Mon mari m’a dit ce matin qu’il rentrera tard ce soir, alors que j’entends sa voiture. Les enfants quitteront l’école dans deux heures ce qui nous laisse le temps de faire l’amour. Dès son arrivée, il m’enlace et m’embrasse. Je lui ai réservé une surprise, je me suis fait tatouer, dans le bas du dos, un tribal qu’il affectionne tant. Je ne lui laisse pas le temps, je lui baisse sa braguette et le suce. Il est ravi, je le vois dans son regard. Je l’aspire copieusement et fais tomber son pantalon et son caleçon. Puis il me dit de me mettre à quatre pattes sur l’accoudoir du canapé. J’enlève mon tanga et me positionne les fesses en l’air et me masturbe en passant entre mes jambes. Je relève mon haut pour qu’il puisse apercevoir mon cadeau. Il est surpris et heureux que je sois passée à l’acte et me complimente.
Il me lèche, ensuite l’anus et me broute le minou. Il introduit un doigt dans ma chapelle ardente ainsi que son pouce dans mon rectum. Puis il me bouffe le clito, l’habitude fait qu’il ne cherche aucune partie de mon corps. Il me fait une fleur de rose d’enfer pendant que je m’astique le clito. La chaleur monte autant que mon plaisir. Je me demande pourquoi il ne me pénètre pas et vois que son érection bat de l’aile. Je me retourne et m’agenouille devant lui pour le stimuler avec ma bouche. Peu de temps après son engin est reparti, je me retourne et il me prend en levrette. Je confirme son sexe est dur comme du bois. Je reçois toute sa grandeur en moi avec un petit plus car il glisse son pouce dans mon cul. Il saisit ma hanche droite avec son bras opposé car son pouce a gardé sa place en moi. Je sens que je vais venir alors je me retourne une nouvelle fois pour le gober. Il attrape ma tête et m’enfonce jusqu’à son pubis. Je fais attention à ne pas le mordre mais monsieur est en forme et bien proportionné. Je le chope par les fesses et lui introduis mon majeur dans son orifice. C’est une première pour lui, j’attends sa réaction, il ne dit rien mais son sexe augmente encore de taille, je pense que c’est une réponse positive. Il a toujours le même goût agréable de mouille. Je ne peux le définir mais autant son sperme est légèrement acide que son lubrifiant naturel est sucré, c’est pourquoi je salive beaucoup quand je reçois sa semence (petit conseil pour les filles au passage).
Il s’assoit dans le canapé et je viens sur lui. C’est moi qui suis aux commandes, j’adore ça régler la cadence ainsi que la profondeur d’introduction. Je me caresse tant pour son plaisir visuel que pour mon plaisir personnel. Je fais de grands mouvements pour sentir toute sa longueur et mes seins se balancent dans tous les sens. Je mouille mes doigts dans ma bouche pour mieux me chatouiller le clito. Je m’enlève de lui et me positionne à quatre pattes sur le canapé, je me penche bien en avant. Il me bourre bien comme il faut et je pousse des cris de plaisir puis ne sortant pas de moi, il me retourne et me pose sur la table de la salle à manger et reprend ces coups rapides et en profondeur. Je jouis mais lui est en pleine forme. Son mouvement se perpétue. Après les jambes pendantes, il les mets sur ses épaules sans aucun arrêt. Il me donne plein de plaisir et varie les positions avec une seule jambe en l’air, les jambes pliées contre son torse, écartées ou au contraire bien serrées. Il se calme et je lui rejoue la flûte enchantée. Il dégouline de ma cyprine et de salive. Devant autant de lubrifiant naturel, j’espère qu’il va me sodomiser. Je l’oblige à s’assoir sur le canapé, lui tourne le dos, saisis son sexe et m’empale dessus. Mes seins virevoltent et mon petit trou me donne une joie certaine. La sève de son arbre est limite de jaillir alors j’arrête et me retourne pour lui faire face. Il enlève les coussins derrière lui pour pouvoir s’allonger. Je l’embrasse fougueusement. Après un petit moment, nous inversons nos places mais pas l’endroit d’introduction. Je peux à nouveau m’occuper de mon clito et je ne m’en prive pas. J’ouvre de mon autre main, mes lèvres pour qu’il me mate l’intérieur de ma chatte. N’en pouvant plus, je jouis d’un coït anal bien mené et mon mari m’attrape par les jambes et se fait une branlette espagnole. Sa queue entre mes seins, il adore ça et j’asperge la bouche et la poitrine de son liquide séminal. Nous prenons juste une douche et nous partons chercher les enfants, ensemble, bras dessus bras dessous.
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7 mai 2012
En couple
Admin anal, anus, bas, branlette, chatte, couple, levrette, plaisir, queue, sexe, sperme Confession Intime 0 Commentaire
Mon mari m’a dit ce matin qu’il rentrera tard ce soir, alors que j’entends sa voiture. Les enfants quitteront l’école dans deux heures ce qui nous laisse le temps de faire l’amour. Dès son arrivée, il m’enlace et m’embrasse. Je lui ai réservé une surprise, je me suis fait tatouer, dans le bas du dos, un tribal qu’il affectionne tant. Je ne lui laisse pas le temps, je lui baisse sa braguette et le suce. Il est ravi, je le vois dans son regard. Je l’aspire copieusement et fais tomber son pantalon et son caleçon. Puis il me dit de me mettre à quatre pattes sur l’accoudoir du canapé. J’enlève mon tanga et me positionne les fesses en l’air et me masturbe en passant entre mes jambes. Je relève mon haut pour qu’il puisse apercevoir mon cadeau. Il est surpris et heureux que je sois passée à l’acte et me complimente.
Il me lèche, ensuite l’anus et me broute le minou. Il introduit un doigt dans ma chapelle ardente ainsi que son pouce dans mon rectum. Puis il me bouffe le clito, l’habitude fait qu’il ne cherche aucune partie de mon corps. Il me fait une fleur de rose d’enfer pendant que je m’astique le clito. La chaleur monte autant que mon plaisir. Je me demande pourquoi il ne me pénètre pas et vois que son érection bat de l’aile. Je me retourne et m’agenouille devant lui pour le stimuler avec ma bouche. Peu de temps après son engin est reparti, je me retourne et il me prend en levrette. Je confirme son sexe est dur comme du bois. Je reçois toute sa grandeur en moi avec un petit plus car il glisse son pouce dans mon cul. Il saisit ma hanche droite avec son bras opposé car son pouce a gardé sa place en moi. Je sens que je vais venir alors je me retourne une nouvelle fois pour le gober. Il attrape ma tête et m’enfonce jusqu’à son pubis. Je fais attention à ne pas le mordre mais monsieur est en forme et bien proportionné. Je le chope par les fesses et lui introduis mon majeur dans son orifice. C’est une première pour lui, j’attends sa réaction, il ne dit rien mais son sexe augmente encore de taille, je pense que c’est une réponse positive. Il a toujours le même goût agréable de mouille. Je ne peux le définir mais autant son sperme est légèrement acide que son lubrifiant naturel est sucré, c’est pourquoi je salive beaucoup quand je reçois sa semence (petit conseil pour les filles au passage).
Il s’assoit dans le canapé et je viens sur lui. C’est moi qui suis aux commandes, j’adore ça régler la cadence ainsi que la profondeur d’introduction. Je me caresse tant pour son plaisir visuel que pour mon plaisir personnel. Je fais de grands mouvements pour sentir toute sa longueur et mes seins se balancent dans tous les sens. Je mouille mes doigts dans ma bouche pour mieux me chatouiller le clito. Je m’enlève de lui et me positionne à quatre pattes sur le canapé, je me penche bien en avant. Il me bourre bien comme il faut et je pousse des cris de plaisir puis ne sortant pas de moi, il me retourne et me pose sur la table de la salle à manger et reprend ces coups rapides et en profondeur. Je jouis mais lui est en pleine forme. Son mouvement se perpétue. Après les jambes pendantes, il les mets sur ses épaules sans aucun arrêt. Il me donne plein de plaisir et varie les positions avec une seule jambe en l’air, les jambes pliées contre son torse, écartées ou au contraire bien serrées. Il se calme et je lui rejoue la flûte enchantée. Il dégouline de ma cyprine et de salive. Devant autant de lubrifiant naturel, j’espère qu’il va me sodomiser. Je l’oblige à s’assoir sur le canapé, lui tourne le dos, saisis son sexe et m’empale dessus. Mes seins virevoltent et mon petit trou me donne une joie certaine. La sève de son arbre est limite de jaillir alors j’arrête et me retourne pour lui faire face. Il enlève les coussins derrière lui pour pouvoir s’allonger. Je l’embrasse fougueusement. Après un petit moment, nous inversons nos places mais pas l’endroit d’introduction. Je peux à nouveau m’occuper de mon clito et je ne m’en prive pas. J’ouvre de mon autre main, mes lèvres pour qu’il me mate l’intérieur de ma chatte. N’en pouvant plus, je jouis d’un coït anal bien mené et mon mari m’attrape par les jambes et se fait une branlette espagnole. Sa queue entre mes seins, il adore ça et j’asperge la bouche et la poitrine de son liquide séminal. Nous prenons juste une douche et nous partons chercher les enfants, ensemble, bras dessus bras dessous.