J’ai regardé hier un film de cape et d’épée, qui m’a entrainé un rêve érotique que je vous confie. Je suis vêtue d’une robe, bas, porte-jarretelle, culotte et une coiffure de cette époque. Je me promène dans un château style Josselin en Bretagne. La pénombre est presque partout car la nuit tombe et l’éclairage est composé de bougies et des cheminées. Des soubrettes saluent mon passage et on est au petit soin pour moi. Je décide de prendre un bain. Une équipe se met en route pour chauffer l’eau du bain ainsi que pour préparer les sels parfumés pendant qu’une équipe de femmes s’occupent de me déshabiller. Elles retirent ma robe mais surtout mon corset à lacet qui comprime mon buste. Une fois nue, ma laveuse s’occupe de moi. Elle lave mes cheveux avec délicatesse puis me passe le savon sur tout le corps, oui, tout le corps même les endroits les plus intimes. A force de me laver la chapelle ardente, elle déclenche chez moi un désir de faire l’amour irrésistible.

Je sors de l’eau, elle m’essuie et je lui ordonne de s’occuper de mon entrejambe. Elle a un petit sourire complice et tout en me fixant dans les yeux, elle me lèche le sexe de façon délicieuse. Sa langue glisse entre mes lèvres, s’attarde sur mon capuchon clitoridien, repasse à l’entrée de ma grotte à plaisir pour finir sur mon petit trou. C’est vraiment divin. Elle introduit deux doigts dans ma chatte et un dans mon anus tout en stimulant mon clito de manière linguale. Elle me fait monter très vite et je jouis. Elle essuie toute ma cyprine et sa salive et m’habille. « Le comte de Brocéliande est arrivé pendant votre bain. Je vous laisse sans culotte ? » dit-elle. « Oui, bien-sûr ! » réponds-je. Ce comte est un coureur de jupon, beau, musclé, intelligent et surtout un dieu du sexe. Ma petit cour m’accompagne jusqu’à la salle du château où m’attend Monsieur le Comte. Il fait sa révérence à mon entrée et je le salue de la même manière. Il me dit que je lui ai manquée, même si je sais que ce n’est que du baratin, cela me fait plaisir. Nous mangeons et il me raconte ses voyages à travers l’Europe occidentale.

Moi qui reste dans ce château, cela me distrait et j’ai l’impression de voyager à travers ses dires. La soirée avance et il est temps d’aller se coucher. Je lui fais ma révérence et monte dans mes appartements. Sitôt arrivée, ma femme de chambre m’aide à me déshabiller et j’enfile une chemise de nuit et me glisse dans mon lit à baldaquin. Quelqu’un toque à ma porte, je vais ouvrir et il est là. Je le fais entrer. Il referme la porte et me saisit par les hanches. Nous nous embrassons et il me dit qu’il n’en peut plus. Je m’agenouille et lui gobe son sexe. Il est déjà en érection et j’ai du mal à le rentrer complètement en moi. Je lui caresse les noix et lui rentre mon majeur dans le rectum. Je le suce et le masturbe. Il m’arrête dans mon élan alors que je voulais boire sa semence, ça sera pour plus tard. Il me plaque sur lit, enlève ma chemise de nuit et m’astique les seins puis le triangle. C’est merveilleux ce qu’il sait faire avec sa langue et ses doigts. Il s’arrête au moment où j’allais avoir mon deuxième orgasme de la journée et m’enfile son chibre dans le vagin. Je confirme, il est bien monté. Je sens ses couilles qui cognent contre mon corps. Je masturbe mon clito pendant qu’il s’occupe de moi.

Quand d’un seul coup, il met mes jambes en arrière et mes pieds s’accrochent sur une barre de la tête de lit par les orteils. Il me dévore le cul et après avoir vu défiler un, deux puis trois doigts dans mon orifice serré à l’origine, il me sodomise. Ses coups de reins me martèlent. Je continue plus que jamais sur mon clito et lui continuant sa besogne, me mange la poitrine. Il suce mes tétons, les lèche, les pince et les tourne. Je trouve ça grandiose. La jouissance arrive en saccade et mon corps étant bloqué, seule ma tête montre le séisme qui frappe tout mon être. Le Comte n’a pas fini quand à lui. Il me laboure encore pendant cinq bonnes minutes et lâche la position. Je me redresse et lui fais une fellation pour qu’il m’envoie son jus. Il ne se fait pas attendre, il éjacule en grande quantité et lui montrant son élixir dans ma bouche, je l’avale en appréciant. Voilà, mon rêve. Maintenant, j’attends avec impatience que mon mari rentre du boulot pour lui sauter dessus car il est le comte de ma vie réelle !