Fantasme de gangbang, une histoire de esclavesoumizzz  :

je m’essaie à l’écriture pour narrer un fantasme que je ne cesse d’avoir. je suis une riche enfant gâtée de 21ans et mon chauffeur un homme mûr sale n’en peut plus de mes caprices.

Alors un jour alors que je lui ai demandé de m’emmener faire du shopping, je réalise qu’on est pas sur la route du centre commercial et qu’on roule sur une route déserte. Prise de panique je lui intime l’ordre de faire demi-tour mais rien à faire. j’essaye d’appeler à l’aide mais il n’ya pas de réseau et meme si je crie personne ne peut m’entendre. on roule encore quinze minutes avant de s’arrêter dans un hangar sale et obscur. Il descend et m’oblige à descendre, il m’entraine alors par les cheveux vers un matelas moisi qui est dans un coin de la pièce. je crie je me débats. il me gifle et recommence tant que je ne me tais pas. j’ai peur mais le sentiment d’anticipation m’excite un peu. il m’attache avec des cordes qui me laissent des marques et il ligote mes jambes en prenant soin de les écarter. il m’allonge sur le matelas se saisit d’une paire de ciseaux et déchire mes vêtements et quand je suis toute nue il me dit: Tu vas payer tes gamineries SALE PUTE. il baisse sa braguette et sort son sexe. Dieu qu’il est gros. il se baisse vers moi soulève ma tête et tend son dard vers ma bouche. l’odeur forte de mâle me fait avoir un mouvement de recul il m’assène une gifle et m’intime l’ordre d’ouvrir ma bouche. cette fois j’obéis j’ai très peur. il enfonce son énorme sexe jusqu’à ma gorge j’étouffe et essaie de me dégager mais il me retient si fort en s’enfonçant encore plus loin je salive que dis-je j’ai de la bave partout il baise ma bouche avec violence jusqu’à ce que je vomisse. il dit : c’est bien SALE CHIENNE car ta salive sur ma queue c’est le seul lubrifiant auquel ton cul aura droit. il s’allonge sur moi et j’appréhende car mon cul est vierge. il se place et je sens sa queue sur mon anneau serré une seule poussée brutale et violente et il est au fond des mes reins je hurle de douleur je le supplie d’arreter mais il continue en me disant: tu peux crier autant que tu veux personne ne peut t’entendre SALOPE tu n’as encore rien vu ce n’est que le début. j’y crois pas j’ai le cul en feu qu’est ce qui peut être pire? j’ai l’impression que je vais me chier dessus. il me ramone je pleure en silence. il se déverse dans mon cul et je sens du sperme chaud couler le long de mes cuisses hors de mon cul.

– arretes de chialer IDIOTE tu as aimé çà et c’est pas fini tu en as pour toute la nuit à te faire défoncer les trous PETASSE.

il sort son téléphone et appelle un ami.

– Préviens les autres que c’est 100 euros l’entrée et retrouvez moi au hangar de ma belle-mère. j’ai enfin pu mettre la main sur cette petite peste qui me pourrit la vie et je veux qu’on lui fasse sa fête. à tout à l’heure.

en me regardant, un sourire méchant aux lèvres il me dit:

-Il y’a 25 hommes dans ma réunion d’aide à la gestion de la colère qui n’attendent qu’à faire ta connaissance. ils seront là dans trente minutes. tu n’auras pas assez de toute la nuit à sucer des queues et à les prendre dans tes trous CONNASSE. pas la peine de supplier ni de pleurer essaie de t’amuser quoique on s’en fiche.

j’attends comme un condamné qui va vers la guillotine je sais que je n’y peux rien quoique je fasse, je vais me faire troncher. je continue de méditer à ma vie à comment j’en suis arrivée à être vendue à 2400 euros à des vulgaires employés moi l’héritière la princesse traitée de pute. je suis perdue dans mes pensées quand j’entends la voix de mon chauffeur: – Au boulot GROSSE PUTE car tu es ma prostitué pour 17H et tu dois offrir à ces messieurs le meilleur des services car il paye cher pour t’avoir. ne me déçois pas. et il rigole MESSIEURS elle est à vous vous pouvez utiliser tous ses trous, jouir ou bon çà vous semble la frapper pour la punir si elle fait sa difficile.

je suis SEULE, jambes écartées et ligotées, allongée sur un matelas face à 25 hommes forts qui vont abuser de moi. NUE OFFERTE à LEUR REGARD ils se branlent déjà les salauds.

(à suivre)