra de surveillance dans la cabine, mes collègues me disaient plein de bêtises dans l’oreillette et cela me faisait sourire. Ils me disaient qu’ils allaient me laisser le temps d’emballer la belle quadra et que je devais obtenir son numéro de téléphone avant qu’ils ne remettent la cabine en marche. J’ai relevé le défi et commencé à faire le beau parleur pour avoir son numéro de téléphone et je lui ai dit que je n’y étais pour rien même si cela pouvait laisser penser au coup de la panne. À ma grande surprise, la femme me dit que c’est dommage que ce ne soit pas volontaire, car elle aurait bien baisé sur place. Elle s’est approchée de moi et m’a mis la main au paquet. Mes collègues étaient fous et m’encourageaient dans l’oreillette. Je l’ai plaquée contre la vitre de la cabine et j’ai passé ma main sous sa jupe tout en lui mettant ma langue au fond de la bouche. Elle m’a aspiré la langue comme une folle. Sa chatte était tout humide et mes doigts ont facilement pénétré sa chatte. La salope s’est mise à genoux et a sorti ma queue de mon pantalon pour me faire une des meilleures pipes de ma vie. Elle m’a bouffé les couilles en même temps. Je ne tenais plus, aussi je l’ai tournée face au paysage, j’ai soulevé sa jupe et j’ai frotté ma queue entre ses fesses. Ma queue a trouvé le chemin de sa chatte et s’est introduite au fond de son vagin détrempé. Les mains sur la vitre, la salope a couiné et mes va-et-vient ont fait bouger la cabine dangereusement. Je me suis allongé par terre et elle est venue s’empaler sur ma queue jusqu’aux couilles. Sa mouille me coulait le long de la queue et sur les couilles. Elle me disait de la traiter de salope pendant que je la baisais. Je me suis accroché à ses grosses mamelles et je lui ai pincé les tétons qui étaient gros comme des cerises. J’ai senti qu’elle se crispait et j’ai compris qu’elle était en train de jouir alors j’ai accéléré le mouvement pour bien lui limer la chatte et la satisfaire à fond. Elle s’est mise à genoux et a ouvert la bouche pour que je lui décharge mon foutre dans la bouche. À ma grande surprise, elle a tout avalé. La cabine a redémarré et nous avons juste eu le temps de nous rembrailler.
Une fois au sommet, nous nous sommes quittés sans nous parler et mes collègues m’ont applaudi car ils avaient tout vu à la caméra. Au lieu de partir avec son numéro de téléphone, je suis parti avec sa culotte.