Je me présente, je m’appelle Elodie et je suis une quadra. Je suis directrice d’une agence de pub et je passe pratiquement tout mon temps au boulot. J’essaie de me mettre en couple mais ça ne dure pas car il faut consacrer du temps à son chéri, et moi, je n’en ai pas. Après de nombreuses tentatives avortées de réduire mon temps de travail, je me décide à faire une croix sur une vie sexuelle épanouie. Je me contente par moi-même avec ou sans sextoys mais je préfère tout de même le sexe tout chaud et tout doux d’un homme.
De plus, j’ai plein de fantasmes non assouvis qui, quelque part, me frustrent. Tout ceci étant sans compter sur un article paru dans le web parlant de « fuckfriends », je développe pour ceux qui ne connaissent pas, ce sont des amis de baise et rien d’autres. Ils viennent quand vous êtes disponible vous faire votre affaire et partent aussitôt après, sans sentiment en échange. Que de du cul vite fait, mais bien fait. Je me dis que c’est ça qu’il me faut et je décide de m’inscrire à un club de ce genre. Ma première rencontre se passe au bar, non loin de chez cet homme. Il s’appelle Sébastien. C’est un petit brun aux yeux clairs avec un magnifique cul et une bonne musculature. Il me demande si je lui conviens, et après avoir acquiescé m’invite chez lui. A peine arrivés, nous enlevons nos vêtements et j’aperçois son sexe bien en érection. Il me mange la chatte dans tous les recoins en même temps qu’il me doigte le point G. Il met un préservatif et me pénètre. Il me martèle littéralement et mon plaisir est énorme puis, il arrête d’un coup sec au moment où je vais jouir. Je lui lance un : « Oh non ! Pas maintenant, baise moi à fond jusqu’au bout ! ».
Il a un petit rictus et me sodomise de tout son membre. Je crois m’évanouir tant la sensation est forte, douloureuse mais aussi chaude et pleine de plaisir puis après quelques vas et vient dans mon anus, je reprends le contrôle de mon corps et je sens à nouveau la jouissance montée de mon rectum, dans mon vagin (par contractions) jusqu’à mes seins. Le mec connait son affaire et il fait monter mon plaisir en stimulant mon clitoris pendant cet acte. Chose que je ne connaissais pas, je lubrifiais du petit trou ! Je sais que lors de mes anciennes sodomies, je coulais beaucoup du vagin, c’est pour cela que mes ex partenaires de parties de jambes en l’air, passaient de ma caverne à plaisir à mon anus plusieurs fois pendant l’acte afin que je les lubrifie de ma cyprine. Mais là, le pauvre n’aura plus qu’à changer les draps car ils sont trempés !
Je prends l’initiative, je quitte ma position à quatre pattes pour me mettre sur lui mais j’ai une idée. Dès qu’il est sur le dos, je lui pompe son dard et lui lèche les couilles. Il a le goût de mes secrétions. J’engouffre ses deux couilles dans ma bouche et le masturbe. Sa bite, entre mes mains, me donne une impression de puissance. Quand je m’empale à nouveau par mon petit trou, en 5 minutes d’embrochage, je jouis en hurlant. Putain que c’est bon ! Il retire son sexe et m’envoie sa semence sur la poitrine. Nous prenons notre douche et je pars de chez lui. Désormais, je peux dire que je suis épanouie sexuellement et au travail car Séb fut le premier d’une série qui dure toujours !
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24 mars 2012
fuckfriends
Admin anus, bas, bite, chatte, couple, fantasme, plaisir, sexe, sodomie Confession Intime 0 Commentaire
Je me présente, je m’appelle Elodie et je suis une quadra. Je suis directrice d’une agence de pub et je passe pratiquement tout mon temps au boulot. J’essaie de me mettre en couple mais ça ne dure pas car il faut consacrer du temps à son chéri, et moi, je n’en ai pas. Après de nombreuses tentatives avortées de réduire mon temps de travail, je me décide à faire une croix sur une vie sexuelle épanouie. Je me contente par moi-même avec ou sans sextoys mais je préfère tout de même le sexe tout chaud et tout doux d’un homme.
De plus, j’ai plein de fantasmes non assouvis qui, quelque part, me frustrent. Tout ceci étant sans compter sur un article paru dans le web parlant de « fuckfriends », je développe pour ceux qui ne connaissent pas, ce sont des amis de baise et rien d’autres. Ils viennent quand vous êtes disponible vous faire votre affaire et partent aussitôt après, sans sentiment en échange. Que de du cul vite fait, mais bien fait. Je me dis que c’est ça qu’il me faut et je décide de m’inscrire à un club de ce genre. Ma première rencontre se passe au bar, non loin de chez cet homme. Il s’appelle Sébastien. C’est un petit brun aux yeux clairs avec un magnifique cul et une bonne musculature. Il me demande si je lui conviens, et après avoir acquiescé m’invite chez lui. A peine arrivés, nous enlevons nos vêtements et j’aperçois son sexe bien en érection. Il me mange la chatte dans tous les recoins en même temps qu’il me doigte le point G. Il met un préservatif et me pénètre. Il me martèle littéralement et mon plaisir est énorme puis, il arrête d’un coup sec au moment où je vais jouir. Je lui lance un : « Oh non ! Pas maintenant, baise moi à fond jusqu’au bout ! ».
Il a un petit rictus et me sodomise de tout son membre. Je crois m’évanouir tant la sensation est forte, douloureuse mais aussi chaude et pleine de plaisir puis après quelques vas et vient dans mon anus, je reprends le contrôle de mon corps et je sens à nouveau la jouissance montée de mon rectum, dans mon vagin (par contractions) jusqu’à mes seins. Le mec connait son affaire et il fait monter mon plaisir en stimulant mon clitoris pendant cet acte. Chose que je ne connaissais pas, je lubrifiais du petit trou ! Je sais que lors de mes anciennes sodomies, je coulais beaucoup du vagin, c’est pour cela que mes ex partenaires de parties de jambes en l’air, passaient de ma caverne à plaisir à mon anus plusieurs fois pendant l’acte afin que je les lubrifie de ma cyprine. Mais là, le pauvre n’aura plus qu’à changer les draps car ils sont trempés !
Je prends l’initiative, je quitte ma position à quatre pattes pour me mettre sur lui mais j’ai une idée. Dès qu’il est sur le dos, je lui pompe son dard et lui lèche les couilles. Il a le goût de mes secrétions. J’engouffre ses deux couilles dans ma bouche et le masturbe. Sa bite, entre mes mains, me donne une impression de puissance. Quand je m’empale à nouveau par mon petit trou, en 5 minutes d’embrochage, je jouis en hurlant. Putain que c’est bon ! Il retire son sexe et m’envoie sa semence sur la poitrine. Nous prenons notre douche et je pars de chez lui. Désormais, je peux dire que je suis épanouie sexuellement et au travail car Séb fut le premier d’une série qui dure toujours !