J’habite dans le 95 et j’ai une cinquantaine d’années. Je m’appelle Patrick et je suis adepte des petites rencontres sur internet. Étant marié depuis des années, inutile de vous dire que ma vie sexuelle frôle le calme plat. C’est la raison pour laquelle je parcours les sites de rencontres à la recherche de plans cul dans le coin. Je vais vous raconter une histoire que j’ai longtemps cachée.
Je suis en train de regarder mes messages sur mon ordi lorsque j’en lis un qui me titille plus que les autres. Une belle jeune femme qui me joint sa photo et qui me montre son superbe cul. Elle a une trentaine d’années et veut se faire enculer direct. J’ai toujours eu un faible pour la sodomie, mais comme la plupart des hommes, je n’ai pas eu la chance d’y gouter souvent. J’ai donc répondu à son message et lui ai donné rendez-vous dans un bar.
Elle est arrivée en robe courte et avait des jambes magnifiques. Nous avons discuté toute la soirée et bu des verres, beaucoup de verres. J’étais raide, de tous les côtés. Cette coquine m’a mis la main au paquet et m’a dit qu’elle voulait aller plus loin avec moi. Son décolleté me donnait envie alors je lui ai dit de me suivre, car je n’habitais pas loin. Nous sommes descendus dans le sous-sol de maison que j’ai emménagé pour le travail et où j’ai un canapé-lit. Nous nous sommes embrassés longuement et je l’ai pelotée du bout des doigts. Elle gémissait comme une chienne en chaleur. Je caressais son cul et j’avais envie de l’enculer à fond. J’ai sorti ma queue et je me suis fait sucer pendant de longues minutes. Elle suçait divinement bien. Sa bouche chaude enserrait ma queue et coulissait à me donner le tournis. Je travaillais le bout de ses seins pendant qu’elle me suçait, mais elle ne voulait pas enlever la robe. J’étais en forme à présent. Je l’ai fait mettre en levrette et j’ai soulevé sa robe. Ne voulant pas perdre mon érection, j’ai écarté ses fesses et j’ai mis mon gland sur son anus. Elle s’est cabrée et a accueilli ma queue dans son conduit anal. J’étais au chaud et c’était serré. J’ai glissé jusqu’aux couilles et je me suis mis à bouger. Elle suivait mes coups de reins avec ses hanches et je l’ai enculée comme une chienne. Je l’ai culbuté très fort pendant de longues minutes. Elle a eu un orgasme anal et m’a demandé de jouir en elle. Je me suis laissé aller et j’ai expulsé une grosse quantité de foutre au fond de son trou du cul serré. C’était très bon ! Je me suis retiré de son anus et lors du retrait ma queue a heurté quelque chose. Alors je rappelle aux lecteurs que j’étais ivre. J’ai écarté ses fesses de nouveau et y ai aperçu… une paire de couilles. Putain, je venais d’enculer un transsexuel ! J’étais furieux ! Mais d’un autre côté, j’ai pris un pied d’enfer et son cul était divin. Honteux, je ne pouvais que raccompagner cette pute à bite à sa voiture et retourner dans mon sous-sol.
Une fois la haine passée, je me suis remémoré ce bon moment et je me suis remis sur mon ordi pour lui laisser en message d’excuse et en lui demandant si elle voulait bien que l’on se revoie. Eh oui, moi Patrick, 50 ans, j’ai enculé un transsexuel dans mon sous-sol…
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8 décembre 2011
Cette salope m’a bien eu
Admin anal, anus, bite, coquin, femme, jeune, levrette, orgasme, pied, queue, salope, sodomie, train Confession Intime 0 Commentaire
J’habite dans le 95 et j’ai une cinquantaine d’années. Je m’appelle Patrick et je suis adepte des petites rencontres sur internet. Étant marié depuis des années, inutile de vous dire que ma vie sexuelle frôle le calme plat. C’est la raison pour laquelle je parcours les sites de rencontres à la recherche de plans cul dans le coin. Je vais vous raconter une histoire que j’ai longtemps cachée.
Je suis en train de regarder mes messages sur mon ordi lorsque j’en lis un qui me titille plus que les autres. Une belle jeune femme qui me joint sa photo et qui me montre son superbe cul. Elle a une trentaine d’années et veut se faire enculer direct. J’ai toujours eu un faible pour la sodomie, mais comme la plupart des hommes, je n’ai pas eu la chance d’y gouter souvent. J’ai donc répondu à son message et lui ai donné rendez-vous dans un bar.
Elle est arrivée en robe courte et avait des jambes magnifiques. Nous avons discuté toute la soirée et bu des verres, beaucoup de verres. J’étais raide, de tous les côtés. Cette coquine m’a mis la main au paquet et m’a dit qu’elle voulait aller plus loin avec moi. Son décolleté me donnait envie alors je lui ai dit de me suivre, car je n’habitais pas loin. Nous sommes descendus dans le sous-sol de maison que j’ai emménagé pour le travail et où j’ai un canapé-lit. Nous nous sommes embrassés longuement et je l’ai pelotée du bout des doigts. Elle gémissait comme une chienne en chaleur. Je caressais son cul et j’avais envie de l’enculer à fond. J’ai sorti ma queue et je me suis fait sucer pendant de longues minutes. Elle suçait divinement bien. Sa bouche chaude enserrait ma queue et coulissait à me donner le tournis. Je travaillais le bout de ses seins pendant qu’elle me suçait, mais elle ne voulait pas enlever la robe. J’étais en forme à présent. Je l’ai fait mettre en levrette et j’ai soulevé sa robe. Ne voulant pas perdre mon érection, j’ai écarté ses fesses et j’ai mis mon gland sur son anus. Elle s’est cabrée et a accueilli ma queue dans son conduit anal. J’étais au chaud et c’était serré. J’ai glissé jusqu’aux couilles et je me suis mis à bouger. Elle suivait mes coups de reins avec ses hanches et je l’ai enculée comme une chienne. Je l’ai culbuté très fort pendant de longues minutes. Elle a eu un orgasme anal et m’a demandé de jouir en elle. Je me suis laissé aller et j’ai expulsé une grosse quantité de foutre au fond de son trou du cul serré. C’était très bon ! Je me suis retiré de son anus et lors du retrait ma queue a heurté quelque chose. Alors je rappelle aux lecteurs que j’étais ivre. J’ai écarté ses fesses de nouveau et y ai aperçu… une paire de couilles. Putain, je venais d’enculer un transsexuel ! J’étais furieux ! Mais d’un autre côté, j’ai pris un pied d’enfer et son cul était divin. Honteux, je ne pouvais que raccompagner cette pute à bite à sa voiture et retourner dans mon sous-sol.
Une fois la haine passée, je me suis remémoré ce bon moment et je me suis remis sur mon ordi pour lui laisser en message d’excuse et en lui demandant si elle voulait bien que l’on se revoie. Eh oui, moi Patrick, 50 ans, j’ai enculé un transsexuel dans mon sous-sol…