Couple illégitime, Carole et Franck ne se contentent pas de tromper leurs conjoints respectifs l’un avec l’autre. A bientôt cinquante ans, les deux amants partagent leur débauche avec d’autres couples échangistes.

Comment vous êtes-vous rencontrés ?

  • Carole – Nous étions tous les deux mariés de notre côté. Me concernant, mon mari ne me touchait plus, malgré mes efforts. J’avais déjà eu deux ou trois aventures après des rencontres internet, et j’étais allée une fois à une soirée “pluralité masculine” dans un club de la région, histoire de faire le plein d’émotions fortes.
  • Franck – Moi, je n’avais encore jamais trompé ma femme, même si elle n’était vraiment pas branchée cul. Je venais de m’inscrire sur ce site, nous avons discuté, nous avons branché la webcam et nous nous sommes donné rendez-vous dans un hôtel.
  • Carole – Tout de suite, ça a collé sexuellement. Nous aimons les mêmes choses au lit, et surtout en dehors du lit. Où que nous nous rencontrions, nous trouvons toujours un petit coin pour baiser.

Vous êtes tout de suite sortis en club ?

  • Carole – Non. Pas au départ. Franck était réticent.
  • Franck – Je culpabilisais déjà assez de tromper ma femme. Le mari de Carole sait qu’elle le trompe. Il n’imagine pas à quel point elle se lâche sexuellement, mais au moins il est au courant. De mon côté, mon épouse ne se doute de rien, et je n’avais pas envie d’ajouter une trahison de plus.

Comment vous êtes-vous décidés ?

  • Carole – Comme j’avais déjà une petite expérience libertine, et que je voyais bien que Franck aimait le sexe autant que moi, j’ai beaucoup insisté pour essayer d’aller dans un club libertin tous les deux.
  • Franck – Un jour, alors qu’elle venait de refuser une nouvelle fois de faire l’amour avec moi, ma compagne m’a traité d’obsédé sexuel. Ça m’a révolté et j’ai décidé de passer le cap.
  • Carole – Honnêtement, j’étais ravie de ce changement d’avis. On commençait à épuiser toutes les possibilités de lieux originaux pour baiser. On avait fait l’amour dans tous les endroits possibles et imaginables, il fallait passer à la suite.

Donc, première soirée en club ?

  • Carole – Premier après-midi en fait. Un après-midi pluralité masculine dans le club où j’étais déjà allée. Ça me rassurait de connaître déjà un peu comment ça se passait.
  • Franck – Quand nous sommes arrivés là-bas, il y avait déjà une vingtaine d’hommes et nous étions le seul couple. J’avais l’impression d’être tombé dans un traquenard. Mais un jeune couple est finalement arrivé et nous avons baisé ensemble avant de choisir cinq gars pour se joindre à nous.
  • Carole – J’ai tout de suite vu que le libertinage convenait à Franck. A un moment, il s’est retrouvé, dans la mêlée, la tête coincée entre mes deux gros seins et la poitrine très généreuse de la jeunette.
  • Franck – Je n’en pouvais plus de plaisir. De la baise, enfin !

Vous avez donc continué à fréquenter ce genre de fêtes ?

  • Franck – Oui, celles-là et d’autres. Maintenant quand on se retrouve, on ne va plus à l’hôtel, mais en club échangiste ou chez des amis libertins.
  • Carole – Pour Franck comme pour moi, le fait de fréquenter des gens, hommes et femmes, qui aiment autant le sexe que nous a été comme une libération. Fini de se sentir coupables de nos infidélités : c’est à nos conjoints de comprendre pourquoi ils n’aiment pas un truc aussi bon et aussi jouissif.
  • Franck – La seule chose qui me chagrine, c’est quand je vois des couples légitimes s’éclater tout autant que nous dans des partouzes et des orgies. Ils ne savent peut-être pas la chance qu’ils ont d’avoir trouvé un tel équilibre de couple.

La situation actuelle vous convient ? Vous ne songez pas à arrêter, ou au contraire à vous séparer de vos conjoints ?

  • Franck – J’ai deux enfants. Il est hors de question de leur faire subir une séparation. Ma femme ne sait rien, ne voit rien, ou fait semblant d’être naïve. La situation me convient : j’ai la tendresse à la maison et le sexe sans limite en dehors.
  • Carole – Mon mari sait presque tout de mes infidélités. Ça n’a pas l’air de le toucher plus que ça. Donc je continue à baiser comme une folle et à libertiner avec Franck, ça ne me pose aucun problème de conscience. Après tout, tant pis pour eux, s’ils ne savent pas ce qui est bon.