Je vais vous raconter une histoire vraie qui m’est arrivée il y a quelques semaines déjà.

J’ai dû faire appel aux services d’un dentiste en urgences un dimanche et évidemment ce n’était pas le mien. Lorsque je suis arrivé, j’avais les larmes aux yeux et la bouche ouverte pour qu’on me soigne. Une fois soulagé je suis parti avec un nouveau rendez-vous en poche. Je me suis donc rendu chez la dentiste quelque jour plus tard pour finir les soins. Et bien je peux vous dire que la douleur m’a fait perdre la tête car je n’avais pas remarqué que ma dentiste était une bombe atomique. Il devait avoir dans les 45 ans et avait un corps pulpeux. Tout ce que j’aimais chez une femme, elle l’avait. Par exemple, ses gros seins prenaient énormément de place dans son chemisier qui penchait sous leur poids. J’avais du mal à garder ma queue au repos et sans que je ne m’en aperçoive, je bandais. Le souci est que ma dentiste s’en est aperçue, elle. Elle m’a demandé si c’était l’effet de l’anesthésie qui me faisait ça ou bien si c’était autre chose. Et là, je ne sais ce qui m’a pris, peut-être est-ce par ce que ce n’était pas ma dentiste officielle, je lui ai clairement fait comprendre que c’était plutôt ses gros seins qui me faisaient bander. Je me suis senti seul pendant quelques secondes et je m’attendais à me prendre une bonne gifle avant de me faire sortir à coups de fraise. Contre toute attente, ma dentiste a posé sa main sur ma queue et m’a tâté le paquet. Elle s’est levée et m’a tendu un bout de papier sur lequel elle a noté son numéro de portable en me disant de l’appeler ce soir vers 20h. Je suis parti rapidement en me demandant si je n’avais pas rêvé cette histoire. Le soir venu, je compose le numéro de téléphone et tombe sur ma dentiste qui me demande sans détour si elle peut venir chez moi. je lui réponds après hésitation qu’il n’y avait pas de problème et le temps de finir ma phrase voilà que l’on sonne à la porte. C’était elle. Elle avait déjà tout prémédité. Elle m’a poussé dans mon salon et m’a fait baisser mon pantalon. Je me suis retrouvé avec la bite à l’air en train de me faire pomper le gland par ma nymphomane de dentiste dans mon propre salon. Une fois qu’elle m’a mis bien raide, elle s’est empressée de me grimper dessus et d’enfourcher ma queue. Je n’ai pas eu le temps de voir sa chatte puisqu’elle l’a remplie directement avec ma bite. Elle bougeait comme une vraie chienne et j’avais du mal à contenir mon excitation. Elle avait ouvert son chemisier et avait libéré ses gros seins lourds qui étaient splendides. Je n’avais jamais vu pareille paire de seins naturels. Je les ai pris en main pour les malaxer et faire pointer ses tétons gros comme des noyaux de cerises. Je les ai fait rouler entre mes doigts ce qui l’excitait puisque j’ai senti de la mouille couler sur mes couilles. Cette nymphomane de dentiste se baisait finalement toute seule et je lui servais de gode vivant. Elle a fini par jouir sur le bout de mon gland. Elle s’est retirée pour s’allonger sur le dos et me faire signe de venir lui inonder ses gros seins de foutre. Je me suis fait une bonne branlette espagnole entre ses mamelles et j’ai inondé son menton, son cou et ses seins de mon sperme chaud et épais. Cela a dû durer une bonne demi-heure pendant laquelle je me suis fait baiser par ma dentiste avant qu’elle ne reparte.

Elle n’a jamais voulu me redonner un rendez-vous. Je n’ai pas insisté et je suis retourné voir Patrick, mon gros grincheux de dentiste.