J’ai 17 ans trois quarts ce qui me permet pour la dernière fois de partir avec le club ado en vacances. Cette année, direction la montagne, les organisateurs ont loué un gros chalet et nous sommes tranquilles  avec chacun notre chambre. Le premier étage est réservé aux filles et le rez-de-chaussée aux gars.  Je retrouve des amis que j’avais des années précédentes et découvre les nouveaux visages, dont Blanche. Rien que d’évoquer ce prénom, je frissonne. Cette fille est brune, un regard de velours dû à ses sourcils foncés qui s’éclaire grâce à la clarté de ses yeux. Elle a une classe d’un autre temps.

Je suis fort épris dès le premier regard. Elle me sourit et j’ai l’impression de lui plaire. J’en parle à Sylvain qui me dit « Attaque sinon il ne te restera que des regrets de ne pas avoir tenté ta chance ». C’est ce que je  fais dès ce premier soir. Je ne la lâche pas d’un pouce. Je suis loin du compte  encore à propos d’elle. Son physique d’abord, je n’ai même pas vu qu’elle cache une poitrine bien fournie, des jambes de rêve et sa voix est enchanteresse. Pour son esprit, elle est facile à vivre, est très intelligente et sait ce qu’elle veut. Boris a tenté sa chance avec elle, mais elle lui a dit que ce n’était pas son type. Elle l’a rembarré gentiment mais fermement et moi, je n’ose plus l’attaquer. Sylvain va la voir et discute un moment avec Blanche.

Je pense : « Quel salaud ! », lui que je prenais pour un ami sincère. Ce fut vite oublié quand Blanche arrive et se plante devant moi. « Tu n’as rien à me dire ? » me lance t’elle. Je réponds fermement : « Je t’aime ! ». Elle m’attrape par la tête et m’embrasse fougueusement. Le paradis existe, je suis en plein dedans. Nous vivons au fur et à mesure un amour platonique qui me convient parfaitement même si tous les soirs pendant la douche, je me masturbe en pensant à ma belle. J’imagine les scénarii les plus torrides. Après la douche, nous mangeons tous ensemble, nous faisons la vaisselle et nous passons la soirée à discuter et à jouer. Ce soir, c’est notre dernier soir et j’ai les boules de devoir la quitter demain. Elle habite à 300 kilomètres de moi et c’est sa grand-mère qui l’avait inscrite à cette sortie car elle habite dans le même village que moi. Elle me dit qu’elle demandera à venir souvent chez sa grand-mère afin de me voir mais je sens aussi de la tristesse en elle. La soirée se passe et nous partons nous coucher. Nous nous embrassons langoureusement et nous suivons nos groupes. Elle part en haut et moi, je me dirige vers ma chambre. Il est 23 heures et je suis couché, je rumine, j’aimerai tant l’avoir dans mon lit, rien que pour dormir ensemble. Je finis par m’endormir. Vers 1 heure du matin, je sens une main me caresser.

Cette fouineuse arrive dans mon caleçon et commence à me masturber. C’est très bon mais je ne sais pas qui est sous la couette. Mon caleçon est retiré et on commence à me faire une fellation. Je me laisse faire en pensant à ma Blanche. La pénombre m’empêche de voir. Je retire la couette mais je n’en sais pas plus. En tout cas, elle sait y faire car elle me caresse les testicules, me pompe  en s’accompagnant de sa main. J’ai peur que ce ne soit pas Blanche car je lui ai demandé de me faire des trucs et elle m’a dit qu’elle était pucelle et qu’elle ne voulait pas faire ces choses dont la fellation. Une fois, mon sexe en plein érection, la fille remonte vers mon visage et m’embrasse. C’est bien ma bien aimée. « J’étais comment ? Car c’est ma première. » Dit elle, je réponds « Parfaite ! ». « Je veux que tu me déflores pour que je ne t’oublies jamais ! » Je me mets au-dessus d’elle et je frotte mon phallus contre ses lèvres de sa grotte ardente. Puis j’appuie pour rentrer en elle. Je ne sens presque pas de résistance et elle piaille. Je continue mon traitement et ce coup-ci, je vois qu’elle prend du plaisir. J’accélère la cadence et elle jouit pour la première fois de sa vie. « Je veux te finir à la bouche car je n’ai pas de moyen de contraception ! ».

Je mets alors mon pubis en face de sa tête et elle me suce avec vigueur jusqu’à ce que je lui envoie ma semence dans la bouche. Elle l’avale et me dit qu’il faut qu’elle reparte car les organisateurs risquent de voir son absence. Nous nous embrassons et je m’endors aussitôt les étoiles plein les yeux.