Je viens de rompre avec mon ex-petite amie enfin plus exactement  elle vient de me plaquer.  Nous sommes deux jeunes de 20 ans, et, à cet âge, on pense surtout à s’amuser gaiement. J’avais pourtant senti qu’il y avait de l’eau dans le gaz dans notre couple mais je niais l’évidence. J’ai rendez-vous avec elle dans notre ancien appartement qui est devenu son appart. Je dois récupérer mes affaires et vu que j’habite à présent chez mes parents à quarante bornes, elle a tout de même la gentillesse de m’offrir le déjeuner. J’arrive comme convenu avec elle vers 10 heures. Je ne sais ni comment elle va réagir ni comment je vais réagir.

Pour l’instant, je suis mélancolique et nostalgique à la fois. J’ai appris sa relation par elle-même, il y a trois jours. Elle veut que l’on reste ami. Comment les filles peuvent-elles penser que cela est possible ? Jamais je n’aurai cru qu’elle aurait été capable de me faire un coup pareil. Après son annonce, je suis sorti baiser une salope pour guérir mon ego, après tout, je suis célibataire. La décision d’accepter son invitation à déjeuner n’était due qu’à mes affaires. De toute manière, il fallait régler nos comptes et pas seulement ceux financiers. En réalité, j’étais aussi heureux de la revoir mais jamais je n’aurais osé lui avouer. Je sonne à sa porte. Elle m’ouvre et me dit qu’elle est contente de me voir. Nous nous faisons la bise ce qui la choque mais j’ai des principes. Elle m’invite à la suivre dans le salon. Je ne dis rien mais en profite pour mater son corps de rêve. Elle porte une jupe plissée où on voit bien son petit cul rebondi.

 Je me sens bouillonné d’excitation, mais elle se retourne et la vue sur sa poitrine généreuse moulée dans son chemisier me déstabilise complètement. Nous buvons un coup et elle me dit qu’elle a rassemblé mes affaires près de l’entrée pour plus de facilité. N’ayant pas grandes affaires, en 10 allers retours d’ascenseurs, il n’y a plus de traces de mon passage dans ces lieux. Nous mangeons dans la salle à manger et je me remémore les bons souvenirs passés ici dont l’amour que nous avons fait sur cette table plus d’une fois. Nous discutons de choses et d’autres. Elle me présente ses excuses pour m’avoir trompé et m’apprend qu’elle est à nouveau célibataire. Quand d’un seul coup, je me lève e t vais vers elle. Elle me regarde et se demande ce qui me prend. Elle est toujours assise et je baisse mon froc et mon caleçon dès que j’arrive à sa hauteur. « Occupe-toi de moi ! » Elle s’exécute. Elle commence par me caresser le sexe puis le lécher pour finir par le sucer. Elle me pompe avec gourmandise. Je lui tiens la tête et la pénètre de plus en plus profondément. Son corps ne ment pas et je vois bien que la cochonne y prend du plaisir.

Elle se met alors à jouer avec mes testicules et mon anus. « Va chercher ton gros vibromasseur. », elle m’obéit et revient avec. Je pousse les affaires qui sont sur la table et je lui demande de s’empaler dessus. Au début, un peu retissant car je sais qu’elle n’a jamais réussi à se l’introduire, elle tente de le rentrer. Je force alors un peu sur ses jambes et le vibro rentre de quelques centimètres. Elle pousse alors un grand cri de plaisir et de douleur. Je lui demande de se mettre à quatre pattes et continue de la masturber avec son gros gadget. Je finis par rentrer presque la moitié du god. Elle n’en revient pas et se titille le clitoris. Je m’approche derrière elle et la sodomise pour que tous ses trous soient comblés. Nouveau sursaut car je crois bien qu’elle était pucelle de cet endroit.

Elle prend cela comme une punition et cela m’excite d’avantage. Après la douleur, elle commence à apprécier et me demande d’accélérer le mouvement. « Tu aimes ça, salope ? » lui dis-je. Elle répond de façon saccadée que « Oui, j’aime ça ! ». Je la pilonne littéralement. Je retire le vibromasseur et me consacre qu’à son petit trou. Je la retourne sur le dos et lui demande de me regarder en train de rentrer mon sabre dans son orifice serré. Je glisse alors un coussin sous sa tête pour qu’elle puisse sans forcer me regarder. Elle n’en perd pas une miette et me voit disparaitre dans son rectum jusqu’au pubis. Elle jouit analement et je la tire par les jambes pour la redresser. Elle s’agenouille en face de moi et je masturbe pour faire monter la sauce. Elle ouvre en grand la bouche pour réceptionner ma semence. Je lui gicle tout mon sperme qu’elle avale. En me rhabillant, je lui dis dommage car, ça, je vais le regretter.